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Carnet de voyage des BAC 1 ayant eu lieu du 21 avril 2018 au 24 avril 2018 à Bordeaux.
Bastide --- Bordeaux --- Aquitaine --- Guide d'architecture --- Carnet de voyage
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La société tendant vers la banalisation de tous les éléments constituant notre monde, je propose la ré-implication de tous dans l’élaboration personnelle de son milieu de vie. Cette implication passerait par la customisation, rendue possible par la juste utilisation du potentiel de deux autres modèles issus également de l’époque moderne. Le premier est la standardisation, phase durant laquelle le concepteur élabore un modèle dit « standard », fruit de l’établissement de règles hiérarchisant les idées et besoins alors clairement matérialisés. La seconde est l’industrialisation dont l’idée est de mettre dans les mains de tous l’objet « standard », par sa répétition ou sa disposition précise dans un contexte. Ces deux phases préalables à la customisation étant établies, chaque personne dispose d’un support à potentiel sur lequel il pourra facilement exprimer sa personnalité ou répondre à ses besoins. Ces trois concepts se complètent et se répondent afin de se mettre au service de l’Homme et non plus à celui du profit ou de la machine. Ces idées sont matérialisées et expérimentées au travers d’un projet reposant sur la mise au jour du potentiel de l’infrastructure qui n’est aujourd’hui pas entièrement exploité. Le territoire en détresse climatique du Norfolk, sur la côte Est anglaise, se présente alors comme une opportunité à saisir. Les inondations menaçantes sont l’occasion de mettre en place un système territorial de polder. Territoire principalement agricole, un polder y est déjà quasiment en place. Il ne reste alors plus qu’à aménager un système de pompage et de transport de l’eau, objet du projet mêlant infrastructure et architecture. société tendant vers la ba¬nalisation de tous les éléments constituant notre monde, je propose la ré-implication de tous dans l’élaboration per¬sonnelle de son milieu de vie. Cette implication passerait par la customisation, rendue possible par la juste utilisation du potentiel de deux autres modèles issus également de l’époque moderne. Le premier est la standardisation, phase durant laquelle le concep¬teur élabore un modèle dit « standard », fruit de l’établis¬sement de règles hiérarchi¬sant les idées et besoins alors clairement matérialisés. La seconde est l’industrialisa¬tion dont l’idée est de mettre dans les mains de tous l’objet « standard », par sa répétition ou sa disposition précise dans un contexte. Ces deux phases préalables à la customisation étant établies, chaque per¬sonne dispose d’un support à potentiel sur lequel il pourra facilement exprimer sa per¬sonnalité ou répondre à ses besoins. Ces trois concepts se complètent et se répondent afin de se mettre au service de l’Homme et non plus à ce¬lui du profit ou de la machine. Ces idées sont matérialisées et expérimentées au travers d’un projet reposant sur la mise au jour du potentiel de l’infrastructure qui n’est au¬jourd’hui pas entièrement ex¬ploité. Le territoire en détresse climatique du Norfolk, sur la côte Est anglaise, se présente alors comme une opportunité à saisir. Les inondations me¬naçantes sont l’occasion de mettre en place un système territorial de polder. Territoire principalement agricole, un polder y est déjà quasiment en place. Il ne reste alors plus qu’à aménager un système de pompage et de transport de l’eau, objet du projet mêlant infrastructure et architecture.
Hybridation --- Rénovation architecturale --- Durabilité --- Phénoménologie --- Le Corbusier, Charles-Edouard Jeanneret, 1887-1965
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Architectes en devenir, pouvons-nous, à notre échelle, influer sur les territoires en mouvement ? En fait, la question n’est pas de savoir si nous pouvons le faire, mais plutôt de savoir comment pouvons-nous le faire, avec nos outils ? Ce mémoire n’est-il pas une belle occasion de pouvoir actionner certains mécanismes, dans l’ombre, afin d’offrir à la société un regard nouveau sur nos territoires en mouvement ? Car il est bien question ici de point de vue sur le sujet. Selon moi, le changement de mentalité passe tout d’abord par le changement de perception du problème. Et l’architecture peut intervenir à ce niveau là. Le titre « Inverser le regard » signifie avant tout mettre ces territoires - en mutation écologique, climatique ou encore biologique - jusque là ignorés, dans la lumière car ils ont énormément à raconter et à offrir. Pour cela, le parti pris a donc été de ne pas étudier un territoire en particulier, mais bien de proposer une architecture adaptable à n’importe quel territoire, car c’est bien là que pourrait exister la vraie résilience - la capacité d’adaptation à une situation. L’idée est de proposer ici trois bras de leviers à actionner, trois pistes, trois outils de l’architecte, cumulables ou non, capables de révéler les changements territoriaux : La contemplation par l’utilisation du SIGNAL. L’équilibre par l’utilisation de la FORME STABLE. La permanence par l’utilisation du SANCTUAIRE.
Perception --- Structure --- Langage --- Jardin
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