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Revue complète de la littérature sur la question, les points de vue de l'étiologie, du diagnostic de l'évolution des troubles et de la rééducation de la dysphasie sont envisagés. La partie théorique est complétée par l'analyse de quatre enfants dysphasiques suivis au centre de rééducation du langage et de la parole
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L'objectif de ce mémoire est d'étudier l'évolution du langage d'un groupe d'enfants dits dysphasiques et d'étayer ou, le cas échéant, d'infirmer ce diagnostic. Nous avons procédé tout d'abord à une approche théorique de la dysphasie, puis nous passons à la description du matériel utilisé dans la partie pratique et nous terminons par l'exposé et l'analyse des résultats obtenus auprès de chacun des enfants
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Description de la phonation dans le cadre de la communication verbale; circonstances de la voix et risques courus par ceux qui en font un usage professionnel; recherche étiopathogénique par l'analyse de 5 grandes approches : médicale, neuro-linguistique et cognitive, orthodontique, gestuelle, psycho-affective; méthodes diagnostiques et essai d'orientation thérapeutique.
DYSPHASIE --- LANGAGE -- TROUBLE --- LOGOPEDIE --- PHONATION
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L'origine des difficultés des enfants dysphasiques est un sujet suscitant de nombreuses controverses. Avec la découverte d'altération de plusieurs capacités non-linguistiques chez ces enfants, les hypothèses du trouble, qui étaient dans un premier temps linguistiques, ont cédé la place à des hypothèses non-linguistiques. Celles-ci ont l'avantage d'être en mesure de rendre compte à la fois des difficultés verbales, cognitives et motrices que présente l'enfant dysphasique. Cependant, ce domaine n'est investigué que depuis quelques années et les recherches rendant compte de ces théories ne sont pas nombreuses. En 2005, Ullman et Pierpont amènent l'hypothèse d'un déficit procédural chez les enfants dysphasiques. L'apprentissage implicite, à la base de l'acquisition de beaucoup de nos compétences -notamment langagières- serait altéré chez ces enfants. Afin d'éprouver cette hypothèse et de tester les capacités de détection de régularités chez les enfants dysphasiques, nous avons utilisé deux paradigmes couramment utilisés dans le champ de l'apprentissage implicite : une tâche de temps de réaction sériel (en modalité visuelle) et deux tâches de grammaire artificielle (l'une en modalité visuelle, l'autre en modalité auditive). Nos résultats montrent que les sujets dysphasiques ont appris de manière efficace les régularités qui leur ont été présentées, indépendamment de la modalité dans laquelle étaient proposés les stimuli et de la complexité des séquences. De plus, nous n'observons pas de lien stable entre les performances grammaticales et les capacités d'apprentissage séquentiel chez les sujets dysphasiques alors que le modèle d'Ullman et Pierpont (2005) prédit une corrélation entre ces deux domaines. Bien que certains points restent encore à éclaircir, nos résultats vont à l'encontre de l'hypothèse d'un déficit procédural dans le trouble dysphasique.
Langage --- Enfant --- Dysphasie --- Apprentissage implicite --- trouble --- développement
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Ce travail s'inscrit dans un objectif plus général que se fixe la recherche actuelle, soit accroître les connaissances et développer des outils permettant d'améliorer l'évaluation et par là-même la prise en charge des troubles pragmatiques. Cette étude exploratoire cherche à cerner plus précisément les profils langagiers de 7 adolescents, pour lesquels on suspecte ou diagnostique des troubles pragmatiques, associés à des traits dysphasiques. Elle repose sur une problématique soulevée dans la littérature récente, soit l'absence de distinction claire entre les difficultés relevant des domaines pragmatique et discursif. Au cours de cette étude, nous explorons donc la nature des difficultés langagières présentées par ces adolescents, et la part des difficultés attribuable à chaque domaine, à travers des épreuves narratives, une tâche conversationnelle et un questionnaire d'évaluation subjective des difficultés. Les résultats de l'étude mettent en évidence que tous les participants présentent des difficultés linguistiques, tant au niveau de la structure du langage, que de son usage.
Langage --- Adolescent --- Dysphasie --- Logopédie --- Pragmatique --- trouble
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Comptes-rendus d'entretiens avec des parents d'enfants dysphasiques; présentation de la méthode Ledan; considérations générales.
DYSPHASIE --- LOGOPEDIE --- ORIENTATION SCOLAIRE --- PARENTS --- VECU PSYCHOLOGIQUE
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Analyse du langage spontané et induit de l'enfant dysphasique au moyen de la Batterie de langage de Liège et du L.M.P.V.
DYSPHASIE --- ENFANT --- LANGAGE -- DEVELOPPEMENT --- LANGAGE -- TEST
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Ce mémoire a pour objectif d'étudier les relations entre le retard de développement morphosyntaxique chez les enfants dysphasiques, et d'éventuelles difficultés de catégorisation grammaticale, en accord avec les théories constructivistes. Méthodologie : comparaison de 16 enfants dysphasiques francophones appariés à 16 enfants tout venant de même âge chronologique, pour la production de pseudo-noms et pseudo-verbes, lors de séances de jeu. Les enfants dysphasiques ont montré une plus grande dépendance à l'input, ce qui appuie la thèse d'une masse critique nécessaire pour la constitution des catégories plus importante que chez les enfants tout venant. Le groupe contrôle a également produit significativement moins de pseudo-verbes que de pseudo-noms, et ce dans des structures grammaticales moins complexes. Ceci montre que les enfants dysphasiques ont des catégories verbales moins robustes que leurs catégories nominales. Plus généralement, le manque d'abstraction de leurs catégories grammaticales expliquerait leur retard de développement morphosyntaxique.
Langage --- Enfant --- Dysphasie --- Syntaxe --- Catégorisation sémantique --- développement
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Le but de ce présent mémoire est de décrire les difficultés morphosyntaxiques rencontrées par les enfants dysphasiques à travers l'approche constructiviste. L'objectif de ce mémoire est d'évaluer les hypothèses confirmées par l'approche constructiviste auprès d'enfants tout-venant et de les appliquer à une population présentant une pathologique langagière. La partie pratique tentera, à partir de transcriptions réalisées et analysées avec le programme CLAN, d'appuyer les hypothèses issues des théories constructivistes. Nous avons comparé dans un premier temps les productions de quatre enfants tout-venant aux productions déjà obtenues et analysées de quatre enfants dysphasiques (appariés à l'ECOSSE, au milieu économique...) à une tâche de priming. Puis, dans un second temps, nous avons comparé les productions des enfants dysphasiques à la première épreuve de priming avec une épreuve de complètement de phrases. Les résultats indiquent un effet significatif des structures acquises vs non acquises chez les enfants SLI mais pas chez les enfants tout-venant. Les enfants dysphasiques ont des difficultés dans la production de nouveaux items surtout pour les structures non acquises, (moins fréquemment entendues et émises dans leur environnement et donc moins enracinées). Néanmoins, lorsque nous comparons les deux groupes d'enfants, il n'y a pas de différences significatives entre les résultats sauf pour les structures non acquises lorsque la structure cible doit être reprise. Il semble que les enfants dysphasiques suivent le même pattern développemental que les enfants tout-venant. Enfin, la dernière partie de l'étude a souligné l'effet bénéfique pour les enfants dysphasiques d'augmenter le nombre d'exemplaires du schéma à produire en présence de structures qu'ils ne maîtrisent pas.
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Ce travail consiste en une approche psychométrique des conséquences des convulsions hyperthermiques sur le développement du langage. La comparaison des résultats du groupe expérimental (enfants ayant convulsé) et du groupe contrôle nous permet de vérifier l'existence d'un lien entre les convulsions hyperthermiques et certains troubles du développement du langage, notamment la dysphasie ou le retard simple.
CONVULSION --- ENFANT --- LANGAGE -- DEVELOPPEMENT --- LANGAGE -- TROUBLE --- LANGAGE -- TEST --- DYSPHASIE
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