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Ada a dix-neuf ans. Elle accepte d'aller dîner chez un garçon qu’elle connaît. Tout va très vite, elle ne se défend pas. Son corps est meurtri, son esprit diffracté. Le récit d’Ada se mélange à ceux d’autres, tous différents et pourtant semblables. La même sale histoire, insensée et banale.
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CONSENTEMENT (DROIT) --- DROIT JUDICIAIRE --- SILENCE --- CONSENTEMENT (DROIT) --- DROIT JUDICIAIRE --- SILENCE
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La loi du 5 juillet 2011 fait intervenir le juge des libertés et de la détention à l'hôpital psychiatrique. Elle rend ainsi la législation conforme à l'article 66 de la Constitution qui prévoit que toute personne dont la liberté individuelle est atteinte doit pouvoir rencontrer un juge.Dorénavant, les psychiatres doivent, au douzième jour, soumettre systématiquement au contrôle du juge les certificats médicaux de contrainte de soins hospitaliers. Le juge garantit le respect des droits fondamentaux, c'est-à-dire la régularité de la procédure et le bien-fondé des motifs de l'hospitalisation contrainte. Il se positionne ainsi dans une considération citoyenne, à l'écoute d'une personne malade qui, bien qu'en période de grande fragilité psychique, a droit de cité.Ainsi, le psychiatre n'est plus seul à porter l'autorité de la décision d'hospitalisation sous contrainte. Le juge valide ou peut invalider le fait que la protection de la santé l'emporte sur la liberté d'aller et venir et le libre consentement aux soins.Ce recueil décrit les situations cliniques susceptibles de faire l'objet d'une contrainte de soins. Il explique également comment celle-ci s'exerce à l'hôpital, avec les différents soignants. Enfin, cette loi fraîchement édictée, dont une historienne rappelle la genèse depuis 1838, est encore l'objet de plusieurs questionnements. Ainsi, les psychiatres et les magistrats s'interrogent mutuellement sur les limites de leurs champs respectifs d'intervention avec cependant une mission commune : la considération et le respect de la dignité des personnes qui souffrent de troubles psychiques.
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Cet ouvrage a pour ambition de donner une portée clinique et politique à l’aphorisme « Céder n’est pas consentir ». Il démontre la profondeur de cette distinction, en s’appuyant sur la psychanalyse, la philosophie et la littérature. Le consentement porte toujours en lui une énigme, car consentir, c’est dire « oui », sans savoir, sur fond d’un pacte de confiance avec l’autre. Ce fondement énigmatique du consentement, qui peut aussi comporter une ambiguïté, ne doit pas être confondu avec le forçage. Cet essai pose donc la nécessité éthique d’affirmer une frontière entre « consentir » et « céder » en distinguant l’énigme du consentement comme expérience subjective, de l’expérience du traumatisme sexuel et psychique. Examinant les différents degrés du « se laisser faire », depuis l’expérience de la passion amoureuse jusqu’à celle d’un « se forcer soi-même à faire ce qu’on ne désire pas », Clotilde Leguil montre comment la frontière peut devenir trouble. Traumatisme de guerre, traumatisme intime, comment revenir de ce qui s’est produit ? Comment à nouveau consentir à dire ? S’inscrivant dans l’actualité du mouvement metoo, des collages anti-féminicides, et de la parution du récit événement de Vanessa Springora, cet essai, clinique et politique, fait valoir la nécessité de retrouve une langue à soi, pour pouvoir dire « je » à nouveau.
Consent (Law) --- Sexual consent --- Sexual consent --- Consentement (droit) --- Consentement sexuel --- Consentement sexuel --- Psychiatry. --- Political aspect. --- Psychanalyse. --- Aspect politique.
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Qu’il s’agisse de consentements affectifs et sexuels, de consentements médicaux sous leurs différents aspects (aux soins qui nous sont proposés, que nous subissons et auxquels nous devons nous soumettre), de divers consentements juridiques et commerciaux, ou de toutes autres natures, la question du consentement s’érige en question majeure pour les sciences humaines. Elle émerge sur fond d’une crise des accords tacites intrasociaux, intrafamiliaux et plus généralement des rapports interpersonnels, liée aux remaniements identitaires de l’espace commun. Cet ouvrage permet de mettre au jour cette dimension majeure des accords tacites alors que le consentement est essentiellement envisagé du point de vue de l’importance contractuelle et positive qu’encourage le droit. Le modèle en est le « consentement libre et éclairé ». En montrant qu’il y a un travail du consentement, que le consentement est un processus et pas seulement un contrat, et en le démontrant à partir d’exemples précis, cet ouvrage veut contribuer à une attention fine au « travail du consentement » pour l’accompagner, le soutenir dans le soin médical, familial mais aussi social, en vue d’une conception émancipatrice et libre des relations et du monde humain.
Assentiment (philosophie). --- Sciences sociales et morale. --- Sociologie et philosophie. --- Consentement (droit). --- Consentement sexuel. --- Consentement éclairé (droit médical). --- Médecine --- Droit. --- Assentiment (philosophie) --- Consentement (droit) --- Consentement éclairé (droit médical) --- Médecine --- Consent (Law) - Philosophy --- Sexual consent --- Informed consent (Medical law) --- Sexual ethics --- Interpersonal relations --- Consent (Law) --- Consentement (Droit) --- Consentement sexue --- Consentement éclairé (Droit médical) --- Law --- Droit --- Philosophy --- Philosophie --- Consentement sexuel
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Violences sexuelles --- Droit pénal --- Consentement sexuel --- Droit
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Consentement sexuel --- Violences sexuelles --- Sexualité --- Droit
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