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Ces films présentent les réalisations internationales récentes les plus innovantes en matière de parking automobile urbain, à travers le regard de photographes et les présentations des concepteurs (architectes et maîtes d'ouvrage). Le DVD 1 (séduction en sous-sol) traite des parkings souterrains, le DVD 2 (le prestige des sommets) des parkings silos aériens, le DVD 3 (faste de l'écrin), de l'architecture des showrooms de grandes marques automobiles. DVD 1 : Lyon, parking des Célestins, par Jean-Michel Wilmotte, arch. et Daniel Buren, artiste ; La Haye, Pays-Bas, plateforme multimodale, Floris Alkemade arch. ; Munich, Allemagne, parking automatisé ; Graz, Autriche, liaison grand magasin-parking souterrain, Karla Kowalski et Michael Szyszkowitz, arch. ; Rennes, esplanade Charles de Gaulle, Nicolas Michelin (ANMA). DVD 2 : Wolfsburg, tour automatisée de stockage des voitures neuves Volkswagen, Gunter Henn, arch. ; Takasaki, Japon, parking West Park, Kengo Kuma, arch. ; Strasbourg, terminus des trams, Zaha Hadid, arch. ; Franckfort, Allemagne, Massimiliano Fuksas, arch. ; Hambourg, Allemagne, parking automatisé dans un ancien entrepôt portuaire, Jan Störmer, arch. ; Kreuzberg, Berlin. DVD 3 : Vienne, Autriche, musée Porsch, Delugan & Meissl, arch. ; Ingolstadt, Allemagne, l'Audi Forum, Gunter Henn, arch. ; Tokyo, Audi showroom, Markus Allmann, arch. ; Salzbourg, Autriche, Showroom Mercedes-Benz, Gerhard Wittfeld et Dirk Zweering, arch. ; Paris, Champs-Elysées, Vitrine Citroën, Manuelle Gautran, arch. ; Copenhague, Danemark, Mountain Dwellings, Bjarke Ingels Group (BIG)
Station de tramway --- Show-room --- Infrastructure de transport --- Bâtiment d'exposition --- Parking --- Esthétique architecturale --- Rapport art-architecture --- Bâtiment multifonctionnel --- Muséologie --- Musée --- Garage individuel --- Centre commercial --- Rapport architecte-ingénieur --- Urbanisme souterrain --- Sécurité publique --- Gare d'interconnexion --- Gautrand, Manuelle, 1961 --- -Fuksas, Massimiliano, 1944 --- -Kowalski, Karla, 1941 --- -Szyszkowitz, Michael, 1944-2016 --- Allmann, Markus, 1959 --- -Delugan-Meissl, Elke, 1959 --- -Delugan, Roman, 1963 --- -Wilmotte, Jean-Michel, 1948 --- -Wittfeld, Gerhard, 1968 --- -Hadid, Zaha, 1950-2016 --- Michelin, Nicolas, 1955 --- -Störmer, Jan, 1942 --- -Ingels, Bjarke, 1974 --- -Henn, Gunter, 1947 --- -Kuma, Kengo, 1954 --- -Zweering, Dirk --- Alkemade, Floris, 1961 --- -Copenhague --- Stuttgart --- Ingolstadt --- Paris (France) --- Salzbourg --- Munich --- Berlin --- Hambourg --- Wolfsburg --- Takasaki --- Strasbourg --- Francfort-sur-le-Main --- Lyon --- Graz --- Rennes --- La Haye
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Il y a trente ans, Salvador Allende se suicidait au palais présidentiel de la Moneda à Santiago du Chili. Sa mort mettait fin à l'expérience d'un Chili socialiste et démocratique. Nixon, la CIA, l'oligarchie et l'armée chiliennes n'ont reculé devant rien pour se débarrasser de lui et de son gouvernement. Ses proches et ses opposants témoignent ici sur les années de sa présidence et sur le complot destiné à le renverser. Début septembre 1973, Isabel Allende et sa mère rentrent de Mexico. Au Chili, la situation politique est extrêmement tendue, et le président Salvador Allende sait que l'explosion est imminente, qu'elle prenne la forme d'une guerre civile, d'un putsch militaire ou encore d'une large coalition des opposants au coup d'Etat. Allende a appris par son ancien chef suprême des armées, le général Prats, que les garnisons refuseront de lui obéir en cas de coup d'Etat. Il est seul. Il n'a que deux solutions : démissionner ou attendre la défaite. Le nouveau chef suprême des armées, le général Pinochet, a rencontré le commandant de l'armée de l'air. Celui-ci lui a apporté une lettre de l'amiral Merino l'assurant du soutien des commandants de tous les corps d'armée en cas de putsch. C'est à ce moment-là seulement que Pinochet décide de prendre la tête du coup d'Etat. Il est le grand adversaire d'Allende, et un traître puisque, la veille encore, il jurait fidélité au président. Interviews: Isabel Allende, Arturo Giron (Médecin d'Allende), Javier Palacios (Général), Faride Zeran (Journaliste), Hermogenes Perez De Arce (Député du Parti national), Luis Corvalan (Secrétaire général du Parti communiste), Edward Korry (Ambassadeur au Chili), William D. Rogers (Département d'Etat), Andres Zaldivar (Président du Sénat), Armando Uribe (Conseiller d'ambassade à Washington), James Devine (CIA/Santiago), René Schneider, Carlos Altamirano (Secrétaire général du Parti socialiste), Patricio Aylwin (Président du Parti démocrate-chrétien), Max Marambio (MIR Mouvement de la gauche révolutionnaire), Roberto Thieme (Secrétaire général Patrie et Liberté), John Dinges (Journaliste), Pablo Baraona (Economiste), Mario Arnello Romo (Député du Parti national), Osvaldo Puccio, Juan Seoane (Chef de la sécurité du président).
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C'est dans les premières heures du 11 septembre 1973 que démarre le Coup d'Etat tant attendu des militaires du Chili, sous le commandement du général Pinochet, contre Salvador Allende, élu Président de la République trois ans auparavant. Avec quelques fidèles, Allende se réfugie à la Moneda, nom donné au palais présidentiel de Santiago de Chile. Il réfute les appels à la démission des putschistes et, dans une allocution radiophonique, s'adresse une dernière fois aux Chiliens. Puis, quand l'armée ordonne le bombardement du palais, il demande à ces fidèles de se rendre, alors que pour lui-même, il décide de mettre fin à ses jours. Dans ce film remarquable et émouvant, le réalisateur a pu réunir des images d'archives impressionnantes, souvent inédites. Mais surtout, et c'est une véritable gageure, il a réussi à réunir, parmi ceux qui sont encore vivants, tous les amis et collaborateurs qui étaient avec Allende pendant ces dernières heures. Le général Pinochet, chef de la junte militaire, lui, régna en dictateur sur le Chili pendant 17 longues années, jusqu'en 1990. Beaucoup lui reprochent le retour de la torture et des assassinats politiques sous son régime. Il a fallu l'entêtement et le courage du juge espagnol Baltazar Garzon pour lancer des poursuites contre lui dans le but de mettre fin à l'impunité. Mais c'est dans son lit que le dictateur trouvera la mort, âgé de 91 ans et suite à une crise cardiaque, en décembre 2006.
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