Listing 1 - 10 of 180 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Choose an application
Patrick Pelloux est le témoin de vies dont il va croiser le destin. Médecin urgentiste, il perçoit la souffrance, la détresse, mais aussi l'espoir et parfois la joie. Son attention et sa sensibilité le portent vers les plus humbles, les plus anonymes. Tous les sacrifiés de la société. D'où cette colère teintée d'humour qui sourd dans ses textes au vitriol. Patrick Pelloux écrit comme Robert Doisneau photographiait. Une plongée dans les coulisses de l'humanité.
Choose an application
Au premier janvier 2004, sur 10.396.000 habitants en Belgique, 1.780.000 avaient plus de 65 ans. Le pourcentage des 65 ans et plus augmente en effet d’année en en année alors que le pourcentage des moins de 20 ans diminue.
En d’autres mots, notre population vieillit.
Si l’on vit plus longtemps aujourd’hui, c’est grâce à des facteurs tels que :
- une alimentation plus équilibrée
- une amélioration du confort des habitations : chauffage central, eau courante
- une meilleure hygiène de vie
- de meilleure conditions de travail
- des vaccinations systématiques
- l’invention des antibiotiques
- la prévention contre les méfaits du cholestérol, de l’hypertension, du tabac
- la sophistication des traitements.
Le nombre sans cesse grandissant de personnes âgées inquiète cependant, et ce, avant tout pour les problèmes économiques qu’engendrent le vieillissement.
Il est donc essentiel de revaloriser la vieillesse aujourd’hui tant au niveau de l’individu que de la société.
Dans nos sociétés occidentales, la personne âgée est trop souvent jugée comme inutile, gaspillant l’argent de la société. Il en est de même du côté médical. La rémunération d’une personne de plus de 65 ans doit souvent être justifiée. Elle a vécu, pourquoi s’acharner ? Pourquoi ne pas la laisser partir en paix ? Le problème est qu’actuellement on ne meurt plus si jeune et que la personne a encore devant elle une longue espérance de vie.
L’âge d’une personne n’est plus la base pour justifier une décision, mais son état de santé général.
Travaillant dans un hôpital de la région bruxelloise, je me sui penchée sur la problématique des personnes âgées. Pourquoi viennent-elles à l’hôpital, cela représente-t-il un risque pour elle ?
En me basant tant sur la littérature que sur l’expérience, je mes suis aperçue que les personnes âgées arrivaient souvent à l’hôpital par la porte des urgences, envoyées par une tierce personne. C’est à ce moment là qu’elles encourent le plus de risque.
Partant de la question suivante :
les personnes âgées, de plus de 70 ans, admises aux urgences risquent elles de perdre une partie de leur autonomie après leur admission ?
Différentes questions se posent alors :
1. Comment définir la perte d’autonomie ?
2. Pourquoi détecter les personnes de plus de 70 ans ?
3. A quel moment faire cette évaluation ?
Quelles échelles utiliser afin d’évaluer le risque de perte d’autonomie ?
Pour trouver des réponses à ces questions, nous scinderons le cadre théorique en cinq chapitres reprenant chacun un concept propre :
1. Le vieillissement
2. Le patient gériatrique
3. Le profil du patient de plus de 70 ans hospitalisé
4. La législation actuelle
5. Présentation des échelles d’évaluation
Le premier chapitre définira et donnera un résumé des diverses théorie en cours concernant le vieillissement de l’être humain.
Le second se concentrera sur la description du profil gériatrique et la population qu’il englobe.
Le chapitre traitant du profil du patient de plus de 70 ans hospitalisé abordera l’analyse du patient type âgé de 70 ans et plus, se présentant aux urgences, et hospitalisé ensuite.
Nous verrons ensuite ce que le gouvernement a déjà mis en place afin d’aider la prise en charge globale des personnes âgées et quels sont ses projets pour le futur.
Enfin, la partie théorique rejoindra la partie pratique en citant et expliquant les échelles d’évaluation les plus couramment utilisées.
Choose an application
L’activité des services d’urgence n’a cessé d’augmenter depuis leur création dans le milieu des années 60. Cette augmentation est liée à différents concepts : l’indisponibilité du médecin traitant, la globalité du service d’urgence (tout est sur place), l’accès facile (on est soigné quels que soient les symptômes présentés), le besoin de réassurance (proximité de tous types de soins).
Cet accroissement d’activité ne va pas de pair avec une amélioration des moyens dans les services d’urgence (personnel, financiers), ces derniers ont peu évolué. De ce fait, le délai d’attente de soins a également augmenté. Une « catégorisation » des patients dés l’admission s’avère donc nécessaire, permettant ainsi de différencier les urgences vraies des urgences ressenties.
La plupart des hôpitaux se limitent encore à une accueil purement administratif sans évaluation de la nécessité réelle en soins du patient. Le délai d’attente entre cette récolte de données administratives et la première rencontre avec un soignant atteint très vite trente minutes pendant lesquelles le patient souffre, angoisse, s’énerve et peut devenir agressif. Une des alternative à ces problèmes est le tri des patients d »s l’admission et ce, de façon à diminuer le délai d’attente et à les orienter vers les spécialités adéquates le plus vite possible. A l’heure actuelle, des cellules d’accueil et de tri des patients font leur apparition mais elles rencontrent beaucoup de difficultés de fonctionnement. Elles demandent une implication importante du personnel médical et paramédical et un changement dans le mode de fonctionnement du service mais aussi dans l’organisation de chacun.
Ce travail vise à élaborer un outil d’aide à la mise en place d’une cellule d’accueil et de tri aux urgences.
- d’élaborer un cadastre des urgences
- de mettre en avant le minimum nécessaire en terme de structure, de personnel ou de moyens financiers.
Toutes ces approches seront réalisées tant d’un point de vue théorique que pratique.
Choose an application
Délaissant momentanément nos maux contemporains, qui forment son quotidien de médecin urgentiste, Patrick Pelloux se penche ici sur de curieux patients : d'illustres mourants. Et si leur agonie en disait plus sur l'époque que l'époque elle-même ? Partant de cette intuition, l'auteur s'est lancé dans une recherche inédite, à la fois médicale et historique : retracer les derniers moments de ces personnalités qui ont fait l'Histoire. Le résultat en est une trentaine de chroniques, de Jésus à Churchill, écrites d'une plume aussi précise qu'un bistouri. Au gré des époques, une promenade passionnante au chevet des grands hommes.
Choose an application
Un sacré petit taureau râblé qui fonce dans le tas, tête baissée, voilà Patrick Pelloux. Son toril : le service des urgences de l'hôpital Saint-Antoine, à la Bastoche, là où Nini-Peau-de-Chien venait faire panser les gnons que lui filait Bibi-la-Crème les soirs de dèche. Les urgences, bien au-delà de la série télévisée qui a supplanté les westerns, c'est le lieu maudit où le malheur se concentre, c'est le morne échantillonnage de la détresse humaine. C'est surtout là que la médecine devient sacrifice et apostolat. Patrick Pelloux, abbé Pierre de la médecine, révolté permanent, s'y fait le champion d'une conception de la pratique médicale qui, emportée par l'irrésistible vague libérale submergeant tout, s'éloigne à grande vitesse de l'idéal si haut proclamé par le serment d'Hippocrate. Ce qui lui vaut d'être poursuivi par le tout-puissant conseil de l'ordre et menacé d'être exclu de la profession. Chaque semaine, dans Charlie Hebdo, ses billets croqués sur le vif nous plongent dans la réalité de ce creuset bouillonnant. C'est souvent cocasse, n'empêche. La vie, quoi.
Choose an application
Deuxièmement, le secteur de la santé est dynamique et varie également dans le temps. La paysage hospitalier d’aujourd’hui est foncièrement différent de celui rencontré vingt ans auparavant, tant les innovations technologiques et les restructurations macro et micro-économiques ont été importantes. Nous pensons que l’évolution hospitalière, tout comme la jeune discipline que représente la médecine de catastrophe, se poursuivra de la même manière dans les décennies à venir. Ce travail peut juste essayer de contribuer à cette évolution galopante.
Troisièmement, nous n’aborderons dans ce travail qu’une facette de l’organisation hospitalière en terme de médecine d’urgence et de catastrophe. Il s’agit de bien définir une limite de champ. Notre Plan d’Urgence Interne se concentre sur la facette des procédures en cas de sinistre interne à l’institution et vient alors compléter le plan M.A.S.H. déjà existant et établi en vue de faire face à un afflux massif de victimes issues d’un sinistre externe à l’institution.
Enfin, notre travail aura pour cadre l’intercommunale du CHR HUY sur son site hospitalier de la rue des trois ponts 2-3 Huy ; l’extension du Plan MASH aux autres services devra faire l’objet d’un travail ultérieur.
1.4. Motivations
Le sujet proposé atout de suite suscité notre intérêt et ce, pour différentes raisons :
- Il couvre un domaine pour lequel nous avons été formés (l’urgence collective et les situations d’exception).
- Il s’agit d’un travail qui pourrait aboutir à une application concrète dans notre hôpital.
- Il nous permet de mieux connaître les structures et le mode de fonctionnement de notre institution hospitalière.
- Il nous donne l’opportunité de mettre en pratique les techniques de recherches, d’évaluation, de rédaction et de diffusion de l’information étudiées lors des cours de licence.
1.5. Objectifs
En suivant les recommandations du ministère de la santé publique et en se basant sur la législation en vigueur tout en tenant compte des règles en matière d’urgences collectives, nous rédigerons un Plan d’Urgence Interne, pour les situations exceptionnelles de sinistres internes, avec ses procédures d’évacuation des salles d’hospitalisation du C.H.R. Huy, ce dernier complétant le plan M.A.S.H. existant.
1.6. Evaluation des besoins
Comme nous le verrons dans la partie théorique, toute institution hospitalière doit, depuis 1991, disposer d’une procédure qui envisage les réactions à adopter face à une urgence interne. Au moment de commencer ce travail, l’évacuation des patients des salles du C.H.R. de Huy n’est envisagée que de façon très sommaire dans la « procédure incendie ».
En accord avec monsieur Drugmand, responsable du Service Interne de Prévention et de Protection au travail (S.I.P.P.) de l’hôpital, nous estimons qu’il est nécessaire de rédiger une procédure d’évacuation distincte afin de coller au mieux aux exigences légales en la matière.
De plus l’élaboration d’un plan hospitalier en cas de catastrophe interne est une innovation et forme un travail dont l’aspect pratique est certain. Le Plan d’Urgence Interne ne sera jamais définitif. Des exercices pratiques dans des circonstances réelles ou simulées le modifieront sans cesse. Cette remise en question perpétuelle a constitué, pour moi, un attrait supplémentaire.
Pourquoi est-il indispensable d’établir un plan catastrophe hospitalier ?
L’éventualité, pour un hôpital de devoir faire face à un afflux massif de victimes en cas de catastrophe interne doit être envisagée par les responsables conscients de l’importance que leur établissement peut avoir en pareilles circonstances, d’autant plus que leurs responsabilités sont susceptibles d’être engagées lors de poursuites juridiques. Pour les sensibiliser et leur faire prendre conscience de la nécessité d’établir des plans catastrophe, je citerai la vieille règle de la Croix-Rouge :
« Préparez-vous au pire, rien ne pourra vous surprendre ».
Les cauchemars les plus atroces peuvent parfois devenir réalité si un événement dommageable pour une communauté se produit ; l’existence de victimes justifie la mise en place d’une organisation de secours et de soins. La présence de nombreux blessés face à des moyens de traitement momentanément insuffisants est également la raison de la médecine de catastrophe.
L’expérience enseigne qu’il y a toujours, dans le déroulement et la mise en place des secours lors de la réponse à la catastrophe, deux étapes chronologiques :
- Une phase d’improvisation qui succède à la surprise de l’événement et à la destruction passagère du groupe social. Elle se caractérise par des comportements inadéquats, comme :
- Des évacuations intempestives sans soins préalables et sans coordination,
- Des soins dispensés au hasard, sans triage préalable, les victimes les plus graves pouvant être prises en charge après des blessés légers,
- des soins inappropriés, compte tenu des lieux et de l’état des victimes,
- Des réactions individuelles et collectives inadaptées. Elles peuvent atteindre, sans distinction, les témoins de la catastrophe, les victimes, les secouristes, les médecins et les autorités responsables présentes sur les lieux de l’accident.
- Une phase d’organisation ou de secours structurel. Elle aboutit à la mise en œuvre de la chaîne médicale des secours et à son intégration dans le dispositif général de secours.
dés lors, pour réagir adéquatement et rapidement en cas de crise, toute communauté doit posséder des règles d’organisation préétablies. L’improvisation est source de décisions susceptibles d’aggraver la situation existante comme l’ont établi les lois de Murphi :
1ère loi : « Tout ce qui peut tourner mal tournera mal »
2ème loi : « Tout ce qui peut tourner mal tournera mal et au mauvais moment »
Cependant, ces plans ne peuvent être que des plans « cadres » qui énoncent les grandes lignes d’action et fournissent aux acteurs du drame les meilleures armes possibles pour agir dans les délais.
notre travail, qui est conçu pour le Centre Hospitalier Régional de Huy comporte trois parties essentielles et s’articule comme suit :
1. Approche de la médecine de catastrophe
Cette section m’a paru indispensable pour imprégner un profane de la philosophie générale de la médecine de catastrophe qui exige des techniques spécifiques. Ce chapitre concentre tous les problèmes qui se posent quand les besoins dépassent de façon importante les moyens de secours en situation de crise.
2. Description physique de l’hôpital
La structuration de l’hôpital va considérablement influencer le choix des procédures et la méthodologie d’élaboration du plan d’urgence, cette partie aboutira :
- a la description globale de l’hôpital et à la présentation des services dont il dispose.
- Au recensement et à l’étude des risques qui pèsent sur l’institution et qui sont susceptibles de la détruire.
3. La troisième partie : Plan d’Urgence Interne
L’essentiel du travail consistera en l’élaboration et la conception du plan MASH en cas de sinistre interne à l’institution et en l’actualisation du plan MASH existant pour les sinistres externes afin que cet ensemble adhère au mieux aux derniers concepts en cette matière défendus par les cours interuniversitaires de médecine d’urgence collective (ULB-UCL-Ulg) – Erasme 2004, notamment par les Professeurs JB Gillet, Guerisse et Michiels. L’hôpital représente, dans l’esprit du patient, un havre de sécurité où toutes les conditions sont réunies pour qu’il recouvre rapidement la santé. Mais l’activité humaine et la technologie, si présentes dans les établissements de soins, en font aussi des structures sensibles où la rupture d’équilibres, parfois fragiles, peut amener à l’incident grave mettant en danger la vie du patient. Si la prévention et l’attention de tout moment restent les meilleures protections contre ce type de situation, nous devons aussi, dans nos institutions hospitalières, pouvoir envisager le pire et nous préparer à réagir pour sauver les vies dont nous sommes responsables. C’est cet aspect de la gestion d’un hôpital que nous allons envisager ici.
Par ce travail nous allons essayer de compléter les moyens d’intervention du Centre Hospitalier Régional de HUY par un Plan d’Urgence Interne en se concentrant notamment sur les consignes et procédures pour faire face à un sinistre interne, afin d’actualiser et compléter le plan M.A.S.H. existant.
Souhaitant en connaître plus sur ce sujet, un peu éloigné de notre formation de base, nous prenons contact avec différents responsables d’hôpitaux du pays, avec des institutions « ressources » (Agence Nationale pour la Prévention des Incendies, Ecole du Feu de Seraing, SIPP CHR Citadelle de Liège, urgences CHU Brugman et CHU St Luc…), nous consultons différentes sources (littérature, Internet).
Malheureusement, l’organisation de chaque hôpital étant à la fois complexe et unique il ne nous est pas possible de trouver une solution applicable telle qu’elle ; mais nous collectons ainsi une masse d’informations dont certaines guideront notre réflexion. Cette base théorique vous est présentée dans la partie qui suit.
1.2. Choix du sujet
En avril 2002, alors que nous cherchons un sujet de mémoire, notre médecin chef de service des urgences, le Dr Trinco, ainsi que Mme Faveau, infirmière chef d’unité des urgences, nous proposent de réaliser un travail sur les procédures d’urgences internes à l’hôpital et ce dans le cadre de la mise à jour du plan M.A.S.H.
Comme base à ce travail nous disposons d’une circulaire du Cabinet de la Santé publique reçue le 02 août 1999, rappelant toutes les mesures préventives à adopter afin que se passe pour le mieux le « bug 2000 », d’une circulaire du 04 avril 2003 relative à une série de recommandations générales en en cas de propagation intentionnelle d’agents biologiques et d’utilisation de substances chimiques ou ainsi que d’autres toxiques, en application de PAR du 17 octobre 1991 (MB 6/12/1991), d’un « check listing » d’inspection de sécurité des hôpitaux bruxellois émanant du cabinet du gouverneur de Bruxelles Capitale. Après discussion, nous avons décidé de cibler notre réflexion principalement sur les procédures d’évacuation des salles d’hospitalisation.
1.3. Limites de la recherche
Comme définit par Madame Deliege, trois limites doivent être précisées : les limites de champs, d’espace et de temps. Définir le champ vise à formuler de façon explicite l’objet de la recherche et le type de population sur laquelle portera l’étude. Cadrer l’espace consiste non seulement à en délimiter les frontières extérieures, mais aussi à en fixer les unités territoriales, à propos desquelles on souhaite obtenir des résultats significatifs.
Premièrement, nous voulons attirer l’attention sur les limites contextuelles de cette recherche. La santé est un concept à la fois multidimensionnel et culturel. La cadre dans lequel s’inscrit le service d’urgences répond à une (voire plusieurs) définition(s) de la santé.
Choose an application
Les urgences, qui n'y a pas mis les pieds au moins une fois dans sa vie ? En 1990, nous étions 7 millions à avoir franchi leurs portes. Trente ans plus tard, nous sommes 20 millions. Vingt millions à nous y presser la peur au ventre avec un bras cassé, un enfant fiévreux, une blessure bénigne ou pas, un infarctus… Ou simplement avec nos angoisses. Vingt millions à y faire la queue des heures durant, à côté de SDF venus y trouver refuge, de toxicomanes en manque, de personnes âgées que les institutions spécialisées ne veulent plus prendre le risque de soigner. Vingt millions pour qui ces urgences sont devenues le dernier recours médical quand le médecin de ville a tiré sa révérence, quand le spécialiste nous donne des rendez-vous à trois mois, ou quand nous ne savons plus vers qui nous tourner avec des proches en phase terminale… Certains s'étonnent qu'il y ait des accidents ? Que parfois des patients soient oubliés sur un brancard ? A lire l'excellente enquête menée par Jean-Marie Godard au plus près du personnel des urgences, on s'étonne surtout qu'il n'y en ait pas plus. Les femmes et les hommes qui y travaillent sont en première ligne. Au front du social et du médical. 24 heures sur 24. Mais malgré leur dévouement, comment espérer qu'ils résolvent cette équation impossible : faire face à toujours plus de malades avec toujours moins de moyens. Alors, ils accumulent les heures… jusqu'à frôler le burn-out. Bienvenue aux urgences.
Choose an application
Choose an application
Une situation cocasse a mené Harlow aux urgences de l'hôpital St Luke. Elle s'y fait soigner par le célèbre Dr Scott Shepard, incorrigible séducteur et héros de l'émission Allô, docteur ? Journaliste pour un magazine people, Harlow décide d'écrire un article anonyme sur le médecin. Son billet est tout sauf tendre, et Scott devient furieux quand il tombe dessus. Quelques jours plus tard, ils se trouvent nez à nez au théâtre. Harlow est démasquée, mais Scott, intrigué, essaie de la séduire. Si leurs échanges sont explosifs, Harlow se surprend toutefois à apprécier sa présence… Un médecin séducteur et une piquante journaliste !
Listing 1 - 10 of 180 | << page >> |
Sort by
|