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Certaines pratiques méthodologiques mises en œuvre dans les classes restent inefficaces pour une part des élèves, notamment les dispositifs mis en place afin de permettre aux enfants d’entrer dans l’écrit. 
D’une manière générale, notre questionnement, s’inscrit dans la problématique des inégalités sociales de réussite scolaire et nous ciblerons dans ce travail l’entrée dans l’écrit par l’activité spécifique de la dictée à l’adulte. 
Nous ne nous intéresserons pas seulement aux élèves socio-économiquement les moins favorisés mais aussi à ces élèves qui éprouvent des difficultés d’apprentissage et que les enseignants considèrent « faibles ». Nous pensons que pour une part d’entre eux, les problèmes qu’ils rencontrent se situent au même niveau, celui de la langue, du langage et de la compréhension des enjeux de l’activité. C’est pourquoi, nous émettons l’hypothèse que la mise en place de dictées à l’adulte individuelles pourrait permettre à nos élèves les plus fragiles de mieux progresser dans leur rapport à l’écrit.
Dans de ce travail, nous espérons confirmer, sur les analyses d’un pré-test et d’un post-test concernant deux groupes d’élèves (contrôle et expérimental), que l’instauration d’un dispositif de dictées individuelles est bénéfique pour nos élèves en général et pour nos élèves les plus fragiles en particulier.

Enseignement, maternelle, français, écrit, dictée à l'adulte --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Education & enseignement