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For most of the twentieth century, the writings of aestheticians of the French Enlightenment were neglected by philosophers and students of the fine arts. Coleman has applied philosophical analysis to the writings of Diderot, Montesquieu, Dubos, Batteux, André, and Crousaz, among others, to reflect on the fine arts of the first two-thirds of the eighteenth century.
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Y eut-il, entre 1919 et 1939, un fascisme proprement français ? Oui, contrairement à ce qu'affirme depuis longtemps l'historiographie française. La base de ce fascisme était-elle idéologique ? Non, affirme Michel Lacroix : elle était d'abord esthétique. Son ouvrage vise à montrer que tout du fascisme naît de l'esthétique ou y aboutit. Les discours, les pratiques symboliques et les textes littéraires ne cessent de le répéter : « Qui dit fascisme dit avant tout beauté » (Benito Mussolini). Qu'est-ce qu'un chef ou un héros pour les artistes fascistes ? Quelles valeurs cherchent-ils à promouvoir chez les jeunes en Allemagne, en Italie et en France ? À quel spectacle politique consacrent-ils leurs efforts ? Voilà les trois principales questions auxquelles répond Michel Lacroix. Pour y arriver, il est allé relire Drieu la Rochelle et Céline, mais il s'est aussi intéressé au scoutisme et à l'olympisme, à la sculpture comme au cinéma. C'est ce qui lui a permis de comprendre les rapports troubles du pathos, de l'exhibition, du sublime, de la violence et de la mort dans le fascisme français de l'entre-deux-guerres.
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Y eut-il, entre 1919 et 1939, un fascisme proprement français ? Oui, contrairement à ce qu'affirme depuis longtemps l'historiographie française. La base de ce fascisme était-elle idéologique ? Non, affirme Michel Lacroix : elle était d'abord esthétique. Son ouvrage vise à montrer que tout du fascisme naît de l'esthétique ou y aboutit. Les discours, les pratiques symboliques et les textes littéraires ne cessent de le répéter : « Qui dit fascisme dit avant tout beauté » (Benito Mussolini). Qu'est-ce qu'un chef ou un héros pour les artistes fascistes ? Quelles valeurs cherchent-ils à promouvoir chez les jeunes en Allemagne, en Italie et en France ? À quel spectacle politique consacrent-ils leurs efforts ? Voilà les trois principales questions auxquelles répond Michel Lacroix. Pour y arriver, il est allé relire Drieu la Rochelle et Céline, mais il s'est aussi intéressé au scoutisme et à l'olympisme, à la sculpture comme au cinéma. C'est ce qui lui a permis de comprendre les rapports troubles du pathos, de l'exhibition, du sublime, de la violence et de la mort dans le fascisme français de l'entre-deux-guerres.
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Y eut-il, entre 1919 et 1939, un fascisme proprement français ? Oui, contrairement à ce qu'affirme depuis longtemps l'historiographie française. La base de ce fascisme était-elle idéologique ? Non, affirme Michel Lacroix : elle était d'abord esthétique. Son ouvrage vise à montrer que tout du fascisme naît de l'esthétique ou y aboutit. Les discours, les pratiques symboliques et les textes littéraires ne cessent de le répéter : « Qui dit fascisme dit avant tout beauté » (Benito Mussolini). Qu'est-ce qu'un chef ou un héros pour les artistes fascistes ? Quelles valeurs cherchent-ils à promouvoir chez les jeunes en Allemagne, en Italie et en France ? À quel spectacle politique consacrent-ils leurs efforts ? Voilà les trois principales questions auxquelles répond Michel Lacroix. Pour y arriver, il est allé relire Drieu la Rochelle et Céline, mais il s'est aussi intéressé au scoutisme et à l'olympisme, à la sculpture comme au cinéma. C'est ce qui lui a permis de comprendre les rapports troubles du pathos, de l'exhibition, du sublime, de la violence et de la mort dans le fascisme français de l'entre-deux-guerres.
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Aesthetics, French. --- Social classes --- French aesthetics --- France --- Civilization --- Aesthetics, French
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Merleau-Ponty, Maurice --- Aesthetics, French - 20th century. --- Aesthetics, French
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L’esthétique scientifique n’a pas cherché le beau dans son essence mais dans ses moyens et dans ses effets. Elle a valorisé, autant que l’œuvre, l’observateur dans son ancrage corporel, et mis en avant l’expression plutôt que l’imitation. Son projet a pour toile de fond les développements des sciences expérimentales, de la physiologie et de la psychologie des sensations aussi bien que les réflexions sur la sympathie esthétique et l’empathie. Les termes du débat qu’elle suscite accompagnent l’émergence d’un mouvement de fond affectant la philosophie et les arts, résultat de la tension forte que recouvre la notion d’esthétique depuis le xviiie siècle, entre le beau et la sensation (l’aisthesis). Articulée au système des arts dès les années 1860, cette esthétique rationnelle est en outre le lieu d’un dialogue soutenu entre la philosophie et les pratiques artistiques. L’idée d’une science de l’art irrigue l’enseignement des beaux-arts comme elle accompagne certains développements artistiques de premier ordre, de la théorie néo-impressionniste à celle des débuts de l’abstraction. Réunissant philosophes de l’esthétique et historiens de l’art, l’ouvrage collectif Vers la science de l’art. L’esthétique scientifique en France, 1857-1937 forme le projet de remettre en lumière un corpus d’auteurs et de textes encore trop négligés et d’analyser le contexte de la culture scientifique et visuelle dans lequel ont émergé certaines des œuvres les plus significatives de la période envisagée.
Aesthetics, French --- Art and science --- History --- Aesthetics
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