Listing 1 - 10 of 14 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Un recueil d'articles sur le processus de construction de l'Etat en Europe, du Moyen Age au XIXe siècle, à travers le cas de la dénonciation des crimes dans son aspect judiciaire. Le propos ne se limite pas à la sphère politique, mais tient aussi compte de la société comme facteur de l'essor de la délation. L'enjeu de la réflexion consiste à faire cohabiter information (au juge) et acte de droit. ©Electre 2015
Justice, Administration of --- Informations --- Justice et politique --- Informations (Droit) --- Political aspects --- History --- Histoire --- Denunciation (Criminal law) --- Dénonciations --- 34 <09> --- Criminal law --- History. --- Rechtsgeschiedenis --(algemeen) --- 34 <09> Rechtsgeschiedenis --(algemeen) --- Histoire. --- Dénonciation (Droit pénal) --- Criminal procedure --- Procédure pénale --- Denunciation (Criminal law) - Europe - History
Choose an application
Le présent ouvrage, issu d'un colloque tenu à Nanterre le 1er juillet 2022, saisit l'occasion de la commémoration du cinquantième anniversaire de la loi du 1er juillet 1972 relative à la lutte contre le racisme pour revenir sur son histoire, son application et les nouveaux défis auxquels elle est confrontée. Dans un temps où l'antiracisme est mis en cause, où les usages et les interprétations jurisprudentielles de la loi de 1972 posent question et où le mot « race » est saisi ou ressaisi dans l'espace politique et intellectuel, il est apparu opportun, loin des débats politiques et moraux, de porter le regard sur les conditions d'adoption de la loi, sur l'évolution de son application et sur les enjeux actuels qui la mettent à l'épreuve. Dans cette perspective, juristes, politistes, linguistes et historiens se prêtent au croisement des disciplines pour rendre raison d'une loi qui, si elle faisait l'unanimité de la classe politique en 1972, se trouve au coeur de polémiques, de discussions, de déceptions et de mises en cause. Il ne s'agit pas, ici, de nourrir les débats, mais bien de revenir à l'essentiel : comprendre une loi de sa source à ses effets.
Discrimination raciale --- Lutte contre le racisme --- Droit --- Race discrimination --- Anti-racism --- Antiracisme --- Law and legislation --- Racism --- Racisme
Choose an application
Legal theory and methods. Philosophy of law --- France --- Rwanda --- Mémoire --- Justice (philosophie) --- Amnistie --- Pardon --- Génocide des Tutsi (1994) --- Droit --- Aspect politique --- Droit. --- Amnistie. --- Aspect politique.
Choose an application
La 4e de couverture indique : "Évasions des geôles, agressions de sergents, justiciables en fuite, magistrats insultés ou émeutes au pied des gibets sont autant de faits de résistance oscillant entre insoumission et opposition à la volonté des juges, ou à la bonne exécution des décisions de justice. Les auteurs ne se limitent pas à recenser ces faits individuels et collectifs comme seulement ponctuels et sans impact sur l'histoire des états justiciers. À la lumière de l'historiographie récente, mais également de l'analyse résistancielle issue des sciences sociales, il s'agissait de considérer l'histoire judiciaire non pas seulement des résistances à la manière foucaldienne mais par les résistances et ce, en terme de pratiques."
Justice --- Obéissance --- Résistance politique --- Histoire. --- Civil disobedience --- Désobéissance civile --- History. --- Histoire --- Obéissance --- Résistance politique
Choose an application
Choose an application
"Interroger la peine par son emprise sur le corps (agents, outils, place et fonctions assignees au corps, ses representations...) sur un temps long (depuis le Moyen Age), a travers divers espaces judiciaires et au prisme de differentes disciplines. Telle est l'ambition de cet ouvrage, fruit des actes d'un colloque. Au final, trois perspectives se dessinent : celle des moyens de l'emprise judiciaire sur le corps, celle de la mise du corps a l'epreuve des peines reelles ou imaginaires et celle des espaces politiques et disciplinaires que tracent les usages judiciaires des corps. Quels que soient les temps et les lieux, le corps est bien l'objet d'une attention constante de la peine en ce qu'il permet d'objectiver et batir le monopole repressif de la justice."--Back cover.
Human body --- Corps humain --- Corporal punishment --- Punition corporelle --- Dead bodies (Law) --- Cadavres (Droit) --- Capital punishment --- Peine de mort --- Torture --- Executions and executioners --- Bourreaux --- Torturers --- Tortionnaires --- Law and legislation --- History. --- Droit --- Histoire --- History --- Image du corps. --- Peines --- Exécutions capitales et exécuteurs. --- Corps humain. --- Punitions corporelles --- Aspect physiologique. --- Histoire. --- Corporal punishment - History - Congresses --- Human body - Law and legislation - History - Congresses
Choose an application
Plus de 780 articles réunis ici permettent de rendre compte des douze années d'engagement de G. Clemenceau au sein du journal La Dépêche dans un contexte politique et social mouvementé, marqué notamment par l'accentuation de l'engagement colonial et l'affaire Dreyfus. Ces articles brossent ainsi le portrait de la société française de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. ©Electre 2015
Prime ministers --- Premiers ministres --- Biography --- Biographies --- Clemenceau, Georges, --- France --- Politics and government --- Politique et gouvernement
Choose an application
Une réflexion à la croisée du droit, de l'histoire et de la science politique, sur la peine de mort et sur la façon dont elle est pensée, traitée ou représentée. L'ouvrage montre que la réflexion sur l'histoire de la peine de mort, qui nourrit les débats politiques actuels, est aussi basée sur des oublis et des stéréotypes. Electre 2015
Capital punishment --- Peine de mort --- Law and legislation --- History --- Moral and ethical aspects --- Droit --- Histoire --- Aspect moral --- Peine de mort. --- Histoire.
Choose an application
Faut-il reprendre à son compte des catégories d’État sans en interroger la genèse et la construction, sans dépasser le langage impersonnel et neutralisant du droit, sans en analyser l’efficience et les effets ? Faut-il admettre que les « récidivistes » désignent historiquement un même groupe homogène et véhiculent les mêmes impensés, les mêmes peurs, les mêmes fantasmes depuis plus de deux siècles ? Ou faut-il poser comme point de départ à toute tentative de compréhension des objets « récidive » et « récidivistes » que ce sont des catégories juridiques historiquement situées, des construits politiques qui se sont imposés par la force du droit et qui ont perduré au prix de changements de sens masqués par l’apparente neutralité de la qualification juridique. Tentant d’ouvrir cette seconde voie, cet ouvrage se propose de redonner aux « récidivistes » une dimension historique, d’analyser la consolidation de cette catégorie au XIXe siècle et les raisons et les effets de sa permanence, dont on mesure aujourd’hui encore toute l’actualité. Fruit d’une rencontre de chercheurs issus de différentes disciplines (histoire, socio-histoire, droit, histoire du droit, sociologie), ce livre essaie d’éclairer la question en multipliant et confrontant les points de regard dans la perspective d’embrasser le plus largement un objet tout à la fois juridique, historique, politique et sociologique. C’est au prix (de la poursuite) d’une telle discussion interdisciplinaire que les enjeux liés à la récidive peuvent être mis à jour et par la suite analysés et éclairés.
Justice --- Criminalité --- Récidive --- Colloque --- Pau --- History --- histoire des représentations --- récidive --- récidiviste --- histoire de la justice --- Récidive (droit) --- Récidivistes --- France --- Histoire
Choose an application
Le faux monétaire, parce qu’il nécessite la construction de cette qualification, ne saurait se réduire à la seule évaluation des métaux précieux qu’il contient. Du Moyen Âge à l’époque contemporaine, les travaux réunis ici démontrent que si l’invention du faux en matière monétaire résulte de l’activité des contrefacteurs, elle dépend également de la réception des fausses pièces par les collectivités humaines. Dès la fin du Moyen Âge les autorités politiques mettent en avant la notion de majesté monétaire pour défendre les droits de monnayage du prince. Malgré cette construction théorique entre postures et impostures, la désignation de la falsification monétaire peine à rallier tous les acteurs des économies fondées sur le poids et l’aloi des espèces. C’est à partir de l’exemple de la France et de l’Espagne, de la Méditerranée et de l’Amérique coloniale hispanique, que le faux-monnayage est abordé comme une transgression de la valeur et de l'échange suscitant une répression judiciaire qui participe à la construction des frontières politiques. La fabrique du faux monétaire se place donc aux croisements des histoires économiques, monétaires, politiques et sociales. Elle restitue les articulations et les conflits liés à la réception occidentale de la falsification de la valeur, avant de fonder une approche originale du faux monétaire comme objet d’histoire, objet peu investi jusqu’alors par la pensée historique contemporaine. Destiné au monde universitaire hispanique et français, aux chercheurs, aux étudiants mais aussi aux passionnés de numismatique, cet ouvrage scientifique interdisciplinaire réunit le travail d’une quinzaine de chercheurs français et espagnols, historiens, anthropologues et numismates, pour fonder une histoire occidentale des (im)postures monétaires
History --- faux monétaire --- contrefaçon --- histoire
Listing 1 - 10 of 14 | << page >> |
Sort by
|