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The number of people who suffer from diabetes type 2 is increasing every year all over the world. Furthermore, a non appropriate control of the disease leads to complications. That’s why, it is necessary to find out new treatments. At first phases of type 2 diabetes treatments, the strategy consists on an appropriate feeding and physical exercise. But, these measurements are not sufficient, the use of medicine appears necessary to control the metabolism of glucose.
Since 1950’s, the hypoglycemic agents were became an important way to treat this disease. They act by different ways: on pancreas (by acting on insulin secretion), on the liver (by decreasing the glucose secretion from the liver) and on intestine (by decreasing the intestinal glucose absorption) or by improving the sensitivity of the tissue to insulin. However, new treatments have emerged since 2008. They act on incretions hormones and more precisely on the Glucagon-like peptide-1 activities (GLP-1). This last is implying in the glucose homeostasis: they act on the stimulation of insulin secretion, glucagon secretion inhibition, facilitate the differentiation, improvement function and sensitivity to insulin of β-cells.
The effect of GLP-1 can be potentiate in case of type 2 diabetes because it’s still able to act in the same way on insulin by diabetic patients than healthy people. Here, we are looking at several alternatives: pharmacological and not pharmacological actions. purpose of this work is the possibility to increase the GLP-1 secretion with particular habits of feeding and physical exercise practice. Then, we will discuss about the pharmacological ways: we can make injection of GLP-1 analog or slowing the GLP-1 degradation by inhibiting the Dipeptidyl-dipeptidase-IV. The analogs are acting like the endogenous GLP-1 whereas the inhibitors act by potentiates the action of residual endogenous GLP-1. In Belgium, three molecules were marketed: Exenatide (Byetta®), a GLP-1 analog, sitagliptine (Januvia®) and vildagliptine ( Galvus®).
The purpose of this work is to compare the different alternatives. That’s why, randomized studies and meta-analyse were used to determine if an alternative is better than the others or not Le diabète de type 2 touche un nombre croissant de personnes chaque année à travers le monde. De plus, un contrôle non optimal peut mener à une augmentation de l’apparition de complications. Devant ce phénomène, il est nécessaire de poursuivre les recherches et d’évaluer de nouvelles pistes d’approches comportementales et diététiques. Pour ce faire, à toutes les phases de la maladie, on préconise des mesures pharmacologiques de type hygiéno-diététique, mais l’approche médicamenteuse s’avère souvent nécessaire. Du point de vue pharmacologique, les premières molécules sont apparues sur le marché dans les années 50. Ces molécules sont essentiellement à visées hypoglycémiantes par action au niveau du pancréas (en favorisant la sécrétion d’insuline), du foie (en diminuant la sécrétion hépatique de glucose), de l’intestin (en diminuant la résorption intestinale du glucose) ou encore une augmentation de la sensibilité à l’insuline.
Au cours du temps, les études ont permis l’émergence de nouveaux traitements avec des modes d’actions différents. L’année 2008 a vu naître une nouvelle classe thérapeutique basée sur la modulation des incrétines. Cette alternative se base sur le potentiel positif que possède le Glucagon-like peptide-1 dans le contrôle glucidique et sur l’état pathologique des diabétiques de type 2. En effet, le GLP-1 est impliqué dans la stimulation de la libération d’insuline, l’inhibition de la libération de glucagon, la différentiation et l’amélioration du fonctionnement et de la sensibilité à l’insuline des cellules β pancréatiques. L’idée est donc de potentialiser l’effet de cette hormone malgré la diminution de la sécrétion du GLP-1 caractéristique d’une personne souffrant de diabète qui conserve cependant sa capacité à favoriser la synthèse d’insuline. On distingue plusieurs alternatives pharmacologiques et non-pharmacologiques.
La première question abordée sera la stimulation de la libération de GLP-1 par des mesures non pharmacologiques que représentent l’exercice physique et des mesures diététiques. Deux voies d’actions pharmacologiques sont empruntées : l’une consiste à administrer des analogues du GLP-1, encore appelés incrétinomimétiques, l’autre se basant sur l’utilisation d’inhibiteur de la dégradation de cette hormone, la dipeptidyl-dipeptidase IV. La première permet de mimer l’action du GLP-1 tandis que la seconde permet de potentialiser l’action du GLP-1 endogène en prolongeant son temps de vie. Trois molécules sont actuellement disponibles en Belgique. Il s’agit de l’exénatide (Byetta®), un analogue du GLP-1, et de deux inhibiteurs de la DPP-IV, la sitagliptine (Januvia®) et la vildagliptine (Galvus®).
Le but de ce travail a été de comparer entre elle ces différentes approches qui tendent vers un même but. La comparaison consiste en un passage en revues d’études randomisées et de méta-analyses permettant de mettre en avant les avantages et les limitations de chacune des alternatives
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