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Biologie --- Sciences pures --- Zuivere wztenschappen --- Bacteriologie --- 576.8.07
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De voorliggende handleiding wenst tegemoet te komen aan de vraag naar duidelijke, praktische en wetenschappelijk verantwoorde informatie over het vernieuwde vaccinatiebeleid. Het boek richt zich tot de medicus-practicus maar ook tot alle personen en instellingen die bij de uitvoering van het vaccinatieprogramma betrokken zijn. Ook aan de immunisatie van reizigers wordt de nodige aandacht besteed. Voor elk hoofdstuk werd beroep gedaan op een ervaren specialist ter zake. Daarbij werd gestreefd naar een zekere uniformiteit in de voorstelling. De praktische informatie over de beschikbaarheid, handelsnaam, kostprijs en terugbetalingsmodaliteiten beantwoordt aan de toestand einde 1995. Gezien het tijdelijke karakter van deze informatie en de snelle ontwikkelingen op het gebied van de immunisatie, ligt het in de bedoeling van de redactie, de lezer op de hoogte te houden door regelmatige aanvullingen op deze handleiding. Commentaar, kritiek en suggesties vanwege de lezers zullen ons hierbij ten zeerste behulpzaam zijn.
Immunologie --- pneumokokkeninfectie --- cholera --- meningokokkeninfectie --- reisziekten --- rabiës --- tyfus --- TBC (tuberculose) --- bof --- allergieën --- mazelen --- influenza --- rubella --- varicella --- Vaccination. --- 614.53 --- risicogroepen --- 614 ) Vaccinatie --- 605.11 --- arbeidsgeneeskunde (bedrijfsgeneeskunde) --- difterie (kroep) --- gele koorts --- griep (influenza) --- hepatitis A --- hepatitis B --- hepatitis --- kinderverlamming (poliomyelitis) --- rabiës (hondsdolheid) --- rode hond (rubella, rubeola) --- tetanus (klem) --- tuberculose (TBC) --- tyfus (paratyfus) --- zwangerschapscomplicaties --- Immunization, Active --- Active Immunization --- Active Immunizations --- Immunizations, Active --- Vaccinations --- Vaccinatie --- (zie ook: gerontologie) --- vaccinaties --- Academic collection --- bacteriologie --- gezondheidszorg --- immunologie --- vaccinatie --- virologie --- besmettelijke ziekten --- allergie (overgevoeligheid) --- geriatrie --- immunopathologie --- zwangerschap (graviditeit) --- zwangerschap --- Epidemiology --- hepatitisvirussen --- pediatrie (gez) --- vaccinatie (gez) --- Vaccination --- pediatrie --- rabiës (hondsdolheid)
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Enterobacteriaceae. --- Yersinia enterocolitica. --- Bactéries.
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L’étude de la protéine P1 chez quelques souches de référence, par agglutination dans leur sérum P1 homologue et dans des sérums P1 hétérologues, nous a permis d’établir un schéma de la diversité antigénique de la protéine P1 pour ces souches ; ce schéma est confirmé par des techniques de biologie moléculaire.
Deux particularités de la protéine P1 – sa structure en fibrilles et son caractère de protéine de membrane externe attachée à la surface de la bactérie - nous ont permis de la mettre en évidence par cette technique simple qu’est l’agglutination sur lame.
La détection de P1 réalisée en parallèle avec les tests de CA++ dépendance et d’autoagglutination définit cette protéine non seulement comme marqueur de virulence mais aussi comme témoin de la présence du plasmide pYV.
Enfin, la mise en évidence des divers facteurs de P1 sur un vaste échantillon de souches pathogènes introduit de nouvelles subdivisions ne correspondant pas à la classification en biosérogroupes. La protéine P1 constitue dès lors un marqueur de choix pour des études épidémiologiques
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Le but de ce travail est de mettre au point une technique ELISA pour la recherché directe des antigènes spécifiques de sérogroupes et de l’appliquer ensuite à l’étude épidémiologique de C.difficile au Bénin.
Au terme de celui-ci, les résultats que nous avons obtenus pour chacun de ces deux objectifs nous permettent de tirer les conclusions suivantes :
1. La technique ELISA.
La mise au point d’une technique ELISA utilisant des anticorps mono spécifiques a débouché sur un protocole opératoire simple permettant de sérotyper C.difficile directement à partir de colonies, avec une excellente sensibilité et spécificité.
Nos résultats confirment les travaux précédents ayant mis en évidence par des techniques d’immunotransfert l’antigène spécifique de chaque sérogroupe (Delmée et al., 1990b). Cette identification avait été suivie de la purification de cet antigène qui avait alors servi à immuniser un lapin.
La possibilité d’appliquer une technique ELISA apporte de nombreux avantages par rapport à la technique d’agglutination sur lame :
. Tout d’abord cette technique permet de différencier en un temps tous les sérogroupes et les sous-groupes connus. Il est évident que, dans cette perspective, nous sommes limités par le nombre d’antisérums disponibles qui n’est encore actuellement que de onze ; les autres antisérums devront être obtenus prochaînement. Cependant nos résultats montrent que, par ELISA, l’obstacle des réactions croisés liées à l’antigène flagellaire rencontré par agglutination, est parfaitement contourné (Delmée et al., 1990a). L’ELISA détecte spécifiquement tous les sous-groupes dans A pour lesquels nous disposions d’antisérums.
. La procédure permet par son automation de couvrir plus facilement le nombre croissant de sérogroupes connus. En effet, il devenait extrêmement fastidieux de procéder au typage sur lame étant donnée le grand nombre de sérogroupes.
. La possibilité e procéder au typage directement à partir de colonies raccourcit fortement les délais. En effet, l’agglutination sur lame nécessite une subculture et parfois même un réisolement avant celle-ci. De plus, comme nous l’avons souligné dans le texte, notre technique s’accorde parfaitement aux nouvelles techniques de détection des toxines A et B qui sont, depuis peu, également effectuées par ELISA. La possibilité de pouvoir répondre en même temps et dans un délai très court les résultats de la culture, du typage et de la toxigénicité des souches est d’un intérêt considérable pour le patient.
. L’économie d’antisérum réalisée est considérable puisque l’on travaille à des dilutions 10 à 100 fois plus importantes que pour l’agglutination. Ceci devrait permettre l’utilisation des antisérums par d’autres laboratoires.
L’application que nous avons faite à des souches isolées en routine dans le laboratoire a confirmé les résultats obtenus précédemment (Varis, 1991). A l’aide des antisérums actuellement disponibles, près de 80 % des souches sont typées. La technique est donc déjà utilisables en routine sans avoir nécessairement à attendre l’obtention de nouveaux antisérums.
2. L’enquête épidémique au Bénin.
Peu de choses sont connues quant à l’épidémiologie de C.difficile en dehors des pays dits industrialisés. En particulier, nous ne connaissions aucune étude ayant été faite en Afrique et il était donc particulièrement intéressant de mener l’enquête que nous avons réalisées à Cotonou.
Les résultats que nous avons obtenus au niveau de la prévalence sont assez conforme à ce que l’on pouvait attendre pour le raisons suivantes : l’hygiène, au niveau hospitalier en particulier, est faible et l’usage est très important et peu contrôlé. Ce sont là, comme nous l’avons vu dans l’introduction, deux facteurs de risque primordiaux pour C.difficile.
La prévalence élevée que nous avons observée est associée à une morbidité importante et notre typage des souches a permis de confirmer l’association de certains sérogroupes (C toxigène en particulier) avec les symptomatologies les plus graves. Il est particulièrement intéressant de constater le parallélisme entre le profil de résistances aux antibiotiques observé dans le sérogroupe C qui est tout-à-fait semblable à celui observé chez nous (Delmée et Avesani, 1988).
Les études antérieures de sérogroupes qui avaient été faites sur des souches reçues des 4 coins du monde avaient montré une certaine universalité des sérogroupes identifiés chez nous. Cela est confirmé ici puisque plus de 80 % des souches isolées appartiennent à des sérogroupes que nous connaissions.
La réalisation de notre étude au Bénin a permis d’identifier un facteur de morbidité important dans la population des malades à Cotonou. De plus, nous avons pu importer le matériel et la méthodologie permettant la mise en évidence de C.difficile . Ceci devrait permettre, nous l’espérons, de prendre en charge ce problème et d’essayer, dans un proche avenir, de l’enrayer autant que possible.
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Les approches biochimiques, chromatographiques et électrophorétiques se complètent et fournissent chacune des arguments positifs en faveur de notre hypothèse de départ.
Le groupe de corynébactéries CPAP présente des ressemblances évidentes au niveau du profil protéique, et se différencie nettement des autres espèces par la présence caractéristiques de 4 ou 5 bandes protéiques, situées entre 40 et 50 KDa.
Quelques soit leur comportement biochimique, on les retrouve distribuées parmi les 3 ou 4 profils décrits plus haut, ne représentant que de petites variations.
L’identification des acides gras cellulaires a permis de mettre en évidence 2 pics caractéristiques au sein de ce groupe : l’acide heptadécanoïque (C17 :0) et son dérivé, non identifié de façon précise. Ces acides gras à nombre impair d’atomes de carbone sont particulièrement peu fréquent dans la nature.
L’acide gras C17 :0 n’est mentionné que chez C. mycetoïdes, non repris dans notre étude et peu fréquent chez l’homme, seuls quelques ulcères tropicaux ayant été rapportés par Castellani en 1942.
Au sein des corynébactéries CPAP, on peut essayer de regrouper les souches en fonction des proportions relatives des pics d’acides gras.
Le nombre de combinaisons possibles est très élevé et ne permet pas de corréler un sous-groupe à un caractère phénotypique particulier.
Mais il est intéressant de remarquer, que là encore, les corynébactéries CPAP, qu’elles appartiennent à l’espèce minutissimum 1, au groupe I, groupe F, ou au groupe X, se répartissent dans tous les sous-groupes ainsi formés ;
Biochimiquement, ces souches hétérogènes selon les critères conventionnels que l’on pourrait considérer comme arbitraires (NR, uréase, fermentation du maltose et du saccharose), manifestent cependant de l’homogénéité dans plusieurs autres caractères tels que l’attaque du ribose, la présence de phosphatase alcaline, l’absence de glycyl-glycine arylamidase, de tween-estérase.
A priori, il n’y a pas de raison valable d’accorder plus de poids à la fermentation du maltose plutôt qu’à celle du ribose ou d’un autre sucre.
Notre étude semble fournir des éléments probants suffisants pour entamer une étude génétique complète des souches, sans laquelle aucune définition taxonomique n’est possible de nos jours.
L’apparition de plus en plus fréquente en milieu hospitalier, de ces germes de nature opportuniste présentant un danger certain vu leur plus grande résistance aux antibiotiques, justifie leur identification précise.
Nous avons obtenu à cet effet une collaboration avec l’Institut Pasteur de Paris, où ces couches sont pour l’instant étudiées dans le laboratoire de P.A.D. Grimont. Ceci afin d’établir par hybridation ADN/ADN les relations taxonomiques qui existent entre elles d’une part, et d’autres part les comparer aux souches types des autres espèces de corynébactéries rencontrées chez l’homme.
Tout en soulignant le mérite du Pr. Peloux, qui le premier a mise en évidence l’importance de l’acide propionique et proposé une subdivision des espèces minutissimum et xerosis basée sur ce caractère, le choix de sa nomenclature nous semble peu judicieux.
L’ensemble de notre étude démontre bien le peu de ressemblances existant entre C. minutissimum 1 appartenant au groupe CPAP et C. minutissimum 2, de même entre C. xerosis 2 et C. xerosis 1, qui se rapprocherait de nos souches du groupe X.
Un ou plusieurs nouveaux termes complètement indépendants devraient être choisis. Si les résultats d’hybridation ADN/ADN confirment notre hypothèse, l’aspect cireux des colonies du groupe CPAP pourrait être repris dans le nouvelle nomenclature.
Notre second objectif était d’apporter une aide dans l’identification quotidienne en laboratoire des corynébactéries. Quelques tests faciles, rapides et peu coûteux permettent une première orientation.
Nous avons mis au point un schéma dichotomique, utile dans une première approche, mais qui doit être complété si nécessaire.
La chromatographie en phase gazeuse, lorsqu’elle est disponible et bien utilisée, représente un outil de choix, performant et rapide, fournissant l’identification du genre Corynebacterium sans équivoque (acide gras à longue chaîne) , l’identification de l’espèce dans certains cas (ex. C. groupe D2) et des renseignements supplémentaires discriminants tels que le production d’acide propionique.
Les galeries d’identification commerciales, beaucoup plus coûteuses, peuvent attirer certains laboratoires par leur simplicité d’utilisation et leur large éventail.
Il faut pourtant garder son sens critique, ne pas se fier aveuglément à un résultat correspondant en fait à un pourcentage de probabilités souvent peu élevé, et confirmer éventuellement l’identification par des tests supplémentaires.
Nous terminerons, en proposant un tableau général, reprenant les principaux caractères discriminants au sein du genre Corynebacterium.
Ce tableau d’identification a le mérite de rassembler des données importantes, fragmentées jusqu’à ce jour. Il permet d’établir un lien entre la classification de Peloux, celle du CDC, et celle du Bergey’Manual of Systematic Bacteriology.
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Le but de ce travail était triple :
- Trouver des caractères supplémentaires, permettant de mieux distinguer les espèces ou biotypes de Yersinia qui ne se distinguent que par un seul caractère biochimique et de contribuer ainsi à une meilleure identification de ces souches.
Trouver des caractères permettant de distinguer les souches appartenant à une seule espèce, vu leur comportements identiques vis-à-vis de tous les tests d’identification, mais dont on sait qu’ils forment des groupes d’hybridation ADN-ADN différents. C’est le cas des Y. kristensenii (2 groupes d’homologie) et Y. frederiksenii (3 groupes d’homologie).
- Trouver une série de caractères identiques chez des groupes de germes, qui les distinguent des autres espèces et biotypes et qui justifieraient une étude génétique sur ces souches. Ou au contraire trouver des tests qui permettent de rapprocher ces germes atypiques des espèces et biotypes connus.
Deux approches ont été choisies comme outil de travail :
1. Des études métaboliques :
- La croissance en milieu minimal M70 additionné de différents substrats.
- La fermentation et l’assimilation du mucate.
- La fermentation de l’ascorbate.
2. L’étude des profils électrophorétiques des protéines.
Ces investigations nous ont apporté les informations suivantes :
- L’assimilation de divers substrats sur milieu M70.
C’est une méthode très pratique pour des études taxonomiques étant donnée qu’elle permet de tester 20 souches simultanément. Pour la pratique courante il est plus utile de développer des tests individuels à partir des résultats obtenus.
Les substrats utiles sont ceux qui partagent les espèces et biotypes en groupes homogènes. Des substrats intéressants à ce point de vue sont la malate de sodium, la D-alanine et le gluconate de potassium.
D’autre part, les résultats de la croissance en milieu M70 rapprochent un groupe de 13 souches, identifiées présomptivement comme Y. mollaretii et Y. bercovieri, des Y. mollaretii.
- La fermentation et l’assimilation du mucate.
Ce travail a permis de confirmer les résultats d’études partielles précédentes. D’autre part, il a permis de partager l’espèce Y. kristensenii en deux groupes, l’un positif et l’autre négatif pour ces tests. Cette étude a enfin permis de comparer différents tests au mucate.
- La fermentation de l’ascorbate.
Ce test, dont l’utilisation est à déconseiller pour la pratique courante, à néanmoins donné un argument supplémentaire qui appuie l’hypothèse qu’un groupe de six germes, se rapprochant biochimiquement des Y. enterocolitica biotype 1A, possédant toutes l’antigène 0 :64 ; formerait une espèce ou un biotype à part.
- L’étude des profils électrophorétique des protéines. Les résultats sont très complexes. Cette étude permet néanmoins d’affirmer que les biotypes potentiellement pathogènes ont des profils très constants tandis que la plupart des espèces et biotypes non pathogène ont des profils très hétérogènes
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