Listing 1 - 10 of 10 |
Sort by
|
Choose an application
Central African rain forests contain a wide diversity of tree species but logging focusses on a restricted range of valuable timber species. We assume that forest management mainly consists in the management of timber tree populations living in their natural environment. This approach is illustrated with the example of moabi, a timber species from Cameroon. For two and a half years, we measured survival, growth, fecundity and spatial distribution of every class of seedlings and trees of this species in permanent plots located in the "Réserve de Faune du Dja" and in the adjoining concession. After an introduction chapter, we study phenology and germination of moabi, seed dispersal by mammals, seedling growth in the understorey and demographic parameters of the adult population. On the basis of these values, we build a matrix model which reproduces the evolution of class sizes of moabi over a period of time. This demographic model enables on the one hand to quantify the impact of the present logging practices on tree population dynamics and on the other to assess the impact of various management scenarios designed by changing parameters such as limit diameter and rotation time. Based on ecological data, this thesis provides a quantitative decision tool for the management of natural tropical forests.
plant population --- population structure --- population dynamics --- Tropical forests --- Forest management --- Botanical composition --- woody plants --- Noms vernaculaires --- Baillonella toxisperma --- Baka --- Cameroon --- Cameroon --- Baillonella toxisperma --- Baka
Choose an application
forest stands --- Aucoumea klaineana --- Forest management --- population dynamics --- Reforestation --- Sustainability --- Baillonella toxisperma --- Okoume --- Moabi --- Gabon
Choose an application
forest trees --- Tropical forests --- Regeneration. --- Regeneration --- Germination --- Forest plantations --- Baillonella toxisperma --- Autranella congolensis --- Cameroon
Choose an application
Tropical rain forests --- Forestry policies --- Forest management --- Regeneration. --- Regeneration --- Adjustment of production --- Aucoumea --- Baillonella toxisperma --- Moabi --- Okoume --- Gabon
Choose an application
communal forests --- Shifting cultivation --- Controlled burning --- agroforestry --- timber trees --- Planting --- Terminalia superba --- Baillonella Toxisperma --- Moabi --- Pychantus Angulensis --- Ilomba --- Staudtia Kamerunensis --- Frake --- Cameroon
Choose an application
La pollinisation croisée est un mécanisme essentiel au maintien de la diversité végétale. En forêt tropicale, les insectes jouent un rôle déterminant dans la pollinisation des arbres de la canopée. Toutefois, les espèces animales impliquées demeurent peu connues. Par ailleurs, l’exploitation forestière, qui constitue le premier mode d’affectation des terres en Afrique centrale, pourrait compromettre cette pollinisation croisée en espaçant les arbres fertiles. Mais, étant donné la difficulté d’accès aux fleurs des arbres émergeant dans la canopée, ce phénomène a été très peu étudié. En conséquence, cette étude vise à : (i) identifier les insectes pollinisateurs de deux espèces très recherchées pour leur bois d’oeuvre et (ii) proposer une méthode d’étude généralisable à d’autres espèces. Les espèces étudiées sont le doussié rouge (Afzelia bipindensis Harms) et le moabi (Baillonella toxisperma Pierre). Quatre techniques de capture ont été testées (le piège à papillons, le piège Malaise, le filet à papillons et le piège photographique), directement dans la canopée et sur des arbres abattus. Des arbres sans fleur ont servis de témoin. Au total, 697 insectes ont été capturés dont 336 Lépidoptères, 172 Hyménoptères, 84 Diptères, 31 Coléoptères et 74 d’autres ordres. Dans la canopée des A. bipindensis en fleurs, 59% des insectes capturés sont des Lépidoptères nocturnes (Hétérocères). Les observations directes et par piège photographique ont en outre relevé la présence sur les fleurs d’un Lépidoptère de la famille des Sphingidae et de Coléoptères du genre Anomalia sp (Scarabaeidae, Anomalia) butinant les fleurs. Dans la canopée de B. toxisperma, 48% des insectes sont également des Lépidoptères nocturnes (Hétérocères), leur rôle en tant que pollinisateur n’a cependant pas pu être confirmé. Apis mellifera adansonii L. (Hymenoptera : Apidae) et un Diptère non identifié jouent probablement un rôle important dans la pollinisation. Les résultats de cette étude laissent présager que l’exploitation légale n’entrave probablement pas la pollinisation croisée chez les deux espèces. Des études complémentaires sont toutefois nécessaires pour identifier plus précisément les espèces impliquées et leur rôle exact. La communauté observée différant en fonction du mode de piégeage et du statut (debout ou pas), nous recommandons pour le futur d’utiliser le piège jaune, le piège lumineux à plaques transparentes ainsi que les pièges photographiques placés dans la canopée des arbres.
Afzelia bipindensis --- Baillonella toxisperma --- pollinisateur --- canopée --- trouée d'abattage --- piège Malaise --- piège à papillons --- filet à papillons --- Sciences du vivant > Sciences de l'environnement & écologie
Choose an application
Les forêts tropicales du bassin du Congo sont aujourd’hui sujettes à de nombreuses pressions de natures diverses rendant incertain l’avenir de ces écosystèmes complexes. La défaunation, résultat de l’impact des activités humaines sur les populations animales, se traduit par des effets en cascade aboutissant à l’existence d’« empty forests ». Il est dès lors essentiel d’étudier les interactions faune-flore afin d’améliorer la compréhension globale sur la dynamique de ces forêts. Dans ce contexte, cette étude a pour but d’enrichir les connaissances sur les interactions de l’éléphant de forêt avec différentes espèces ligneuses. Les objectifs de ce travail sont : i) quantifier l’importance de l’éléphant dans le processus de dispersion d’essences à haute valeur commerciale ou patrimoniale, ii) caractériser les processus de prédation et de dispersion secondaire survenant lors de la consommation de graines dans les fèces d’éléphants, et iii) identifier les profils d’odeurs d’écorces appréciées par les éléphants et d’éventuelles molécules attractives. L’étude s’est déroulée dans Parc National de la Lopé, situé au centre du Gabon. La zone d’étude se trouve dans le nord du parc, composé d’une mosaïque de forêts-savanes. Afin de répondre aux deux premiers objectifs, des caméras-pièges ont été disposés i) aux pieds de semenciers de Detarium macrocarpum et de Bobgunnia fistuloides afin d’identifier le cortège d’espèces impliquées dans la dispersion des fruits de ces essences, ii) en visant des fèces d’éléphants afin d’identifier les éventuels disperseurs secondaires et prédateurs des graines présentes dans celles-ci. Pour répondre au troisième objectif, des échantillons d’écorce de huit essences appréciées par les éléphants ont été récoltés et analysés en laboratoire afin d’ y identifier les composés volatils. De nombreuses espèces ont été observées autour des semenciers étudiés, l’éléphant est le principal disperseur de ces deux essences. Cependant, le céphalophe à dos jaune (Cephalophus silvicultor) consomme également les fruits de D. macrocarpum et le céphalophe de Peters (Cephalophus callipygus) ceux de B. fistuloides. Sur les 18 crottes observées, des mandrills (Mandrillus sphinx) et potamochères (Potamochoerus porcus) en fouillent respectivement 11 et 7. Ceux-ci agissent comme prédateurs des graines. Finalement, 85 composés volatils ont été identifiés dans les huit échantillons, dont six sont retrouvés systématiquement dans chaque essence : le beta-pinène, l’éthanol, l’éthylbenzène, le limonène, le p-xylène et le toluène. Au vu de l’importance qu’occupe l’éléphant au sein du cortège de disperseurs de D. macrocarpum et B. fistuloides, sa disparition entrainerait un déséquilibre majeur des populations de ces essences. Cette étude suggère que les fèces d’éléphants constituent une source de nourriture récurrente pour des mandrills et potamochères agissant comme prédateurs des graines dispersées. Ces processus secondaires réduisent l’efficacité de l’éléphant comme disperseur mais ne l’anéantissent pas. L’analyse des profils d’odeurs des essences écorcées révèle une grande variabilité entre les essences. Des études complémentaires seraient nécessaires pour caractériser de façon certaine le rôle des composés volatils dans la sélection d’aliments par l’éléphant.
Forêts tropicales --- Afrique centrale --- Gabon --- éléphant de forêt --- Detarium macrocarpum --- Bobgunnia fistuloides --- Baillonella toxisperma --- dispersion --- piège photographique --- fèces --- écorcement --- molécules volatiles --- Tropical forests --- Central Africa --- Gabon --- forest elephant --- Detarium macrocarpum --- Bobgunnia fistuloides --- Baillonella toxisperma --- dispersal --- camera trap --- dung --- barking --- VOC --- Sciences du vivant > Sciences de l'environnement & écologie
Choose an application
Tropical rain forests --- communal forests --- Food resources --- Fruit --- Hunting --- Rodents --- Drug plants --- Wood --- Market research --- resource management --- Anonidium mannii --- Baillonella toxisperma --- Irvingia gabonensis --- Ricinodendron heudelotii --- Santiria trimera --- Trichoscypha --- Tetrapleura tetraptera --- Cameroon
Choose an application
forest trees --- Hardwood --- Natural regeneration --- Lophira alata --- Lovoa trichilioides --- Aucoumea klaineana --- Pterocarpus soyauxii --- Reconstruction forestière --- Guarea cedrata --- Tieghemela africana --- Testulea gabonensis --- Guibourtia --- Baillonella toxisperma --- Dacryode --- Swartzia fistuloides --- Entandrophragma cylindricum --- Entandrophragma congoense --- Gabon
Choose an application
En Afrique Centrale, les populations de certaines essences forestières commerciales importantes risquent de rapidement diminuer. Les déficits de régénération d’origine multiple, le changement climatique et le rythme d’exploitation élevé souvent observé sont les facteurs principaux qui menacent ces essences. Afin de respecter le critère 6.6 des standards FSC, les sociétés d’exploitation forestières certifiées Pallisco-CIFM et Precious-Wood CEB, engagées dans une démarche de gestion durable, mènent des efforts d’enrichissement pour certaines de ces essences. C’est notamment le cas pour Erythrophleum suaveolens, Erythrophleum ivorense, Distemonanthus benthamianus et Baillonella toxisperma. Dans le but d’assurer l’efficience des opérations d’enrichissement, ces sociétés forestières ont installé dans leurs concessions des tests de provenance pour ces trois essences. Plusieurs paramètres dendrométriques et sanitaires sont régulièrement mesurés sur les arbres implantés dans ces dispositifs expérimentaux. Cette étude vise à modéliser les données de croissance collectées dans les tests de provenance jusqu’en 2022. Les résultats des modélisations sont utilisés pour recommander aux gestionnaires forestiers les provenances et les familles les plus adaptés aux activités d’enrichissement
Tests de provenance, structure génétique spatiale, génétique forestière, Baillonella toxisperma, Disthemonanthus Benthamianus, Erythropleum spp, modèles croisés mixtes, régression segmentée, gestion durable des forêts du bassin du congo. --- Ingénierie, informatique & technologie > Multidisciplinaire, généralités & autres
Listing 1 - 10 of 10 |
Sort by
|