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Connaît-on vraiment la manière dont notre modernité a fait l'expérience de son milieu, la manière dont elle l'a pensé comme problème politique, scientifique et philosophique? L'histoire de la question environnementale, souvent élaborée à partir de la tradition darwinienne et de l'écologie politique, semble en effet négliger toute une tradition réflexive sur les milieux de vie, pourtant centrale pour les sciences sociales naissantes dès la seconde moitié du XVIIIe siècle. En poursuivant les travaux de Georges Canguilhem et de Michel Foucault, en explorant notamment cette science des milieux que le médecin Bertillon nommait mésologie dans les années 1860, cet ouvrage dresse l'histoire d'une rationalité "mésopolitique" : un ensemble de connaissances et de techniques qui visent à altérer, améliorer ou transformer les humains par l'aménagement de leur milieu de vie...
Environmental sciences --- Environmental policy --- Human ecology --- Environmental Studies --- History --- écologie humaine --- Foucault --- nature --- Canguilhem Georges --- Mésologie
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Si l'appellation et le projet d'épistémologie historique connaissent aujourd'hui un regain d'intérêt, ils suscitent aussi de vives critiques concernant le geste même d'historicisation de l'épistémologie, accusée d'entraîner une relativisation des connaissances scientifiques. Cet ouvrage propose de relire une séquence précise de l'épistémologie historique en France allant de Meyerson à Foucault, avec comme fil directeur la question de l'articulation des concepts et des rationalités. En effet, dès ses premières élaborations, l'épistémologie historique vise à éclairer non seulement l'émergence des concepts scientifiques, mais aussi des « mentalités » ou des « rationalités » plus larges qui les rendraient possibles. La question de savoir si ces rationalités doivent être étudiées à l'intérieur d'une logique exclusivement scientifique où les concepts ont leur propre normativité (comment le soutiennent Cavaillès et Bachelard), ou, au contraire, comme étant des modes de raisonnement, ou «ontologies», irréductibles aux seules sciences dans lesquelles émergent les concepts (ainsi que Meyerson, Metzger, et plus tard - d'une manière distincte - Foucault l'affirment), constitue une ligne de clivage dont cet ouvrage propose de mesurer la portée. Inscrire Foucault dans ce débat en indiquant les déplacements qu'il en propose permet de comprendre aussi la manière dont il hérite de la problématique canguilhemienne d'articulation des concepts biologiques aux rationalités politiques. Une telle enquête ne conduit pas à renoncer à la connaissance scientifique, mais à une meilleure compréhension de la manière dont elle forme ses concepts.
Épistémologie historique. --- Épistémologie --- Foucault, Michel --- Contribution à l'épistémologie. --- Knowledge, Theory of --- Notions (Philosophy)
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Connaît-on vraiment la manière dont notre modernité a fait l'expérience de son milieu, la manière dont elle l'a pensé comme problème politique, scientifique et philosophique? L'histoire de la question environnementale, souvent élaborée à partir de la tradition darwinienne et de l'écologie politique, semble en effet négliger toute une tradition réflexive sur les milieux de vie, pourtant centrale pour les sciences sociales naissantes dès la seconde moitié du XVIIIe siècle. En poursuivant les travaux de Georges Canguilhem et de Michel Foucault, en explorant notamment cette science des milieux que le médecin Bertillon nommait mésologie dans les années 1860, cet ouvrage dresse l'histoire d'une rationalité mésopolitique : un ensemble de connaissances et de techniques qui visent à altérer, améliorer ou transformer les humains par l'aménagement de leur milieu de vie.
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Connaît-on vraiment la manière dont notre modernité a fait l'expérience de son milieu, la manière dont elle l'a pensé comme problème politique, scientifique et philosophique? L'histoire de la question environnementale, souvent élaborée à partir de la tradition darwinienne et de l'écologie politique, semble en effet négliger toute une tradition réflexive sur les milieux de vie, pourtant centrale pour les sciences sociales naissantes dès la seconde moitié du XVIIIe siècle. En poursuivant les travaux de Georges Canguilhem et de Michel Foucault, en explorant notamment cette science des milieux que le médecin Bertillon nommait mésologie dans les années 1860, cet ouvrage dresse l'histoire d'une rationalité mésopolitique : un ensemble de connaissances et de techniques qui visent à altérer, améliorer ou transformer les humains par l'aménagement de leur milieu de vie.
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Connaît-on vraiment la manière dont notre modernité a fait l'expérience de son milieu, la manière dont elle l'a pensé comme problème politique, scientifique et philosophique? L'histoire de la question environnementale, souvent élaborée à partir de la tradition darwinienne et de l'écologie politique, semble en effet négliger toute une tradition réflexive sur les milieux de vie, pourtant centrale pour les sciences sociales naissantes dès la seconde moitié du XVIIIe siècle. En poursuivant les travaux de Georges Canguilhem et de Michel Foucault, en explorant notamment cette science des milieux que le médecin Bertillon nommait mésologie dans les années 1860, cet ouvrage dresse l'histoire d'une rationalité mésopolitique : un ensemble de connaissances et de techniques qui visent à altérer, améliorer ou transformer les humains par l'aménagement de leur milieu de vie.
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Ces dernières années, on observe dans les pratiques comme dans les réflexions théoriques une véritable « explosion » du thème du « commun », devenu une référence centrale pour de multiples foyers d'expérimentations politiques et économiques (mouvements altermondialistes et écologistes, défense des services publics, résistances paysannes, coopératives, expérimentations numériques collectives). Avec une vitesse rare pour une notion nouvelle, le commun s'est mondialement imposé en tant que grand concept politique de ce début de XXIe siècle. Il admet pourtant des acceptions fort différentes, parfois contradictoires. Cet ouvrage, issu d'un colloque de Cerisy, est consacré aux enquêtes et terrains permettant d'éclairer les enjeux théoriques, pratiques et historiques de ce concept, ainsi qu'aux propositions stratégiques qui en font aujourd'hui le principe de l'alternative au capitalisme.
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Ces dernières années, on observe dans les pratiques comme dans les réflexions théoriques une véritable « explosion » du thème du « commun », devenu une référence centrale pour de multiples foyers d'expérimentations politiques et économiques (mouvements altermondialistes et écologistes, défense des services publics, résistances paysannes, coopératives, expérimentations numériques collectives). Avec une vitesse rare pour une notion nouvelle, le commun s'est mondialement imposé en tant que grand concept politique de ce début de XXIe siècle. Il admet pourtant des acceptions fortes différentes, parfois contradictoires. Cet ouvrage, issu d'un colloque de Cerisy, est consacré aux enquêtes et terrains permettant d'éclairer les enjeux théoriques, pratiques et historiques de ce concept, ainsi qu'aux propositions stratégiques qui en font aujourd'hui le principe de l'alternative au capitalisme.
Bien commun --- Intérêt général --- Choses communes (droit). --- Capitalisme --- Aspect politique. --- Aspect social. --- Intérêt général --- Capitalisme.
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Marx et Foucault : deux œuvres, deux pensées sans lesquelles on ne peut saisir le sens de notre présent. Pas de théorie critique qui puisse se passer de leurs concepts et de leurs analyses. Et pas de luttes qui ne renvoient à tel moment ou à tel aspect de leur héritage. Pourtant, de l'un à l'autre le passage ne va pas de soi. Les époques, les intentions, les philosophies même ne sont pas superposables. Hétérogènes donc, ces pensées font, l'une et l'autre, obstacle à tout « foucaldo-marxisme ». L'ouvrage vise à montrer des rapports mobiles et complexes, non des identités profondes ou des incompatibilités d'essence.Rapports de Foucault à Marx : il prend appui sur lui pour le déborder, l'envelopper, et parfois l'opposer à lui-même. Rapports de Foucault aux marxismes, sous leurs variantes les plus diverses, humaniste, existentialiste, althussérienne, qui n'ont cessé de composer les actualités changeantes de Foucault. Rapports des marxistes, d'hier et d'aujourd'hui, à Foucault : comment l'ont-ils lu ? Que lui ont-ils reproché, que lui ont-ils emprunté ? Qu'en font-ils aujourd'hui de neuf ? C'est donc l'actualité d'une lecture croisée de Marx et Foucault qui est au centre des contributions de cet ouvrage et qui ouvre sur un espace fécond pour l'avenir de la pensée critique.
Foucault, Michel, --- Marx, Karl, --- Influence
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Political science --- Marx, Karl, --- Foucault, Michel, --- Philosophy --- Influence --- Critique et interprétation --- Influence (Literary, artistic, etc.) --- Marx, Karl --- Critique et interprétation. --- Political science - Philosophy - Congresses --- Foucault, Michel, - 1926-1984 - Congresses --- Marx, Karl, - 1818-1883 - Congresses --- Marx, Karl, - 1818-1883 - Influence - Congresses --- Marx, Karl, 1818-1883 --- Foucault, Michel, 1926-1984 --- Critique et interprétation. --- Critique et interprétation --- Foucault, Michel --- Foucault, Michel, - 1926-1984 --- Marx, Karl, - 1818-1883
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