Listing 1 - 10 of 16 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Good and evil --- Social psychology --- Bien et mal --- Psychologie sociale --- Social Psychology --- Submission and Altruism --- Good and Evil --- Evil --- Wickedness --- Ethics --- Philosophy --- Polarity --- Religious thought --- Altruism
Choose an application
Political science --- Science politique --- Philosophy --- Philosophie --- -Administration --- Civil government --- Commonwealth, The --- Government --- Political theory --- Political thought --- Politics --- Science, Political --- Social sciences --- State, The --- -Philosophy --- Political philosophy --- Political science - Philosophy
Choose an application
Love --- Amour --- Religious aspects --- Christianity --- Early works to 1800 --- Aspect religieux --- Christianisme --- Ouvrages avant 1800 --- Francis, --- Fénelon, François de Salignac de La Mothe-, --- Catholic Church --- Doctrines --- 273.961 --- 248 <44> "16" --- Quiëtisme --- Spiritualiteit. Ascese. Mystiek. Vroomheid--Frankrijk--17e eeuw. Periode 1600-1699 --- 273.961 Quiëtisme --- Fénelon, François de Salignac de La Mothe-, --- Doctrines. --- Early works to 1800. --- FRANCE --- PHILOSOPHIE MORALE --- VIE INTELLECTUELLE --- 17E SIECLE
Choose an application
Torture --- Political violence --- Violence politique --- Democracy --- Terrorism --- Torture. --- Moral and ethical aspects. --- Government policy. --- Prevention
Choose an application
Choose an application
La «guerre sainte» et sans frontières que mènent les djihadistes contre «le monde des ténèbres» se déploie selon la logique manichéenne d'une lutte à mort où chaque camp prétend incarner le Bien et voit dans l'autre la figure du Mal. Comment en sortir ? Du premier côté, on ne saurait comprendre l'extrême violence dont les mouvances de l'islamisme radical font preuve sans la rapporter aux doctrines dont elles s'inspirent et aux multiples causes sociales, politiques et économiques qui expliquent leur émergence dans le monde arabo-musulman contemporain. Mais, symétriquement, tout se passe comme si les démocraties avaient été prises au piège d'idéologies meurtrières quelles ont davantage contribué à nourrir qu'à combattre efficacement dans le respect de leurs propres principes. De l'usage de la torture à l'utilisation croissante de drones armés, la «guerre contre la terreur» a trop souvent été menée dans le mépris du droit, alimentant ainsi une spirale sans fin de haine et de ressentiment, tout en servant de prétexte à une remise en cause de nos libertés fondamentales. Dans cet essai, incisif et très documenté, Michel Terestchenko nous introduit au coeur de ces dynamiques de violence exponentielle, qui se développent jusque dans notre pays, et nous donne les moyens d'exercer notre responsabilité de citoyen afin qu’elles fassent enfin l'objet d'un débat public
Terrorism --- State-sponsored terrorism --- Political atrocities --- Jihad
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Depuis le 11 septembre 2001, la torture est devenue, aux États-Unis, une pratique d'État politiquement et juridiquement justifiée par la « guerre globale contre la terreur ». Mais on sait moins, en Europe, qu'elle y a également fait l'objet d'une légitimation morale : pour d'éminents penseurs américains, la torture serait un mal nécessaire, voire un bien, dans certaines situations de menace extrême. Comment comprendre cette dramatique régression de la « première démocratie » ? La réponse à cette question est moins évidente qu'il n'y paraît. D'où l'importance de cet essai, où Michel Terestchenko l'affronte dans toutes ses dimensions. Historique d'abord, car les techniques d'« interrogatoire coercitif » sont le fruit de recherches scientifiques entreprises par l'US Army dès les années 1950. Juridique ensuite, avec les justifications légalisées par le Congrès américain, qui a permis la création d'un véritable archipel mondial de la torture. Philosophique et morale, enfin et surtout, avec une réfutation serrée de l'« idéologie libérale de la torture ». L'auteur explique notamment pourquoi son argument central, l'hypothèse de la « bombe à retardement » justifiant la torture de l'individu qui l'a posée, n'est en réalité qu'une fable perverse, popularisée notamment par la série télévisée « 24 heures ». Ainsi légitimée, démontre l'auteur, la torture devient le venin de la démocratie : en acceptant de briser les corps des hommes et des femmes « ennemis », elle mine inévitablement les principes mêmes de l'État de droit, corrompant la société tout entière.
Choose an application
Political science --- Science politique --- Philosophy --- Philosophie
Listing 1 - 10 of 16 | << page >> |
Sort by
|