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Partagée, singulière, profonde, répétitive, créative, la mémoire que Baudelaire définit dans ses écrits esthétiques est à géométrie variable. Un seul terme embrasse, en effet, des opérations aussi différentes que l’apparition passive du souvenir, sa recherche active, la mémorisation, la remémoration ou encore le souvenir réélaboré par l’imagination. Mais toutes sont essentielles au « culte des images » la « grande », « unique », « primitive passion » du poète des Fleurs du Mal. Et s’il fallait trouver une figure à qui ce culte serait dédié, nul doute que l’honneur reviendrait à Mnémosyne, mère des Muses
Art criticism --- Baudelaire, Charles, - 1821-1867 --- Baudelaire, Charles, 1821-1867
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Le genre de la vie d'artiste connaît au XIXe siècle un succès sans précédent. La vie et l'oeuvre ne pouvaient alors être séparées : les oeuvres étaient le produit nécessaire d'un individu aux agissements répertoriés, racontés, parfois romancés. A partir de 1850, la biographie va se consacrer au vrai et viser exclusivement à l'authenticité. Elle gagne en profondeur et en précision lorsque le biographe connaît l'objet de sa biographie, et que l'écrivain peut observer le peintre "d'après nature".Cette étude se propose ainsi de retracer, grâce à six témoins fondamentaux (Baudelaire, Barbey d'Aurevilly, Silvestre, les frères Goncourt et Valéry), les métamorphoses d'un genre protéiforme à l'histoire mouvementée.
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Le propos de ce livre repose sur une conviction, qui vaut comme méthode lorsqu'il s'agit d'aborder la critique d'art de Baudelaire : on ne peut penser la bonne peinture qu'au miroir de la mauvaise. On ne comprend pas complètement la valeur propre qu'une œuvre réussie prend aux yeux du poète si l'on ne possède pas de contre-exemple auquel l'adosser ou la confronter. Ce qui est moqué, ce qui est tourné en dérision, tout ce qui se trouve relégué dans ce que Baudelaire nomme «l'hôpital de la peinture» offre une diversité lexicale bien plus riche que l'appréciation, si complexe fût-elle, d'un idéal propre au critique.
Art criticism --- Painting, French --- Aesthetics. --- Art criticism. --- Painting, French. --- History --- Baudelaire, Charles, --- 1800-1899 --- France.
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Le propos de ce livre repose sur une conviction, qui vaut comme méthode lorsqu'il s'agit d'aborder la critique d'art de Baudelaire : on ne peut penser la bonne peinture qu'au miroir de la mauvaise. On ne comprend pas complètement la valeur propre qu'une œuvre réussie prend aux yeux du poète si l'on ne possède pas de contre-exemple auquel l'adosser ou la confronter. Ce qui est moqué, ce qui est tourné en dérision, tout ce qui se trouve relégué dans ce que Baudelaire nomme "l'hôpital de la peinture" offre une diversité lexicale bien plus riche que l'appréciation, si complexe fût-elle, d'un idéal propre au critique.
Art criticism --- Painting, French --- Aesthetics. --- Art criticism. --- Painting, French. --- History --- Baudelaire, Charles, --- Baudelaire, Charles, --- Aesthetics. --- 1800-1899 --- France.
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Un soir de décembre, un homme penché sur ses livres se voit dérangé par un bruit à sa fenêtre, qu’il ouvre. Entre alors un étrange oiseau qui répond d’une parole à ses questions : Nevermore, jamais plus. Telle est, en peu de mots, la trame du Corbeau, poème d’Edgar Allan Poe dont le succès fut tel qu’on le traduisit en français pas moins de seize fois entre 1853 et 1889. Ce sont ces seize versions que cette édition rassemble. On en connaît certainement les plus célèbres – celles de Baudelaire et de Mallarmé –, mais les autres ? L’histoire de la traduction de ce poème suit, s’ajuste et se conforme à l’histoire du vers : entre l’invention du vers libre et les développements nouveaux d’une prose poétique tenant ensemble le lyrique et le prosaïque, ce demi-siècle est témoin de bouleversements formels inédits dont ces diverses versions portent la trace.
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Rendez-vous officiel scandant la vie artistique du XIXe siècle, le Salon de peinture offre l'occasion aux journalistes et aux écrivains de faire entendre leur voix. Se constituant peu à peu en tant que véritable genre littéraire, le Salon polarise la critique d'art et propose une réflexion autour de l'actualité artistique. Parmi les nombreuses et remarquables plumes qui se sont prêtées à cet exercice, celle de Charles Baudelaire s'est imposée comme l'une des plus profondes et virtuoses. Moqueur, véhément, précis dans ses haines comme dans ses admirations, parfois lyrique, parfois philosophique, le ton du poète-salonnier fascine. « Ce genre d'article si ennuyeux qu'on appelle le Salon » devient chez Baudelaire le lieu d'une invention critique qui enjambe le recensement par le recours à une théorisation souveraine. Rassemblant une vingtaine de contributions, cet ouvrage entend saisir la singularité de la pensée baudelairienne de l'art, l'inscrire dans son siècle, et suivre, dans le Salon de 1845, le Salon de 1846 et le Salon de 1859, le développement d'une esthétique résolument moderne
Art, French --- Art criticism --- History --- Baudelaire, Charles, --- Aesthetics. --- Salon (Exhibition : Paris, France) --- Baudelaire, Charles, 1821-1867
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