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Édition --- Industrie du livre --- Petites maisons d'édition --- Livres et lecture --- Édition électronique --- Aspect social --- 1990-.... --- Sociologie
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D’un côté, le Parti socialiste au pouvoir s’est fait depuis 1983 l’artisan d’une « modernisation » néolibérale des institutions, alimentant une dérive sécuritaire toujours plus accusée. De l’autre, la « gauche critique » s’est souvent enfermée dans une stratégie de dénonciation du « complot » néolibéral et de défense du compromis social-démocrate hérité de l’après-guerre (1945-1968), défense sans grande efficacité et sans véritable prise sur « les temps nouveaux ». Les uns comme les autres ont persisté à analyser les transformations en cours selon des schèmes d’analyse hérités de l’entre-deux-guerres et des Trente Glorieuses. La Fabrique de l’impuissance 1 voudrait déterminer les voies possibles d’une sortie de cette double impasse : ralliements aux impératifs du capital ou défense du statu quo. Pour ce faire, il interroge les conditions de la décomposition du bloc politique et culturel que désignait naguère l’expression de « peuple de gauche », il propose une critique du thème de « la lepénisation des esprits », ainsi qu’une analyse des modes d’intervention des intellectuels français dans le débat politique. Ce livre voudrait de la sorte contribuer à la saisie par « la gauche de gauche » des possibilités actuelles de relance du mouvement vers « l’égaliberté » au-delà du compromis incarné par l’État social des Trente Glorieuses. Jérôme Vidal est le fondateur des Editions Amsterdam puis de la Revue internationale des livres et des idées et de la Revue des livres. (vol. 1) « L’École républicaine » repose sur une contradiction irréductible : elle est à la fois un facteur de démocratisation et de hiérarchisation. Elle est l’institution qui assure la légitimation de la hiérarchie sociale en la faisant apparaître comme l’expression de l’inégalité des capacités individuelles. L’École produit ainsi, paradoxalement, de l’impuissance : impuissance à parler, à écrire, à lire, à penser. Mais elle est aussi un lieu de diffusion de savoirs et de compétences susceptibles de donner à chacun les moyens d’augmenter son autonomie, sa puissance d’agir et de penser. Parce qu’il refoule cette ambiguïté, « le débat sur l’École » nous enferme dans un véritable cercle, et nous interdit de réfléchir aux enjeux politiques de la maîtrise de la lecture, de l’écriture, du rapport aux savoirs et à la parole. Comment faire pour que l’École ne fonctionne pas essentiellement comme une fabrique de l’impuissance ? (vol. 2)
Education --- Political aspects --- Aspect politique --- Éducation --- Démocratisation de l'enseignement --- Finalités --- Intellectuels --- Gauche (science politique) --- Démocratisation de l'enseignement. --- Évaluation des élèves. --- Activité politique. --- Finalités. --- France
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Le néolibéralisme ne doit pas être conçu comme une doctrine ou une politique économique, mais comme une logique ou une rationalité qui s’est progressivement emparée des États. Son mode opératoire consiste à introduire partout les valeurs du marché pour transformer toute chose et tout être en entité économique. Alors que le libéralisme traditionnel définissait un domaine propre de l’économie de marché, le néolibéralisme tend vers l’économisation intégrale de la vie. Wendy Brown l’illustre brillamment en étudiant, par exemple, les récentes transformations du droit et du secteur éducatif. Repartant des cours pionniers de Michel Foucault, elle montre comment la rationalité néolibérale implique une transformation de la politique en gouvernance et des citoyens en capital humain financiarisé. Ainsi cette dernière menace-t-elle les fondements du projet démocratique et l’idéal d’un gouvernement du peuple par lui-même.
Neoliberalism --- Democracy --- Foucault, Michel, --- Libéralisme économique. --- Néolibéralisme --- --Démocratie --- --Foucault, Michel, --- Démocratie --- Foucault, Michel, - 1926-1984 --- Foucault, Michel, 1926-1984
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Voici, pour la première fois en français dans une traduction rigoureuse, accessible à un large public, un des textes de la critique contemporaine et des études postcoloniales les plus discutés dans le monde depuis vingt-cinq ans. Texte problématique et polémique, à l’écriture vigoureuse, il a démontré depuis sa première publication, par le nombre de commentaires, de critiques et de recherches qu’il n’a pas cessé de susciter, une productivité peu commune, qui n’a d’égale peut-être dans son domaine que celle des écrits d’Edward Said et de Homi Bhabha. « En suivant un parcours nécessairement sinueux, cet essai partira d’une critique des efforts déployés actuellement en Occident [notamment par Gilles Deleuze et Michel Foucault] visant à problématiser le sujet, pour aboutir à la question de la représentation du sujet du Tiers-Monde dans le discours occidental. Chemin faisant, l’occasion me sera donnée de suggérer qu’il y a en fait implicitement chez Marx et Derrida un décentrement du sujet plus radical encore. J’aurai de plus recours à l’argument, qui surprendra peut-être, selon lequel la production intellectuelle occidentale est, de maintes façons, complice des intérêts économiques internationaux de l’Occident. Pour finir, je proposerai une analyse alternative des rapports entre les discours de l’Occident et la possibilité pour la femme subalterne de parler (ou la possibilité de parler en son nom). Je tirerai mes exemples spécifiques du cas indien, à travers la discussion approfondie du statut extraordinairement paradoxal de l’abolition par les Britanniques du sacrifice des veuves. » (Gayatri Chakravorty Spivak)
Psycholinguistics --- postkolonialisme --- Sociology of the family. Sociology of sexuality --- Postcolonialism --- Feminist theory --- Postcolonialisme --- Théorie féministe --- Spivak, Gayatri Chakravorty. --- Spivak, Gayatri Chakravorty --- Criticism and interpretation --- Decolonization --- Femmes --- Exclusion sociale --- Pays en voie de développement --- Occident --- Théorie féministe --- Pays en voie de développement. --- Occident.
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La 4e de couverture indique : "Parce qu’elles ont contribué à dénoncer la domination de la pensée occidentale, les subaltern studies demeurent depuis les années 1980 une source intarissable de controverses. À cet égard, la réponse négative apportée au titre de cet ouvrage – "Les Subalternes peuvent-elles parler ?" – est riche d’enseignements. Prenant à contrepied l’eurocentrisme du récit occidental, Spivak nous montre qu’il est impossible d’analyser l’histoire de l’oppression des femmes sans prendre en compte les logiques impérialistes qui l’ont façonnée. Ce classique de la philosophie contemporaine s’attache à mettre en lumière le récit des dominés. Spivak expose la difficulté que rencontrent les subalternes à être considérées comme sujets de leurs propres actes. Ce petit livre, jalon de la réappropriation du passé colonial par les intellectuels du Sud, constitue une contribution majeure au renouvellement des sciences humaines."
Féminisme --- Identité de genre --- Colonialisme --- Postcolonialism --- Feminist theory --- Spivak, Gayatri Chakravorty. - Can the subaltern speak? --- Spivak, Gayatri Chakravorty --- Feminist theory. --- Marginality, Social --- Théorie féministe --- Postcolonialisme --- Exclusion sociale
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Totalitarisme --- Psychanalyse --- Démocratie
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Socialists --- Communism --- Women socialists --- Jewish socialists --- Luxemburg, Rosa, - 1871-1919 --- Germany
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