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French (3)


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1991 (2)

1982 (1)

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Effets in vitro d'agents immunosuppresseurs

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Une meilleure connaissance de l’efficacité des médicaments immunosuppresseurs utilisés en clinique, peut être utile dans la conduite des traitements. On a donc essayé d’observer in vitro dans des conditions déterminées les effets des immunosuppresseurs (CsA, MP, AZA et OKT3).
Notre étude nous a permis de déterminer dans des tests in vitro la dose de médicaments immunosuppresseurs qui inhibe 50% de l’incorporation de thymidine tritiée mors de la stimulation mitogénique des lymphocytes. Nous avons vérifié si les différentes associations d’immunosuppresseurs, qui ont été testées, montrent une synergie d’action. Seules le couple Cyclosporine A et méthylprednisolone provoque une inhibition significativement plus importante de la prolifération cellulaire en MLR. Ce résultat soutien l’importance de cette association dans le traitement des greffés. L’association de médicaments immunosuppresseurs, tels que CsA, l’AZA ou la MP, est également utilisée lors d’injections d’OKT3 afin de permettre de diminuer la fréquence et l’importance de l’apparition d’anticorps anti-OKT3 (35,38).
Il est à remarquer que ces tests mesurent l’effet des produits purs, et non ceux agissant réellement in vivo, valable surtout pout l’Azathioipine.
Il serait peut-être utile d’étendre cette étude en utilisant les sera des patients traités, et d’établir une corrélation entre l’effet immunosuppresseurs obtenu in vitro, et les concentrations sériques des divers métabolites des produits. Une comparaison de ces résultats à ceux avec les produits purs, permettrait d’évaluer l’influence du métabolisme.
Pour mettre en évidence l’activité, in vitro, inhibitrice des anticorps monoclonaux anti-CD3, il nous a fallu notamment dépléter en monocytes les cellules utilisées dans les tests de transformation lymphoblastique. En l’absence de monocytes, tant l’anticorps monoclonal OKT3 que le T3 inhibent la prolifération cellulaire par la phytohémagglutinine. Ces résultats confirment une des hypothèses du mécanisme d’action des anticorps anti-CD3, selon laquelle ces anticorps induiraient un état de « non réponse » des lymphocytes T en l’absence d’un second signal délivré par les monocytes.
Les lymphocytes T doivent, pour être activés, reconnaître un antigène étranger via leurs récepteurs cellulaire T. Ce récepteur est associé avec un complexe de protéines de surface dénommé CD3. Les anticorps anti-CD3 induiraient une comodualtion sélective de la surface cellulaire des récepteurs T et des antigènes CD3. Cette comodualtion des complexes récepteur T/CD3 par les anticorps anti-CD3 pourrait expliquer en partie l’efficacité des ses anticorps monoclonaux dans le traitement des crises de rejet aigu en transplantation rénale. Après avoir mis en évidence la modulation de l’antigène CD3 par l’OKT3 et le t3, il serait intéressant d’analyser le rapport entre la modulation observée et les modifications de comportement cellulaire au sein de la réponse immunitaire qu’elle engendre.


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Activité antiproliférative des sérums de patients traités par immunosuppresseurs

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Le but de notre travail était de déterminer par un test « in vitro », en l’occurrence l’inhibition d’une culture mixte lymphocytaire (MLR), l’activité immunosuppressive du sérum d’un malade greffé traité par un anticorps monoclonal anti-récepteur de l’interleukine 2 (LOTact) ou par l’anti CD3 (OKT3). Le taux sérique des anticorps était préalablement déterminé.
L’absence d’effet sur la MLR par des sérums d’individus normaux a été vérifiée. D’autre part l’inhibition observée avec des concentrations connues et variables de LOTact ou d’OKT3 a été établie. Les concentrations de cyclosporines A, d’azathioprine, de LOTact et d’OKT3 réduisant de 50% l’incorporation de thimidine d’une MLR ont été établies et sont respectivement de 40, 2500, 0.6 et 1 ng/ml.
La présence d’anticorps, même a faible concentrations, dans les sérums de patients entraîne une inhibition importante de la MLR. Il n’existe cependant pas de corrélation entre le taux de d’anticorps et le degré d’inhibition de la réaction. La grande variété de substances immunosuppressives présentes dans le sérum des malades, soit okt3, Lo-Tac, cyclosporine A, azathioprine et prednisolone, rend sans doute compte de ce phénomène. Parmi ces substances seuls les taux d’OKT3, de LOTact et de cyclosporine A sont connus.
Nous avons également recherché l’activité des sérums des malades en ce qui concerne l’activité cytotoxiques des cellules NK sur une lignée cellulaire K562, estimé par un test de relargage de chrome. Dans nos conditions expérimentales, les sérums des malades ne témoignaient d’aucune activité. De même les différentes substances immunosuppressives utilisées isolément ne produisaient aucun effet.


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Pharmacologie cellulaire d'anthracyclines antitumorales : étude sur cellules L1210 en culture
Authors: --- ---
Year: 1982 Publisher: Louvain: UCL,

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