Narrow your search
Listing 1 - 2 of 2
Sort by

Book
L'aurige et les chasseurs : chef d'oeuvre d'orfèvrerie antique = The charioteer and the hunters : a masterpiece of ancient silversmithing
Authors: --- --- ---
ISBN: 2970043548 Year: 2007 Publisher: Neuchâtel : Chaman édition,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Parfait exemple du luxe affiché par la haute société durant l’Antiquité, le plat offert par Madame Monique Nordmann au Musée d’art et d’histoire de Genève se distingue par son riche décor en relief. En argent massif, rehaussé à la feuille d’or, l’objet pèse 3’650 gr. Son médaillon central représente un aurige – un conducteur de char - lors d’une course dans le cirque. La frise qui se développe sur le rebord du plat est traitée avec un grand réalisme et fournit de précieux renseignements sur les méthodes de chasse pratiquées par les Anciens. Si l’atelier d’où provient ce chef-d’oeuvre reste difficile à localiser, sa datation ne fait aucun doute : aux alentours de l’an 300 de notre ère. « L’aurige et les chasseurs » s’adresse à tous les amateurs de l’Antiquité. Les thèmes abordés sont illustrés en couleur par de somptueux objets provenant de toute l’Europe et de la Méditerranée. L’ouvrage présente en grand format certains objets inédits, mais aussi une sélection de chef-d’oeuvres provenant des musées les plus prestigieux.

Attelages antiques libyens
Authors: ---
ISBN: 2735106454 2735118630 Year: 2016 Volume: 2 Publisher: Paris : Éditions de la Maison des sciences de l’homme,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Cavalier et méhariste dans l’armée, maitre d’attelage diplômé de la Fédération équestre française dans le civil, bricoleur exceptionnellement doué dans ses loisirs Jean Spruytte est l’homme de plusieurs vies. II s’y est acquis un coup d’œil et une sagacité rares. En 1977, ses Études expérimentales sur l’attelage renouvelaient de fond en comble un sujet sur lequel le commandant Lefebvre des Noëttes avait eu le mérite d’attirer l’attention, mais Ie tort d’accumuler les contresens. Aujourd’hui, Jean Spruytte s’attaque à ce qu’on aurait pu appeler Le mystère de la roue de Brooklyn. Une roue en bois d’une facture insolite, oubliée après bien des vicissitudes dans les réserves d’un musée new-yorkais, Iui permet de proposer une interprétation inattendue des peintures rupestres d’une petite région du Tassili n’Ajjer, dans le Sahara central. Vers le milieu du premier millénaire avant notre ère, la population qui vivait là élevait des chevaux et les dressait à l’attelage, à l’aide de chars d’une structure simplifiée et allégée au maximum, mais d’une conception fort élaborée. Les chevaux dressés étaient vraisemblablement destinés aux établissements phéniciens de la cote libyenne, d’où venaient également les chars, en pièces détachées. La démonstration d’une rigueur et d’une élégance toutes classiques, fait justice de toutes les élucubrations romanesques qui ont si souvent, dans le domaine de l’art rupestre saharien, tenu lieu de théorie. Ce récit passionnant est aussi une leçon de méthode.

Listing 1 - 2 of 2
Sort by