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Échec scolaire --- Agressivite chez l'enfant --- Agressivite chez l'enfant
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Agressivite chez l'enfant --- Comportement agressif --- Agressivite chez l'enfant --- Comportement agressif
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Si j'apprenais que mon fils est la risée de la classe parce qu'il parle sur le bout de la langue ou parce qu'il est gros, que pourrais-je faire ? Et si ma fille me révélait qu'elle a été témoin de taxage à l'école et qu'elle a peur d'être la prochaine victime ? Ou si on m'annonçait que mon enfant a été appelé au bureau de la directrice parce qu'il aide Julien à faire ses mauvais coups ? Ou pire, si la direction me convoquait parce qu'il a frappé durement une petite fille de première année ? Bref, que faire lorsque notre enfant subit de l'intimidation, du harcèlement, voire du taxage de la part d'un autre? Et comment réagir quand c'est lui qui exerce ces rapports violents? Que faire aussi s'il en est témoin ou complice ?Violence entre enfants : casse-tête pour les parents répond justement aux questions que les parents se posent sur la violence entre enfants, que ce soit à l'école, dans la cour, au parc ou sur Internet. Ce livre propose une démarche simple et pratique qui permet de comprendre à travers de multiples exemples les différentes formes de violence entre les enfants et nous aide à intervenir efficacement.
Canada --- Children and violence --- Violence chez l'enfant --- Agressivite chez l'enfant
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Télévision et enfants --- Violence --- Agressivité chez l'enfant --- Études transculturelles. --- A la télévision --- Télévision par satellite.
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Notre question de recherche était la suivante : « Qu’est-ce qui diffère au niveau des représentations de l’autorité parentale dans les familles où un enfant a été identifié comme agressif ? ». Afin de répondre à notre question, nous avons réalisé une étude de cas comparative. Le groupe clinique était constitué de trois familles avec chacune un enfant identifié comme agressif. Le groupe contrôle était également composé de trois familles mais avec un enfant non-agressif. La tranche d’âge concernée était 8-10 ans. Nous avons choisi de réaliser une étude qualitative. Les outils utilisés étaient les suivants : un entretien semi-structuré, l’observation d’une interaction ludique entre l’enfant et son/ses parent(s) et la réalisation d’un dessin de famille par l’enfant. Nous en sommes venus à la conclusion que les parents du groupe clinique avaient tendance à mettre en place un style parental plus extrême avec, cependant, une tendance à la permissivité. Par contre, les parents du groupe contrôle avaient tendance à adopter un style parental plus démocratique. En effet, nous avons observé que ces parents imposaient des règles à leurs enfants mais étaient également ouverts à la discussion et attentifs aux besoins des enfants. Les parents du groupe clinique avaient, par contre, davantage recours à la force physique. De plus, dans les familles de ce groupe, nous avons constaté que la relation parent-enfant avait tendance à être, du moins à certains moments, symétrique. A noter que les parents du groupe clinique étaient conscients des problèmes de comportement de leur enfant.
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Depuis quelques années, nous constatons un intérêt croissant pour les problématiques comportementales chez les enfants, sans pour autant retrouver une littérature abondante sur le sujet. Ce mémoire propose une exploration autour du thème de l’agressivité du jeune enfant abordée à la lumière des théories de l’attachement. Ce choix s’explique par la valeur octroyée aux premières interactions entre l’enfant et son environnement, fondement des compétences sociales. Il s’agit d’aborder l’agressivité dans une perspective relationnelle, selon l’hypothèse que l’enfant agressif démontre un attachement ambivalent. Pour ce faire, nous avons observé et testé dix familles au sein desquelles un enfant entre trois et cinq ans montrait de l’agressivité. La méthodologie utilisée combinait plusieurs types de mesures : entretien semi-structuré, observations des interactions ludiques analysées par l’axe II du 0 to 3 et tests d’attachement administrés à l’enfant et ses parents. Les résultats révèlent qu’il est possible d’identifier plusieurs facteurs communs chez les dix enfants qui semblent participer à leur problématique agressive. Parmi ceux-ci, on retrouve notamment une famille monoparentale (mère+garçon unique), une classe sociale peu élevée, une grossesse non planifiée, des évènements périnataux, un pattern d’attachement principalement désorganisé, des troubles de la relation entre le parent et l’enfant, un environnement négligeant, voire maltraitant, et des retards de développement. Cependant, on constate également des différences individuelles. Cela permet de conclure que l’agressivité du jeune enfant reflète une problématique relationnelle entre celui-ci et son parent tous deux carencés sur le plan de l’attachement, avec les conséquences que cela a sur le développement des compétences des deux protagonistes. Mots-clés : agressivité, attachement, jeune enfant, comportement, relation
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Ce mémoire aborde l’autorité parentale en lien avec l’agressivité chez l’enfant. Nous avons rencontré dix familles dont la moitié était composée d’au moins un enfant manifestant des conduites agressives. La première rencontre consistait en une discussion sur base d’un entretien semi-structuré et la seconde s’articulait autour d’une observation filmée d’un moment de jeu partagé entre parent(s) et enfant(s). Notre objectif était triple. Premièrement, il s’agissait de pouvoir analyser la thématique de l’autorité pour chacune des familles. Deuxièmement, nous désirions établir une comparaison entre le groupe de recherche et le groupe de comparaison, sur base des éléments récurrents issus des deux rencontres. Enfin, nous avions pour objectif de pouvoir élaborer des pistes de compréhension sur les comportements agressifs en nous basant sur les récurrences observées. Les résultats de nos observations révèlent que toutes les familles considèrent l’autorité comme étant nécessaire et que son but est d’obtenir l’obéissance de l’enfant. Cependant, contrairement au groupe de recherche, le groupe de comparaison aborde, entre autre, les notions d’autonomie et d’intégration sociétale. Nous constatons également que l’autorité des sujets du groupe de comparaison est majoritairement dans la continuité de celle transmise par leurs parents. Si nous nous penchons à présent sur les liens possibles avec l’agressivité chez l’enfant, plusieurs hypothèses peuvent être posées. Tout d’abord, il semblerait que l’autorité des parents d’enfants agressifs ne vise pas à l’autonomie de l’enfant. Ensuite, l’autorité ne semble pas exercée au nom d’une instance supérieure que serait la société, mais plutôt de manière aléatoire ou sur base des désirs momentanés des parents. De même, l’autorité des parents du groupe de recherche ne semble plus sous-tendue par l’appui du legs transmis des générations précédentes. Enfin, notons l’emploi de la force physique plus prégnant chez ces familles, quand le groupe de comparaison semble privilégier le dialogue dans son exercice de l’autorité.
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