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Book
La vérité des images : essais, discours et entretiens
Author:
ISBN: 2851813072 9782851813077 Year: 1992 Publisher: Paris : L'Arche,

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Keywords

Motion pictures --- Cinéma --- Cinéma


Book
Paris, Texas
Author:
ISBN: 3921568110 9783921568118 Year: 1984 Publisher: Nördlingen Berlin Greno Road Movies

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Script du film "Paris, Texas" de Wim Wenders. Suivent une série d'images extraites du film, ainsi que la bio et la filmographie des principaux acteurs et du réalisateur.


Book
Emotion Pictures : Essais et critiques
Author:
ISBN: 2851810723 9782851810724 Year: 1987 Publisher: Paris L'Arche


Film
Buena vista social club
Author:
Year: 2010 Publisher: [Paris]: Bac films,

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Une approche de la musique cubaine à travers ses meilleurs représentants, les musiciens du Buena Vista Social Club, un club musical qui connut un succès considérable jusqu'aux années '70 puis un déclin quand le style latino passa de mode... Redécouverts en 1997 par Ry Cooder avec qui ils enregistrèrent un disque malgré leurs âges canoniques (entre 80 et 90 ans!), les "Super Abuelos" (les super grands-pères) soulèvent l'enthousiasme des salles où ils jouent.Réalisé à Cuba avec une prise de son de grande qualité, le film de Wim Wenders alterne oeuvres musicales, interviews et extraits de concerts (Amsterdam, Carnegie Hall de New York). Il a également le mérite de susciter la réflexion sur le sort réservé aux personnes d'un certain âge et dont on se préoccupe fort peu de savoir s'ils ont ou non quelque chose à transmettre, un message à délivrer ou tout simplement un plaisir à faire partager. Avec Ry Cooder, Joachim Cooder, Ibrahim Ferre, Juan de Marcos, Ruben Gonzalez, Pio Leyva, Eliades Ochoa, Compay Secundo...


Film
Les Ailes du désir
Author:
Year: 2000 Publisher: [Lieu de publication inconnu]: [éditeur inconnu],

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;Dans un contexte plus proche de celui des Ailes du désir, on peut néanmoins citer Andrzej Zulawski dont le désormais culte Possession (1981) réussissait avec une dextérité remarquable à fondre étude psychologique et film d'horreur dans la traversée nerveuse d'un Berlin-Est anémique. ;Tout bien considéré, il n'est donc pas étonnant que Wim Wenders ait trouvé peu d'épigones dans le champ du cinéma d'auteur allemand contemporain : à la débauche d'effets de style et de signature du""super auteur"", les réalisateurs et réalisatrices qui ont émergé ces dernières années dans le sillage de la""Nouvelle Vague allemande"" préfèrent une relative sécheresse et se concentrent davantage sur les moyens proprement cinématographiques (dans le cadrage, dans le montage) qui leur permettent de raconter l'évolution de leur pays. " "Succès tant critique que public au moment de sa sortie, Les Ailes du désir, récompensé du prix de la mise en scène au 40e Festival de Cannes, offrit à Wim Wenders un retour triomphant sur la scène du cinéma d'auteur international. Si ce premier film européen après un long séjour aux États-Unis fut pensé comme une radiographie du Berlin de la fin des eighties, Wenders l'a en fin de compte mis en scène avec un gigantisme (mouvements de caméra complexes et ostentatoires, luxe d'effets visuels et sonores, scènes tournées en studio) qui s'avère très vite exténuant. Trente ans après sa sortie, Les Ailes du désir apparaît ainsi cruellement daté et, en dépit de toute la reconnaissance critique dont il a joui et continue de jouir, on ne doit pas craindre de lui faire rejoindre la liste des films prétentieux et auto-satisfaits que compte l'oeuvre du plus américanophile des cinéastes allemands : Au fil du temps, L'Ami américain, Si loin, si proche (pour ne citer que ceux réalisés dans la période de sa carrière habituellement qualifiée de""faste""). La caméra dans les nuages L'histoire que raconte Les Ailes du désir tient comme qui dirait sur un ticket de métro : les deux anges Damiel (Bruno Ganz) et Cassiel (Otto Sander), lassés de leur existence purement spirituelle parmi les humains, sont tentés de descendre sur Terre pour de bon. Ce premier volet est consacré à la chute de Damiel – Si loin, si proche, la suite que réalisera Wenders en 1993, se concentrera sur Cassiel – dans un Berlin encore très marqué par le clivage Est/Ouest, près de deux ans avant la destruction du mur. Dans le très beau noir et blanc – à la fois rugueux et un peu irréel – travaillé par Henri Alekan, ce sont des plans aériens de la capitale qui ouvrent Les Ailes du désir : de façon assez évidente, le point de vue de l'ange permet ici d'abolir, du moins virtuellement, les différentes frontières qui parcourent la ville. Posté au sommet de l'église du Souvenir, Damiel observe la vie qui grouille à ses pieds. Pour suggérer le don d'ubiquité (tant physique que mental) dont est doué le personnage, un design sonore passablement irritant transforme ici les bruits du microcosme urbain en murmure mystique où les voix intérieures des passants ressortent en off dans des monologues désincarnés. La caméra, après un bref séjour en avion (où l'on croise entre autres Peter Falk), se pose un peu sur Terre, notamment dans un immeuble où elle passe d'un appartement à l'autre, d'une pièce à la suivante sans rencontrer d'obstacle, recueillant au passage d'autres lamentations intérieures dont Wim Wenders ne fait rien de très intéressant : l'essentiel du problème est là, dans cette fluidité aveugle d'une caméra excessivement mobile qui signe chaque plan de sa présence envahissante. Une mobilité qui se révèle gênante à deux égards : en premier lieu, elle empêche de raccorder la substance des plans au sujet du regard, en l'occurrence l'ange, comme si au sein du même récit, deux films se livraient bataille en permanence (celui de la caméra et celui des personnages). Ensuite, cette volonté de tout montrer (ce que voient, ce qu'entendent les anges) au moyen d'une caméra qui vogue d'une silhouette à l'autre de façon tout à fait arbitraire est totalement inopérante puisqu'à chaque instant, l'artificialité du dispositif ressort avec une lourdeur des plus embarrassantes. Ceci est particulièrement flagrant dans la longue scène de la bibliothèque, lorsque la caméra passe à travers les usagers tandis que dans la bande son donne à entendre quelques bribes de réflexions intérieures en plusieurs langues : Wim Wenders souhaite visiblement suggérer que l'espace de la bibliothèque devient une sorte de Babel moderne où toutes les langues et toutes les cultures cohabitent sans jamais dialoguer, jusqu'à ce que les anges entrent en jeu pour ramener enfin un peu d'humanité dans cette indifférence universelle. Mais ce n'est pas aux anges qu'il incombe ici d'apporter ce supplément d'incarnation : on ne voit rien que la caméra toute-puissante qui, à travers de lents travellings et des mouvements de grue ostentatoires, fait régner sur l'ensemble de la scène une solennité pesante. Compte tenu du sujet des Ailes du désir, il aurait néanmoins pu être intéressant de jouer sur cette pesanteur ; sur la tension entre gravité et légèreté – une pointe d'humour aurait notamment permis de rendre le tout un peu plus digeste. Le cinéaste ne se l'autorise réellement qu'au détour d'une scène plutôt réussie, de loin la meilleure du film : on évoquait plus tôt ce""regard d'ange"" qui, dans la scène d'ouverture, abolissait partiellement les divisions traversant la ville. Cette promesse de dépassement se trouve quelque peu mise à mal au moment où, dans la seconde moitié du film, Damiel""tombe"" définitivement et devient humain : car c'est précisément devant le symbole par excellence de la désunion – un segment du Mur – qu'il choit sur le trottoir. La caméra s'avance lentement vers une barrière de sécurité qui masquait le corps inerte de Damiel puis un gros plan sur son visage endormi nous apprend qu'il vit encore. Une sorte d'armure en métal vient soudain frapper sa tête : il ouvre les yeux, les lève vers le ciel et comprend que l'objet s'est échappé d'un hélicoptère qui survole les lieux. Pour la première fois peut-être, Wim Wenders préfère la suggestion à la monstration, osant un peu d'autodérision et de légèreté. La bohème domestiquée Pour le reste, outre une profonde naïveté de structure (le monde des anges en noir et blanc, celui des humains en couleurs), Les Ailes du désir affiche une certaine malhonN°teté dans le regard qu'il porte sur son objet – l'indigence matérielle du poète que celui-ci parvient à transmuer en oeuvre d'art.""Pouvoir enfin pressentir les choses au lieu de savoir déjà tout."" C'est le voeu que prononcent les deux anges vers le début de leurs aventures terrestres, alors qu'ils sont assis à l'avant d'une décapotable exposée chez un concessionnaire de la ville. A ce moment, l'on s'imagine que Wim Wenders fait sien ce projet et qu'il va s'efforcer de le mettre en oeuvre dans la suite du film – ce qui n'arrive malheureusement jamais : en particulier dans la partie consacrée à l'histoire d'amour naissante entre Damiel et la trapéziste Marion (Solveig Dommartin), Wenders se contente de souligner des banalités creuses sur l'art et la vie sans jamais réussir à leur conférer un relief minimal à travers sa mise en scène. C'est que celle-ci n'apporte à aucun moment (ou presque) de réel contrepoint à la grandiloquence de son monolithisme : dans la première scène de trapèze, Wenders alterne vues en plongée et en contre-plongée qui à chaque fois surlignent la performance acrobatique de l'actrice (qui avait appris le trapèze en quelques semaines pour les besoins du tournage) au lieu de mettre en avant son état d'esprit supposément distrait (ce que lui reproche le directeur du cirque) ou une fragilité psychologique (le monologue intérieur qu'elle débite sur un ton monocorde) qui ne transparaît, du reste, pas vraiment. Si Les Ailes du désir se laisse malgré tout revoir sans trop de peine, c'est surtout par contraste avec le sequel grotesque que réalisera Wenders quelques années plus tard dans un Berlin à présent réunifié : Si loin, si proche porte le manichéisme des Ailes à un degré de ridicule assez stupéfiant (Bien contre Mal, noir et blanc contre couleurs, anges contre humains) sans jamais rien produire de consistant au sujet de l'Allemagne post-guerre froide. Nonobstant toute la bienveillance critique dont il bénéficie, ce diptyque peut donc être considéré comme parfaitement anecdotique, non seulement dans la filmographie de Wim Wenders mais aussi dans l'histoire du cinéma allemand contemporain. Autres temps, autres moeurs, certes, mais on a sans doute rarement dépassé l'habileté d'un Rossellini dans sa capacité à faire entrer en collision scènes tournées dans le confort du studio et nudité des extérieurs telle qu'elle se produit – avec bonheur – dans Allemagne année zéro (1948).

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Film
La lettre écarlate
Author:
Year: 2000 Publisher: [Lieu de publication inconnu]: [éditeur inconnu],

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"Parce qu'elle a trompé son mari, Hester Prynne a été condamnée, par la société puritaine de la Nouvelle Angleterre au 17e siècle, à porter sur sa robe la lettre écarlate ""A"" d'adultère. Pour les villageois, hantés par le souvenir des ""sorcières"", cette femme est considérée comme le diable, depuis qu'elle élève sa fille, fruit ""illégitime"". ""A travers l'histoire d'une jeune femme adultère sauvagement rejetée par une petite bourgade de la Nouvelle-Angleterre, aux heures sévères du puritanisme, Hawthorne a écrit un véritable poème sur le remords éternel, sur la permanence de l'inquiétude métaphysique. On comprend pourquoi Wenders, en 1972, à l'aube de sa carrière cinématographique, a pu être séduit. Ce cinéaste de l'introspection trouvait là un canevas des plus solides pour bâtir un film sur les tourments intérieurs, les sursauts de l'âme. Wenders a réussi. Suivant à la lettre la trame romanesque (ce qui, dans ses adaptations, fait office de cas unique), il a réussi, à force de dépouillement et de rigueur dans la direction des comédiens, à ce que sa Lettre écarlate soit une oeuvre où la suggestion l'emporte sur l'aveu. D'où ce film glacé, où la passion, depuis longtemps éteinte, a cédé le pas à l'obsession de la faute. On pouvait illustrer différemment ce thème. En 1926, Victor Sjôstrôm avait préféré le folklore des amours sulfureuses et condamnées au lent réquisitoire intérieur que propose Wenders. D'une grande beauté plastique, ce film bénéficie en outre de la présence de Senta Berger (noble et simple) et de Lou Castel (pour une fois parfait). Sans compter le talent de Hans-Christian Blech, en qui le cinéma allemand peut voir l'un de ses meilleurs comédiens."" (Fabian Gastellier, Jeune cinéma) "

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Le souffle de l'ange
Author:
ISBN: 9782866420710 2866420713 Year: 1988 Publisher: [Paris]: Cahiers du cinéma,

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Film
Pina : dansez, dansez sinon nous sommes perdus
Author:
Year: 2011 Publisher: Paris: France Télévisions Distribution,

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Film
Tokyo-ga / Carnet de notes sur vêtements et villes
Author:
Year: 2000 Publisher: [Lieu de publication inconnu]: [éditeur inconnu],

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"1. ""Tokyo-ga"" (1985 - 88') : Le journal filmé de Wim Wenders en voyage à Tokyo en 1983, et un vibrant hommage à Ozu, maître incontesté du cinéma japonais. Images de la ville de jour et de nuit, interviews... Wenders prend la mesure du Japon d'aujourd'hui, en rupture avec son âme et ses traditions, et communique sa passion et sa nostalgie des images pures et transparentes du grand cinéaste disparu en 1963. Compléments : Commentaire audio du film par Wim Wenders (vo, st. fr.) - Scènes coupées (14') - Commentaire audio des scènes coupées par Wim Wenders (vo, st. fr.) - Filmographies - Liens internet. 2. ""Carnet de notes sur vêtements et villes"" (1989 - 78') : Autour du styliste Yohji Yamamoto. Wim Wenders ausculte l'industrie de la mode, au jour le jour, autour des villes, autour du monde... Compléments : Commentaire audio du film par Wim Wenders (vo, st. fr.) - Scènes coupées (13') - Commentaire audio des scènes coupées par Wim Wenders (vo, st. fr.) - Défilé Yamamoto (6'45"") - Filmographies - Liens internet. "

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Film
Faux mouvement
Author:
Year: 2000 Publisher: [Lieu de publication inconnu]: [éditeur inconnu],

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Wilhelm, un homme tout ce qu'il y a de plus banal, part à Bonn avec l'envie de devenir écrivain. Dans le train, il fait la rencontre d'un ancien athlète olympique et de sa compagne. Une actrice et un jeune homme les rejoignent. Dès lors, rien ne se passera comme prévu pour Wilhelm... Une petite ville et ses installations portuaires sur les bords de l'Elbe, au nord de l'Allemagne. Depuis la feN°tre de sa chambre, le jeune Wilhelm Meister contemple, le regard vide, la place du marché tout en écoutant un disque de rock. Il veut devenir écrivain mais ne parvient pas à chasser un certain malaise. Encouragé par sa mère, il part sur les routes, à l'aventure. Dans un train en gare de Hambourg, il fait la connaissance de deux autres voyageurs, comme lui sans destination, deux vagabonds du spectacle : Laertes est un ancien nazi, la petite Mignon, femme-enfant, jongle avec des balles. Ils sont rejoints un peu plus tard par Thérèse, une actrice, puis par Bernhard Landau, qui se dit poète et se propose de les emmener chez son oncle. Mais il se trompe de maison et tombe avec ses nouveaux compagnons de route sur un industriel suicidaire qui les héberge pour la nuit renonçant ainsi pour un temps à son idée. Le lendemain matin, Wilhelm, Thérèse, Mignon et Bernhard partent en promenade sur une route qui serpente à travers la montagne, au coeur des vignobles de la vallée du Rhin. Des confidences, des sentiments s'échangent entre Laertes et Wilhelm, entre le jeune homme et Thérèse. A leur retour, l'industriel s'est pendu. Son suicide disloque inexorablement le groupe. Bernhard les quitte le premier. Ils passent la nuit à Francfort dans l'appartement de Thérèse. En traversant le Main à bord d'un bac, Wilhelm se rue sur Laertes avec la ferme intention de lui faire expier son passé d'ancien nazi. Le vieil homme parvient à se dégager et à s'enfuir dans la campagne une fois la rive opposée atteinte. Devant un supermarché, Thérèse, Mignon et Wilhelm se séparent. Au sommet des Alpes bavaroises, Wilhelm Meister contemple seul le paysage et les cimes enneigées. Dans sa traversée de l'Allemagne du Nord au Sud, de sentiments trop tardifs en actes vides de sens, Wilhelm a tout raté.

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