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"Il est impossible, après lecture de ce travail, de croire qu'on peut guérir un toxicomane en le considérant seulement sous cet angle réducteur : "c'est un toxico", même si lui-même s'y prête jusqu'à s'identifier au mot dont on l'épingle. Il est impossible qu'il guérisse s'il n'est pas considéré en sujet et sans qu'il ressente que sa souffrance préalablement enracinée dans son histoire est maintenant prise au sérieux", écrit Françoise Dolto dans sa préface. L'ouvrage invite en effet à se dégager du discours médical pour donner à l'écoute du toxicomane la seule place qui permet peut-être à un acte thérapeutique d'éviter les pièges qui l'attendent.
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La toxicomanie est un fléau qui touche une partie importante de la société, près de 50.000 personnes en Belgique. Face à ce phénomène, le médecin généraliste a un rôle important car il peut agir en tant qu'acteur de première ligne et accompagner le patient tout au long de son parcours thérapeutique. Légalement, un médecin généraliste peut prescrire un traitement de substitution à maximum deux patients. S'il veut en suivre plus, tout en veillant à ne pas dépasser le maximum de 120 patients, il devra suivre une formation de base, une formation continue ainsi qu'assister à des réunions d'intervisions. La première consultation est un moment important où le médecin établira un lien avec son patient afin de mieux le connaître et de lui proposer un accompagnement aussi proche que possible de ses besoins. Il faudra donc se fixer des buts dès le début : veiller à une réinsertion sociale, familiale, atteindre une qualité de vie honorable, limiter les effets liés à la consommation voire l'abstinence. Pour ce faire, le médecin usera avec sagesse de la parole et du traitement de substitution. Celui-ci est basé sur l'administration contrôlée de méthadone ou de buprénorphine en officine. L'avantage est de pallier au syndrome de manque, d'apporter une stabilité à un patient pour qui la vie était entièrement basée autour de la drogue et de lui assurer l'usage de molécules contrôlées. L'administration orale diminuera le risque de maladies associées aux injections. En plus du traitement médicamenteux, le médecin généraliste doit aussi préparer la réinsertion du patient et pour ce faire, il n'est pas seul. Il peut compter sur l'aide de partenaires tels que les pharmaciens, les assistants sociaux, les spécialistes ainsi que sur les associations locales agissant dans le domaine de la toxicomanie et les centres hospitaliers.
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Dependence. --- Dopamine. --- Drugs.
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