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UCLouvain (1)


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French (1)


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2014 (1)

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Book
Une étude propective de phase II sur l'escalade de dose guidée par le FDG-PET et basée sur l'IMRT adaptative dans les stades II-III des cancers non à petites cellules pulmonaires : état d'avancement
Authors: --- --- ---
Year: 2014 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine,

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Abstract

Conventional chemo-radiotherapy scheme used in locally advancednon-small cell lung cancer (NSCLC) only achieves a small local tumor control, which negatively affects the patient’s survival.Dose escalation strategies have already shown to increase local control and survival of patients but with an increased risk of radiation-induced toxicity. It is therefore necessary to restrict the escalation in the region where it is most needed. It has been shown that tumor regions with high FDG uptake in PET imaging appear to have a higher resistance to radiation and coincide with the locations of the most likely recurrence. Consequently, a selective dose escalation of these areas is a good compromise to increase local control while minimizing toxicity. Since November 2010, 13 patients with locally advanced NSCLC were treated by radiotherapy with a scheme of 62.5Gy in 5 weeks (25 fraction of 2.5Gy) with individualized dose escalation conducted by Simultaneous Integrated Boost, increasing the dose per fraction on volumes identified by FDG-PET while respecting the predefined organs at risk dose constraints. The results in terms of local control seem to be better to those in the literature. The progression-free survivalrate at 6 months, 1 year and 2 years was 92.3, 71.9% and 43.2 % respectively, with a mediane progression-free survival of 13.85 months. Increasing the dose resulted in a small increase in acutelow grade esophagitis from 12 to 32% without increasing those of grade 3 or greater and in an increase in grade 3 or greater dermatitis of 15% in comparison with the conventional treatment, which remains acceptable give the reversible nature of the complications. Concerning late toxicity, the current results are comparable to conventional radiotherapy.The results obtained at this stage of the study are promising and recruitment must be continued in order to obtain statistically significant results. Le schéma conventionnel de radiothérapie utilisé dans le cancer pulmonaire non à petites cellules (NSCLC) localement avancé, associé le plus souvent avec la chimiothérapie, ne permet d'atteindre qu'un contrôle tumoral local relativement faible, ce qui influe négativement sur la survie des patients. Des stratégies d'intensification homogène de la dose ont déjà montré qu'elles augmentaient le contrôle local et le taux de survie des patients avec cependant une augmentation des risques de toxicité radio-induite. Il convient donc de restreindre l'escalade à la région qui en a le plus besoin. Il y a déjà été montré que les régions de la tumeur fixant avidement le traceur FDG au PET semblent présenter une radiorésistance supérieure aux autres zones et coïncident avec les endroits de récidive les plus probables. L'escalade de dose sélective ciblée sur ces régions tumorales est donc un bon compromis pour augmenter le contrôle local tout en limitant la toxicité. Depuis novembre 2010, 13 patients atteints d'un NSCLC localement avancé ont bénéficié d'un schéma de radiothérapie de 62.5 Gy en 5 semaines (25 fraction de 2.5 Gy) avec une escalade de dose réalisée simultanément en augmentant individuellement la dose par fraction sur les volumes identifiés par le FDG-PET par Simultaneous Integrated Boost, tout en respectant les contraintes de doses maximales prédéfinies pour les organes à risque. Les résultats obtenus en termes de contrôle local semblent supérieurs à ceux de la littérature. Le taux de survie sans progression locale à 6 mois, à un an et 2 ans est de 92,3, 71,9 % et 43,2 % respectivement, avec une médiane de survie sans progression locale de 13.85 mois. L'augmentation de la dose s'est traduite en aigu par une légère augmentation des oesophagites de faible grade de 12 à 32 % sans augmentation de celles de grade 3 ou plus et une augmentation des dermites de grade 3 ou plus de 15% par rapport au traitement conventionnel, ce qui reste acceptable étant donné le caractère réversible de ces complications. En toxicité tardive, les résultats actuels sont comparables au traitement conventionnel. Les résultats obtenus à ce stade de l'étude sont prometteurs et le recrutement doit donc être poursuivi afin de pouvoir obtenir des résultats statistiquement significatifs.

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