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Mathématiques --- Mathematics --- METHODOLOGIE SCOLAIRE --- ENSEIGNEMENT SECONDAIRE --- METHODOLOGIE SCOLAIRE --- ENSEIGNEMENT SECONDAIRE
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Une institutrice du degré supérieur a été observée pendant 12 jours. Nous avons étudié ses comportements à travers 10 leçons sélectionnées. Divers points de vue ont été envisagés : analyse des conduites par leçon, par mode d'organisation et pour les 10 leçons, une étude de la répartition des modes d'organisation et du temps réservé à l'action éducative est venue completer nos informations. Enfin, des mesures de rendement ont été appliquées et analysées. Divers entretiens ont permis de situer les résultats qui précèdent dans un contexte plus qualitatif
ENSEIGNEMENT PRIMAIRE --- GESTION DU TEMPS --- PEDAGOGIE ALTERNATIVE --- PRATIQUE EDUCATIVE --- TRAVAIL EN GROUPE --- ENSEIGNEMENT PRIMAIRE --- GESTION DU TEMPS --- PEDAGOGIE ALTERNATIVE --- PRATIQUE EDUCATIVE --- TRAVAIL EN GROUPE
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Algebra --- Algèbre --- Study and teaching (Secondary) --- Étude et enseignement (secondaire) --- Étude et enseignement (secondaire)
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Formation professionnelle --- Enseignant -- formation --- Outil pédagogique --- Méthodologie scolaire --- Revue critique --- Formation professionnelle --- Enseignant -- formation --- Outil pédagogique --- Méthodologie scolaire --- Revue critique
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Mathématiques --- Mathematics --- Enseignement secondaire --- Enseignement --- Elève --- Résolution de problèmes --- Elève --- Travail en groupe --- Activité scolaire --- Interaction sociale --- Relation enseignant-élève --- degré --- participation --- comportement --- Enseignement secondaire --- Enseignement --- Elève --- Résolution de problèmes --- Elève --- Travail en groupe --- Activité scolaire --- Interaction sociale --- Relation enseignant-élève --- degré --- participation --- comportement
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La résolution de problèmes, qui occupe une place importante dans le contexte scolaire, est jugée incontournable depuis plusieurs années (Fagnant, Demonty & Hindryckx, 2008; Demonty, Fagnant & Lejong, 2007; Demonty & Fagnant, 2013). Il ne s’agit pourtant pas d’une activité simple pour les élèves. Quelle que soit l’origine des difficultés rencontrées, il convient d’aider ceux-ci à les surpasser. L’objectif de ce mémoire est de susciter le développement d’une démarche experte de résolution chez des élèves de quatrième année primaire et, plus spécifiquement, de les soutenir dans un moment-clé de cette démarche : l’étape de représentation du problème. En dépit des bénéfices avérés des représentations schématiques, il semble effectivement que les enfants n’en construisent pas spontanément et, plus encore, qu’elles ne sont généralement pas d’une qualité suffisante pour les aider à parvenir à une résolution correcte (Diezmann, 2002). Plusieurs études ont ainsi envisagé et démontré la nécessité d’un apprentissage explicite à ce niveau sans, toutefois, révéler clairement quelle forme doit prendre un tel enseignement ni de quelle nature doivent être les représentations à enseigner (Fagnant & Vlassis, 2013). Notre travail de recherche souhaite éclaircir certaines zones d’ombre et s’invite donc au débat en cours. Dans le cadre de ce mémoire, il s’agit de mettre en place et de confronter deux types d’approches d’enseignement (l’une a trait aux dessins schématiques, l’autre aux schémas prédéfinis) dans le but de rendre compte de leurs effets respectifs sur les performances des élèves en résolution de problèmes arithmétiques. Conjointement, en soutenant les apprenants dans la construction de représentation de problèmes, nous espérons agir sur leur motivation. Celle-ci est, ici, envisagée sous l’œil de l’approche sociocognitive selon laquelle l’environnement et l’individu sont en étroite interaction. Notre ambition est donc de développer des compétences chez les élèves, mais aussi des attitudes et des croyances positives en résolution de problèmes.
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Le présent travail s’intéresse à la résolution de problèmes et à l’autorégulation. La question de recherche qui a guidé ce présent travail est la suivante : « La mise en place d’un dispositif visant de meilleures compétences en résolution de problèmes et le développement de stratégies autorégulatrices permettra-t-il aux élèves : 1- de se montrer plus performants en résolution de problèmes ; 2- d’augmenter leurs capacités d’autorégulation ? » Le modèle d’autorégulation ayant des points de ressemblance avec le modèle de résolution de problèmes, il parait judicieux de combiner un apprentissage sur la résolution de problèmes pour développer les connaissances disciplinaires avec un apprentissage de stratégies d’autorégulation qui, au fil des dernières décennies, est apparue comme un concept clé en éducation. En effet, il ne suffit pas de disposer de compétences disciplinaires pour réussir une tâche, il faut aussi savoir les activer et les utiliser dans d’autres contextes (Focant & Gregoire, 2008). Quatre classes d’élèves de 3ème année primaire sont impliquées : deux classes contrôles et deux classes expérimentales. Les deux classes expérimentales reçoivent une formation pendant six semaines. Chaque séance porte sur une des étapes de la résolution de problèmes. Une des deux classes expérimentales travaille en parallèle l’autorégulation au travers de l’utilisation d’une carte conceptuelle et au travers d’auto-évaluations en fin de chaque séance. Pour répondre à la question de recherche, les enfants des quatre classes passent un prétest, un post-test immédiat et un post-test différé. Ceux-ci sont composés d’un test visant à évaluer leurs compétences en résolution de problèmes et un questionnaire permettant d’analyser leur capacité d’autorégulation. En plus de ces résultats, d’autres données seront analysées telles que des entretiens réalisés auprès des élèves à la moitié et à la fin du dispositif, des auto-évaluations, l’observation des séances du dispositif, l’enseignement réalisé dans les classes contrôles.
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Depuis quelques années, la résolution de problèmes occupe une place de choix dans l'apprentissage scolaire des mathématiques: "Apprendre à résoudre des problèmes, c'est essentiel en mathématiques"; "C'est par la résolution de problèmes que l'élève apprend les mathématiques"… (Fagnant & Vlassis, 2010, p.50). Sur le plan international, on préconise un enseignement précoce des problèmes en vue de donner du sens au symbolisme mathématique. Mais en Communauté française de Belgique, cette chronologie dans l'enseignement mathématique n'est que très peu suivie (Fagnant & Hindryckx, 2006). La plupart des enseignants croit que résoudre des problèmes ne peut se faire qu'après la maîtrise des techniques de calculs. Or, il est prouvé que les jeunes enfants peuvent résoudre des problèmes sur base de stratégies de comptage et en utilisant des stratégies informelles (Fagnant, 2013). Dans le cadre de ce mémoire, le but est de réaliser un travail interventionniste en tout début d'apprentissage. Il consiste à mettre en place un enseignement-apprentissage spécifique en résolution de problèmes arithmétiques dans deux classes de première année primaire d'un même établissement scolaire et de comparer ces deux groupes avec deux autres classes de première année primaire de la même école. Le schéma expérimental de ce mémoire est constitué de quatre grandes phases: un pré-test, une phase d'intervention composée d'une à deux séances d'enseignement-apprentissage, par semaine, sur la réalisation de représentation externe de qualité suite à des situations-problèmes données (pendant une durée de trois mois), un post-test immédiat et un post-test différé. Cette recherche qualitative a pour but de mesurer les effets que peuvent avoir une représentation informelle et externe de qualité sur les performances en résolution de problèmes et sur le sens donné aux aspects formels de langage mathématique (les calculs).
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