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Les infections HPV font partie des maladies sexuellement transmissibles en progression depuis les trente dernières années, surtout chez les jeunes, dans les pays industrialisés. (Parent et al., 1998 – Ghedamssi et al ;, 2000 – Mastrolorenzo et al., 1999). Pour de nombreux auteurs, elle est la maladie sexuellement transmissible virale la plus fréquente (Pinot et al., 1999 – Mastrolorenzo et al., 1999).
Ces infections sont fréquentes et se traduisent par des manifestations présentes sous deux formes, l’une clinique (condylome exophytique) , l’autre infraclinique (condylome plan).
La particularité de cette M.S.T. est sa tendance à dégénérer en lésion dysplasique et ensuite en lésion néoplasique. HPV is present en greater than 90% of precancerous cervical lesions and close to 100% of cervical cancers (Wick, 2000). The oncogenic capacity of some HPV subtypes in anogenital cancers is now recognized. (Parent et al., 1998). On doit rester attentive surtout aux localisations vulvaires ou cervicales car ces lésions, les plus fréquentes, sont considérées comme des terrains propices aux VIN et CIN
Malgré des traitements adaptés en fonction de la localisation des lésions, le taux de récidive reste significatif (Maw et al., 1998)
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This text concentrates on DNA probes, providing background information, sample preparation, isotopic labeling procedures, non-isotopic labeling procedures, hybridization formats and detection procedures, and amplification systems.
Biological techniques --- Molecular biology --- Biotechnology --- DNA --- ADN --- Dna probes --- Dna probes. --- DNA probes. --- Nucleic acid hybridization. --- DNA Probes. --- Nucleic Acid Hybridization.
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Les cancers de la sphère oto-rhino-laryngologique (ORL) sont liés à la consommation de tabac et d’alcool. Depuis les années 80, des données cliniques ont mis en évidence un troisième facteur à risques, en établissant un lien entre une infection par le papillomavirus (HPV) et certains cancers de la sphère ORL. Lorsque l’on compare la survie des patients atteints d’un cancer de la sphère ORL infectés par un HPV (HVP+) et d’autres non infectés (HVP-), cinq ans après le traitement par chimio- et radiothérapie, les premiers présentent un taux nettement amélioré. La raison de cette différence n’a pas encore été établie. Récemment, il a été démontré, in vitro, que des cellules HPV+ issues de cancer ORL présentaient une sensibilité accrue à la radiothérapie. Ce mémoire s’inscrit dans un contexte qui cherche à comprendre pourquoi la survie des patients HPV positifs est nettement améliorée. Une raison pourrait être que les cellules HPV+ sont plus intrinsèquement plus radiosensibles, à cause de leur différence de profil biologique. L’immortalisation et la transformation des cellules infectées par un papillomavirus sont principalement dues à l’expression de ses oncoprotéines virales E6 et E7. Ces dernières ciblent respectivement les protéines suppresseurs de tumeurs p53 et pRb en les dégradant par ubiquitination. L’objectif de ce mémoire est d’investiguer l’implication des oncoprotéines virales E6 et E7 du papillomavirus humain dans la radiosensibilité accrue dans les cellules tumorales HPV positives, en produisant un modèle cellulaire HPV- qui exprime E6 et E7.Afin de créer un modèle cellulaire permettant d’étudier l’expression des deux oncoprotéines, l’ADN génomique de E6 et E7 a été cloné et transfecté dans une lignée cellulaire HPV négative : les HCT116. Il en existe deux souches : l’une est wild-type (WT) pour la protéine 53 alors que l’autre est déficiente pour cette même protéine (-/-). Deux lignées ont été créées pendant ce mémoire, les HCT116 WT E6 et HCT116 WT E7. Pour identifier l’impact des oncoprotéines, un test de clonogénicité a été effectué. Il y a une différence de sensibilité des cellules aux rayons ionisants en fonction du statut de la protéine p53 et de la transfection stable de l’oncoprotéine E7. Ensuite, le cycle cellulaire, la phosphorylation de l’histone H2AX (qui renseigne sur la proportion des lésions double brin) et le taux de réparation par recombinaison homologue et non homologue ont été analysés dans les différents types cellulaires. En conclusion, la différence de sensibilité des cellules transfectées par l’oncoprotéine E7 ne peut s’expliquer ni par l’arrêt en phase G2/M du cycle cellulaire, ni par la cinétique de déphosphorylation de γH2AX, ni par le taux de réparation par recombinaison non homologue.
Radiotherapy --- Otorhinolaryngologic Neoplasms --- DNA Probes, HPV
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In Situ Hybridization --- DNA Probes --- Chromosome Aberrations --- Leukemia, Myeloid --- genetics
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Criminal investigation --- DNA fingerprinting --- DNA probes. --- Evidence, Expert
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Nucleic Acid Hybridization --- DNA --- DNA Probes --- Chromosome Aberrations --- analysis
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EPIDEMIOLOGY, MOLECULAR --- SEQUENCE ANALYSIS, DNA --- DNA FINGER PRINTING --- DNA PROBES --- DNA PROBES, HLA --- ELECTROPHORESIS, POLYACRYLAMIDE GEL --- DIAGNOSTIC USE --- METHODS --- EPIDEMIOLOGY, MOLECULAR --- SEQUENCE ANALYSIS, DNA --- DNA FINGER PRINTING --- DNA PROBES --- DNA PROBES, HLA --- ELECTROPHORESIS, POLYACRYLAMIDE GEL --- DIAGNOSTIC USE --- METHODS
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PAPILLOMAVIRUSES --- POLYMERASE CHAIN REACTION --- PNEUMOCYSTIS CARINII --- CYTOMEGALOVIRUSES --- DNA PROBES --- PAPILLOMAVIRUSES --- POLYMERASE CHAIN REACTION --- PNEUMOCYSTIS CARINII --- CYTOMEGALOVIRUSES --- DNA PROBES
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Bioluminescence assay --- Chemiluminescence --- DNA probes --- Immunoassay --- Congresses. --- Diagnostic use --- Congresses --- Chemiluminescence - Diagnostic use - Congresses. --- Bioluminescence assay - Congresses. --- DNA probes - Congresses. --- Immunoassay - Congresses.
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DNA probes --- Emerging infectious diseases --- Nucleic acid hybridization --- Polymerase chain reaction --- Diagnostic use --- Diagnosis
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