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« Ma vie a été marquée par des ruptures sociales, culturelles, spirituelles, ecclésiales... Elles ont été douloureuses, exigeantes. Mais aussi source d'un don plus grand, d'une renaissance plus vive, d'une joie plus pleine. L'excellence consiste à faire bien avec le peu que l'on a. Et même avec ce qui vient à manquer ! Cela demande une forme d'attention spirituelle, alliée à un travail de compréhension des situations, afin de se tenir à la jointure des enjeux du monde. Rien n'est jamais perdu, rien. Dieu ne reprend pas ce qu'il a donné et ne change pas d'idée à l'égard de ceux qu'il a appelés (Rm 11,29). Oui, Dieu ne reprend pas ses dons. Ou s'il les reprend, c'est pour donner l'occasion de les multiplier ! »À travers le récit de son engagement comme laïc et la longue traversée de la crise d'un mouvement chrétien, Fondacio, Gérard Testard aborde des questions fondamentales pour la vie des chrétiens et de toute l'Église : le sens du discernement, la docilité à l'Esprit, la place des laïcs et la prise en compte des charismes de chacun, la bonne gouvernance... L'auteur montre qu'il est possible de repartir lorsque tout paraît défait et que l'on se heurte à l'expérience du non-sens. En même temps, c'est toute une génération qu'il fait revivre sous nos yeux, avec son enthousiasme, ses erreurs, ses espérances.Gérard Testard a été président de Fondacio de 1987 à 2008. Il est l'initiateur d'Efesia, association qui promeut la culture de la rencontre entre chrétiens et musulmans autour de la figure de Marie et l'engagement humanitaire
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Les auto/biographies de personnages historiques offrent une approche personnalisée des événements et soulignent les valeurs incarnées par des individus charismatiques à des moments clés du passé. Au cinéma ou sur la scène de théâtre, les biographies historiques s'affichent comme des reconstructions qui traduisent l'empreinte de la mémoire, des sentiments et des ressentiments, sur le récit de l'Histoire.Cet ouvrage contribue au débat sur l'autobiographie, récit qu'une personne réelle fait rétrospectivement de sa propre vie, et sur la biographie, récit fait par un auteur sur une personne réelle. Ainsi, à travers une approche comparative entre les arts (cinéma, théâtre, littérature, arts visuels) et les cultures (française, anglophone, germanique, hispanique), cet ouvrage interroge sous un angle original le mythe des Grands Hommes.
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Immer mehr Menschen verspüren heute das Bedürfnis, ihre Lebenserinnerungen aufzuschreiben. Sie schreiben manchmal für ihre Kinder, für Verwandte oder Freunde - vor allem aber für sich selbst. Schreibend wollen sie den roten Faden in ihrer Lebensgeschichte erkennen: Wie bin ich zu der Person geworden, die ich heute bin? Wo stehe ich jetzt - und was kann ich mit dem vor mir liegenden Leben noch anfangen? Auf dem Hintergrund vielfältiger Erfahrung mit Schreibwerkstätten zeigt die Autorin, wie Menschen heute schreibend ihr Leben reflektieren. Warum schreiben sie? Welche lebensgeschichtlichen Ereignisse stellen sie dar? Was haben sie als problematisch, was als positiv erlebt? Welche Erfahrungen sind typisch für eine bestimmte Generation? In vielen Textbeispielen entfaltet sich ein großer Reichtum an gelebtem Leben, ein buntes Panorama aus Zeitgeschichte und individuellem Schicksal. Darüber hinaus offenbart sich die sinnstiftende und selbsttherapeutische Funktion des autobiographischen Schreibens.
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The essays by American, Asian, Australian and European critics collected here demonstrate the opening up of auto/biography studies to the border-crossing implied by the concept of mediation: processes of social and cultural translation are examined in various forms – from photographic self-representation to oral histories – and practices, from media coverage through marketing of written lives to performing the self. These essays reveal that auto/biography goes much further than the narrow examination of an individual’s life; for instance, life narratives intersect human rights in post-Apartheid South Africa, genomics is haunted by the structure of eugenics, and quilting can reveal a material history to those who can decode it. In mediating these lives, the essays ask us to engage with diverse questions of ethics, gender politics, postcolonial critique, institutional frameworks, and the basic question of how acts of mediation influence the telling and re-telling of lives.
Autobiographie --- Congrès --- Autobiographie --- Congrès
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La Compagnia di Gesú, nata nel secolo della Riforma e della Controriforma per combattere le eresie, abolita nel Settecento illuminista, riportata in vita nell'Ottocento romantico e reazionario, impegnata infine nelle tragedie del XX secolo, ha svolto ruoli diversi nel tempo. Ha accolto personalità tra di loro in vivace contrasto ma questo non ha impedito che nel corso dei secoli la parola «gesuita» continuasse a evocare un tipo umano speciale: sofisticati maestri di finzione e di doppiezza. Fu facile per critici e avversari giocare ogni volta sul luogo comune della distanza tra l'inarrivabile modello di Cristo e le difettose, parziali imitazioni di chi si fregiava del suo nome. Distanziandosi da tali stereotipi Adriano Prosperi racconta chi furono in realtà i primi gesuiti e come ne fu costruita la speciale coscienza di «chiamati» da Cristo a essere i nuovi Apostoli del mondo moderno. Lo fa attraverso l'analisi delle loro «autobiografie» che mettono in luce il rapporto tra la vocazione, la chiamata divina, e l'arbitrio umano nell'ascoltare e nel rispondere ad essa: un territorio oscuro, pieno di incidenti imprevedibili, dominato dalla resistenza umana.
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