Listing 1 - 10 of 11 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Religion and politics. --- Religion and state. --- Messianism, Political. --- Political theology.
Choose an application
Nella vita e nel pensiero di Jacob Taubes (1923-1987) - rabbino di origine viennese, emigrato prima in Svizzera, poi a New York, Gerusalemme e infine in Germania - si rifrangono alcune delle più significative esperienze culturali del Novecento. Nelle sue, spesso contrastate, amicizie e frequentazioni con Gershom Scholem, Theodor W. Adorno, Karl Löwith, Leo Strauss non solo possiamo trovare un punto di vista privilegiato da cui disegnare il ritratto intellettuale di un'intera generazione, ma soprattutto, nel suo confronto con Walter Benjamin e Carl Schmitt, è possibile sorprendere i nodi teologici e politici che più hanno segnato il secolo. Cosa resta del messianismo tra crisi delle filosofie della storia e ritorno di attualità della teologia politica, nel mondo segnato dai totalitarismi? Come pensare la promessa di redenzione, propria dell'ebraismo, dopo l'età della cristianità e il suo apparente risolversi in compiuta secolarizzazione? È ancora possibile una storia? Domande che guidano l'autrice in questa prima biografia intellettuale di Taubes - un profilo che mostra come l'inattualità delle sue indagini sull'escatologia occidentale, Paolo, la teocrazia, legittimi la definizione, paradossale, di classico pensiero.
Choose an application
Questo libro si propone di indagare le radici di un fenomeno che investe l'esistenza di ciascuno tanto dal punto di vista individuale che da quello collettivo: l'essere in difetto, in colpa, in debito senza che dipenda da noi, quasi si trattasse di uno stato preliminare che nessun tipo di scelta consapevole è in grado di emendare. Si ha l'impressione che ogni forma di vita si configuri come una risposta a tale condizione, sia quella che si dedica incondizionatamente al godimento e al consumo, sia quella che sceglie i percorsi del rigore ascetico. Che l'economia (mercati, investitori, forze produttive ecc.) sottragga ai singoli e alle comunità il controllo del proprio destino, deriva probabilmente da una malattia radicale dell'umano le cui origini di ordine materiale non possono che essere al tempo stesso declinate sul piano culturale, ovvero filosofico e religioso. Riconoscere queste origini sotto le varie maschere che hanno indossato nel corso della storia occidentale è la sfida che qui si tenta di affrontare, con la speranza di individuare almeno qualche spunto di guarigione.
Choose an application
Jacob Taubes est l’une des figures les plus singulières de la culture allemande du XXe siècle. Il est né à Vienne le 25 février 1923 dans une ancienne famille de rabbins qui, pour échapper aux persécutions nazies, s’est exilée en 1936 à Zurich. C’est là que Taubes écrivit sa thèse de doctorat intitulée Abendländisches Escatologie (1947). En 1949, il part pour New York, puis pour Jérusalem, où de 1951 à 1953, il enseigne la sociologie de la religion à l’Université hébraïque sous la direction de Gershom Scholem. A son retour des États-Unis, il reçoit une bourse de la « Fondation Rockfeller » et travaille à l’Université de Harvard. Durant l’année universitaire 1955/56, il occupe une chaire à Prince ton, avant d’être pendant dix ans professeur d’histoire et de philosophie de la religion à l’université Columbia de New York. En 1961, il est appelé par la « Freie Universität » de Berlin où, en 1967, il devient titulaire de la chaire judaïstique et d’herméneutique. A cette époque, il tient de nombreux séminaires à la « maison des sciences de l’homme », à Paris. Dans cette ville comme à Berlin, il participe activement au mouvement étudiant de 1968. Il fut l’un des fondateurs de la collection « Théorie » aux éditions Suhrkamp et de la revue Poétique et Herméneutique et dirigea les trois volumes intitulés Religionstheorie und Politische Theologie. Bien qu’entretenant des contacts étroits avec les personnalités les plus marquantes de la culture européenne (Kojève, Scholem, Blumenberg…), il a passé les dernières années de sa vie dans une très grande solitude, aggravée par de nombreux problèmes de santé, et est décédé le 21 mars 1987. Sa dépouille repose dans le cimetière juif de Zurich. Dans ses recherches, il a toujours tenté de saisir le lien entre théologie et politique. C’est sur cet horizon que se place son intérêt pour les courants religieux des premiers siècles du christianisme - comme le manichéisme et la gnose dont il fut l’un des plus brillants interprètes de ce siècle. Hormis sa thèse de doctorat, Taubes n’a jamais écrit de livre au sens propre, laissant plutôt sa pensée s’exprimer dans la parole vivante, le discours. Voilà qui rend d’autant plus précieux le présent recueil d’écrits de circonstance sur Carl Schmitt qu’il a décidé de publier peu de temps avant sa mort, aux éditions Merve à Berlin. En tant que juif, Taubes ne dissimule pas le problème du nazisme chez Schmitt (comme chez Heidegger). Il cherche à en comprendre les raisons, en une incessante confrontation avec son œuvre personnelle. Il éclaire la pensée de Schmitt en en montrant la parenté avec Max Weber d’un coté et Walter Benjamin de l’autre, et en la posant dans le contexte de la « guerre civile mondiale » de ce siècle. Mais chaque page de ce recueil est aussi une précieuse relecture de l’opposition schmitienne ami/ennemi. Défi d’autant plus brûlant pour un intellectuel juif, et que Taubes relève brillamment. Une partie de ce livre a été publiée en appendice de La Théologie politique de Paul. Schmitt, Benjamin, Nietzsche et Freud de Jacob Taubes (Le Seuil)
Law and politics --- Law --- State, The --- National socialism --- Droit et politique --- Droit --- Etat --- Nazisme --- Philosophy --- Philosophie --- Schmitt, Carl, --- Political aspects.
Choose an application
Choose an application
Debt --- Economics --- Philosophy. --- Religious aspects --- Christianity. --- Moral and ethical aspects.
Choose an application
Choose an application
Max Weber's account of the rise of capitalism focused on his concept of a Protestant ethic, valuing diligence in earning and saving money but restraint in spending it. However, such individual restraint is foreign to contemporary understandings of finance, which treat ever-increasing consumption and debt as natural, almost essential, for maintaining the economic cycle of buying and selling.In The Debt of the Living, Elettra Stimilli returns to this idea of restraint as ascesis, by analyzing theological and philosophical understandings of debt drawn from a range of figures, including Saint Paul, Schmitt and Agamben, Benjamin and Marx, Nietzsche and Freud, and Foucault. Central to this analysis is the logic of "profit for profit's sake"—an aspect of Weber's work that Stimilli believes has been given insufficient attention. Following Foucault, she identifies this as the original mechanism of a capitalist dispositif that feeds not on a goal-directed rationality, but on the self-determining character of human agency. Ascesis is fundamental not because it is characterized by renunciation, but because the self-discipline it imposes converts the properly human quality of action without a predetermined goal into a lack, a fault, or a state of guilt: a debt that cannot be settled. Stimilli argues that this lack, which is impossible to fill, should be seen as the basis of the economy of hedonism and consumption that has governed global economies in recent years and as the premise of the current economy of debt.
Capitalism --- Religion and sociology. --- Asceticism. --- Ascetical theology --- Contempt of the world --- Theology, Ascetical --- Christian life --- Ethics --- Religion and society --- Religious sociology --- Society and religion --- Sociology, Religious --- Sociology and religion --- Sociology of religion --- Sociology --- Religion and capitalism --- Religious aspects. --- Religion and sociology --- Asceticism --- Religious aspects --- E-books
Choose an application
Choose an application
Listing 1 - 10 of 11 | << page >> |
Sort by
|