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dissertation (1)


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French (3)

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1995 (1)

1993 (1)

1991 (1)

1969 (1)

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Dissertation
Recherches sur la guérison des fractures
Authors: --- ---
Year: 1969 Publisher: Bruxelles: Arscia,

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Abstract

Keywords

Fracture Healing


Book
The osteoinductive capacity of demineralized bone matrix : influence of bone preparation and sterilization. An experimental investigation
Authors: --- ---
Year: 1995 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract


Book
Evolution des allogreffes ostéo-articulaires et segmentaires massives : consolidation et complications

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La possibilité de reconstruire une large perte de substance osseuse, d’origine traumatique ou par résection de tumeur, remonte au début du christianisme. La première implantation remonte à la légendaire histoire de COME et DAMIEN. Ils auraient remplacé à la fin du 5e siècle après J-C. une jambe gangrénée par une allogreffe prélevée sur une personne décédée le jour même. Van Meercheren en 1668 rapporte le premier cas de xénogreffe consistant en la reconstruction d’une fracture de crâne par une calotte crânienne de chien. La greffe fut ôtée quelque temps après, pour éviter l’excommunication du patient.
Olliver publia en 1867 le premier traité scientifique où il expose ses travaux cliniques et expérimentaux sur les greffes autologues, homologues et hétérologues, fraîches et conservées. Il étudie également la régénération des so. En 18797, Mac Ewen utilise une allogreffe pour traiter une pseudarthrose de l’humérus. En fait, la première série importante d’allogreffes est rapportée par Lexter en 1908. Elle porte sur des greffes articulaires avec 50 % de bons résultats à 15 ans.
C’est à Carrel en 1912 que revient l’idée de conserver les greffes par le froid à 4°C. Reprenant cette proposition Albee, Heygrove, Bauer et Weil expérimentent les allogreffes réfrigérées. La première utilisation clinique d’allogreffes cryo-conservées revient à INCLAN, chirurgien cubain en 1942. Il réalisé ainsi la première banque d’os. D’autres cas furent rapportés par la suite, mais il faut attendre les progrès de l’ostéosynthèse et l’amélioration des conditions opératoires pour voir apparaître de nouvelles séries importantes.
Ce regain d’intérêt s’explique par les travaux de Herndon et Chase en 1954 et Curtis en 1959, qui ont démontré que l’immunogénicité des greffes peut être réduite par la congélation. Les résultats satisfaisants obtenus à long terme avec les allogreffes congelées ont donné un deuxième élan à l’os conservé.
En 1971, le congrès de « L’orthopaedic oncology unit » de l’Hôpital général Du Massachussetts faisait le point sur les allogreffe, en se basant sur les travaux concernant la biomécanique et l’immunogénicité. Il était décidé que les greffes devaient être congelées. La congélation permettait de préserver les qualités mécaniques suffisantes et la réinsertion des éléments tendino-capsulaires du receveur à la greffe. Dans ces conditions, ces structures collagéniques ne provoquent pas ou peu de réactions antigéniques et sont incorporées aux receveurs.
C’est la conservation du cartilage qui pose la problème le plus difficile. En effet, il y a un antagonisme entre la nécessité de congeler les greffes afin de diminuer leur antigénicité et la préservation des chondrocytes. Smith en 1965 montre que l’addition de DMSO (Diméthylsufoxide) avant la congélation permet de préserver un pourcentage important de chondrocytes vivants. En 1978, les travaux de cryo-biologique de Schachar et Tomford montrent que les altérations des chondrocytes avant la congélation sont secondaires à la formation de cristaux de glace de grande taille détruisant les structures nucléaires et les membranes cytoplasmiques des cellules. Ils mettent au point des techniques utilisant de DMSO à 8 % ou du glycérol à 10 % comme cryo-protecteur. En 1982, Tomford démontre que la congélation sera d’autant moins destructrice que la descente en température entre 0 et -4°c se fera plus lentement. Il montre aussi que la décongélation doit être aussi rapide que possible car elle aussi peut être destructrice pour les chondrocytes


Book
La chirurgie de reconstruction en orthopédie : apport des allogreffes : analyse clinique de 42 cas d'ostéosarcome, analyse clinique de 21 cas de chirurgie de sauvetage de la hanche

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Abstract

[…]On a voulu montrer toute la série d’ostéosarcomes afin de donner une image, la plus réelle possible, de ce qui peur arriver dans un service spécialisé avec l’ensemble de patients porteurs de cette pathologie, très variée et capricieuse, qui demande beaucoup d’attention. Cette variance permettra d’avoir une idée de la multitude de problèmes auxquels est confrontée une équipe multidisciplinaire.
Le but est d’analyser de façon stricte le diagnostic ,la chimiothérapie, le choix de la chirurgie, les complications diverse et de regarder quel est l’apport des allogreffes dans l’ensemble des méthodes utilisées pour cette série.
Dans la partie finale, nous analysons les résultats préliminaires de 19 cas de reconstruction de fémur par des allogreffes. Cette série correspond aux cas de chirurgie de sauvetage par reprise de prothèse de hanche avec une perte majeure de stock osseux. L’objectif est de montrer une nouvelle expérience depuis 3 ans, où la reconstruction par des allogreffes massives représente une alternative possible à considérer.

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