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Antidépresseurs. --- Psychopharmacologie. --- Antidepressants. --- Psychopharmacology.
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Antidepressive Agents --- Respiratory organs --- Respiration --- Diseases --- Antidepressive Agents. --- Depression --- Antidépresseurs --- Dépression nerveuse --- drug therapy --- Chimiothérapie --- Thérapeutique --- drug therapy. --- Antidépresseurs. --- Chimiothérapie. --- Thérapeutique. --- Dépression --- Respiratory Tract Diseases --- Respiratory organs - Diseases
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Antidepressants. --- Antidepressants. --- Antidepressive Agents. --- Antidépresseurs. --- Stimulants. --- Stimulants. --- Stimulants. --- Tranquilizing Agents. --- Tranquilizing drugs. --- Tranquilizing drugs. --- Tranquillisants.
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ISOTOPES --- PROSTAGLANDINES --- THROMBOXANES --- NITROGEN HETEROCYCLES --- ANTIMICROBIENS --- ADRIAMYCINE --- ANTIBIOTIQUES ANTHRACYCLINIQUES --- HORMONES HYPOPHYSIOTROPES --- SEDATIFS --- ANTIDEPRESSEURS NON-TRICYCLIQUES --- ANTIARTHRITIQUE --- CUIVRE --- THIOSEMICARBAZONE --- CUIVRE --- ISOTOPES --- PROSTAGLANDINES --- THROMBOXANES --- NITROGEN HETEROCYCLES --- ANTIMICROBIENS --- ADRIAMYCINE --- ANTIBIOTIQUES ANTHRACYCLINIQUES --- HORMONES HYPOPHYSIOTROPES --- SEDATIFS --- ANTIDEPRESSEURS NON-TRICYCLIQUES --- ANTIARTHRITIQUE --- CUIVRE --- THIOSEMICARBAZONE --- CUIVRE
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Antidépresseurs --- Depression --- Depression, Mental --- Depression, Mental. --- Dibenzazepines --- Dépression --- Mianserin. --- Psychopharmacologie --- Psychopharmacology --- Psychopharmacology. --- Congrès. --- Drug therapy. --- Therapeutic use.
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Des millions de personnes doivent vivre au quotidien avec la dépression. Mais si cette maladie est désormais couramment diagnostiquée, elle suscite toujours de vives interrogations : comment la distinguer de la simple tristesse ? S'agit-il d'une affection liée au mode de vie moderne ou « occidental » ? Les causes en sont-elles biologiques, psychologiques, ou sociales ? Et comment la traiter ? Dans "L'empire du malheur", Jonathan Sadowsky propose une mise au point essentielle sur cette forme aussi répandue que méconnue de détresse psychique. Il retrace à cette fin la longue histoire de la dépression et des réponses qui lui ont été apportées : l'apparition de ses différents avatars (comme la célèbre mélancolie), la naissance de la psychanalyse et des psychothérapies, le développement des diagnostics de dépression dans la période de l'après-guerre, et enfin l'essor, à partir des années 1980, de médicaments comme le Prozac. Au fil d'une analyse qui convoque aussi bien les traités médicaux que les récits biographiques, il souligne la dimension fortement inégalitaire de cette maladie. Et démonte une à une les approches qui, par dogmatisme, en viennent à négliger la souffrance qu'elle produit.
Dépression --- Psychanalyse et psychiatrie --- Psychothérapie --- Antidépresseurs --- Histoire --- Dépression --- Histoire. --- Thérapeutique --- Depression, Mental --- Mental illness --- Treatment --- Depression --- history
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In 2009 Irving Kirsch sent shockwaves through the scientific, pharmaceutical and wider health care community by publishing his work on the effectiveness of antidepressants. His study claimed that antidepressants comprise little more than active placebos, and suggested that the conscious concealing of that fact was the “dirty little secret” of the pharmaceutical companies. Since, the antidepressant efficacy is the object of heated debates. These debates take place on many different levels: clinical trials which compare antidepressant efficacy to placebo (with their focus relative efficacy, or on methodological issues), research and theories either trying to explain antidepressant efficacy (trough biological and cognitive mechanisms) or its inefficacy, focus on risks and adverse effects, focus on long term effects, etc. This paper aims to provide an overview of the current state of the antidepressant efficacy debate.
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Introduction : Le vieillissement actuel de la population place la personne âgée au cœur des préoccupations de Santé Publique. Comme d’autres médicaments, il est prouvé que les antidépresseurs peuvent avoir des effets secondaires sur la santé et en particulier sur celle des personnes âgées. Malgré ce constat, il existe encore des désaccords sur le lien entre la prévalence de la dépression et l’usage des antidépresseurs en Belgique. Pourtant, la plupart des formes de dépression pourraient ne pas être traitées par antidépresseurs. C’est pourquoi les approches non-pharmacologiques restent pertinentes dans le traitement des dépressions, comme la participation à des activités physiques, sociales, instrumentales ou de loisirs qui pourraient réduire les dépenses induites par ce type de traitement. Cette recherche porte sur les indications de l’usage important d’antidépresseurs chez les personnes âgées en maison de repos pour tenter d’observer si oui ou non la pratique d’activités permet d’influencer cette consommation. Matériel et méthodes : Ce travail se base sur une recherche quantitative qui a été réalisée sous forme de questionnaires dispensés à plusieurs personnes âgées en maison de repos, afin d’évaluer leur état dépressif, leur consommation ou non d’antidépresseurs et leur pratique d’activités. D’autres paramètres ont été étudiés tels que des données sociodémographiques et cliniques. Les analyses statistiques ont été réalisées sur un échantillon de 101 participants. Résultats et conclusion : Nous n’avons pas pu mettre en évidence un lien entre la pratique d’activités et la prise d’antidépresseurs. Toutefois, une augmentation du niveau d’activité générale et de la fréquence d’activités sociales traduisait une absence de dépression. De plus, un lien a été établi entre la prise ainsi que le nombre croissant d’antidépresseurs et le sentiment de passivité. Enfin, un lien entre le nombre croissant d’antidépresseurs et la présence d’antécédents chirurgicaux et médicaux a également été établi. Ces résultats témoignent des difficultés à mettre en avant les facteurs influençant la prise d’antidépresseurs chez les personnes âgées institutionnalisées. La consommation d’antidépresseurs en maison de repos pourrait être étudiée au travers de l’évaluation du bien-être du résident, vu les résultats significatifs de la perception de l’état de déprime.
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L’anxiété de séparation est un trouble comportemental caractérisé par des vocalises, des destructions et des déjections émises par l’animal, uniquement lorsqu’il est laissé seul. C’est un trouble comportemental fréquent et sous diagnostiqué, alors que poser quelques questions simples aux propriétaires permet souvent d’en faire le diagnostic. Au bout d’un certain temps, ces comportements indésirables peuvent venir à bout de la patience des propriétaires et de leurs voisins ; ceci peut se solder par un abandon voire une euthanasie de l’animal. Un diagnostic rapide et une prise en charge efficace sont donc essentiels. Une thérapie comportementale constitue toujours la base de la prise en charge de l’anxiété de séparation. L’emploi d’antidépresseurs en complément de la thérapie comportementale est utile, d’une part, pour diminuer plus rapidement les comportements indésirables de l’anxiété de séparation et, d’autre part, pour permettre au chien de mieux vivre la thérapie comportementale, en retrouvant un équilibre émotionnel rassurant. La prescription de psychotropes étant réservée aux vétérinaires, elle constitue une opportunité pour fournir une prise en charge plus globale de l’animal, par rapport à celle que pourrait proposer un éducateur ou un comportementaliste non vétérinaire. Le vétérinaire doit s’assurer de proposer le traitement le plus efficace possible car les enjeux de la réussite du traitement de l’anxiété de séparation sont multiples : améliorer la relation entre l’homme et l’animal, contribuer au bien-être animal et permettre de réduire le nombre de chiens abandonnés. Separation anxiety is a behavioral disorder characterized by vocalizations, destructions and eliminations exhibited by the dog only when left alone. It is a frequent and under-diagnosed behavioral disorder, although asking a few questions to the owners is often enough to make the diagnosis. Over time, these unwanted behaviors can overwhelm the patience of owners and their neighbours and can lead to relinquishment or even euthanasia of the dog. Therefore, rapid diagnosis and effective treatment are essential. Behavioral therapy is the core treatment of separation anxiety. The use of antidepressants in addition to the behavioral therapy is useful, on the one hand, to obtain a faster decrease of the unwanted behaviors and, on the other hand, to enable the dog to experience therapy better, by restoring a balanced and appeasing emotional state. Since the prescription of psychotropic drugs is restricted to veterinarians, it constitutes an opportunity to provide a more global care of the animal, compared to that which could be proposed by an educator or a non-veterinary behaviorist. Veterinarians must make sure to propose the most effective treatment possible because the stakes of successful treatment of separation anxiety are multiple : rebuild the canine-human bond, contributing to animal welfare and reducing the number of relinquished dogs.
chien --- anxiété de séparation --- antidépresseurs --- thérapie comportementale --- dog --- separation anxiety --- antidepressants --- behavioral therapy --- Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
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