Listing 1 - 7 of 7 |
Sort by
|
Choose an application
European literature --- Self in literature --- Spiritual life in literature --- Littérature européenne --- Moi dans la littérature --- Vie spirituelle dans la littérature --- History and criticism --- Congresses. --- Histoire et critique --- Congrès --- Littérature européenne --- Moi dans la littérature --- Vie spirituelle dans la littérature --- Congrès
Choose an application
Collectors and collecting --- Cabinets of curiosities --- Renaissance --- History --- Collectors and collecting - Europe - History - 16th century - Congresses. --- Collectors and collecting - Europe - History - 17th century - Congresses. --- Cabinets of curiosities - Europe - Congresses. --- Renaissance - Congresses.
Choose an application
"Cicéron oppose dans le De oratore éloquence et rhétorique : c’est en prenant des leçons de ceux qui avaient une éloquence naturelle que l’art de la rhétorique est né. L’éloquence n’est pas une conséquence de la rhétorique, mais la rhétorique l’est de l’éloquence. La rhétorique ne doit jamais oublier son rapport à la nature. Or, aux cours des âges, la rhétorique devenue prescriptive finit par s’isoler du sens, de la création, de l’action humaine et devenir l’exercice stérile d’hommes obscurs, abîmés dans le silence de la vita contemplativa. Lorsque les prêtres donnent plus dans les mots que dans le contenu, chante le fou dans Le Roi Lear (III, 2), le royaume n’est pas loin du pourrissement.Dans cette relation entre éloquence et action à la Renaissance, l’action n’est autre que le concept suggéré par la vita activa, tout ce qui touche la vie sociale et politique et que la période humaniste privilégie. Si l’action se distingue ainsi de l’actio, la cinquième tâche de la rhétorique, qui met en œuvre le corps même de la parole, la voix et le geste, qu’il soit de la main ou de l’œil, elle peut aussi l’inclure. À la cour d’Elsinore, les gestes et les regards de l’acteur ont un rôle politique.Ainsi se propose-t-on de comprendre comment la Renaissance a repris le grand débat classique sur la valeur éthique de l’éloquence et de son art, la rhétorique. Comment les oppositions mots/choses, mots/faits et mots/actes se relaient entre elles pour fonder des théories du langage qui peuvent aboutir à un scepticisme sur le pouvoir des mots ou au contraire à sa valorisation, allant jusqu’à faire de l’éloquence une arme contre la violence. L’étude de la vie publique et de la langue, en passant par celle des arts, musique et peinture, fait apparaître l’importance de ce débat à l’âge moderne."--
Literary rhetorics --- anno 1400-1499 --- anno 1500-1599 --- Éloquence --- Eloquence --- Éloquence
Choose an application
Choose an application
Le Plaisir est-il le Bien ? La Renaissance reprend à son compte cette question débattue depuis le Philèbe et le livre X de l’ Ethique à Nicomaque. Au XVe siècle, Lorenzo Valla, dans son dialogue Sur le Plaisir de 1430 tranche dans le sens d’une identification entre le plaisir et le Bien suivi un siècle plus tard par Erasme qui n’hésite pas dans l’Epicurien (1533) d’assimiler le Christ à Epicure. Et Montaigne dans sa critique du stoïcisme stigmatise le danger des vertus immodérées qui excluent le plaisir. Le problème que posait Platon de la possibilité d’un faux plaisir à nouveau fascine les esprits. Et si le plaisir pensé, imaginé, rêvé pouvait réveiller les sens, toucher le corps ? Et si les barrières s’effaçaient entre le corps et l’âme ? Réhabiliter le plaisir, c’est pouvoir assumer sa part d’ombre, le déplaisir, refuser l’abstraction de leur dissociation. Accepter le plaisir, c’est accepter la mort. C’est l’une des leçons paradoxales de Peines d’Amour Perdues que la pensée baroque ne cessera d’illustrer. La Renaissance reste vigilante, comme l’avaient été les périodes précédentes, car il est un plaisir auquel il ne convient pas de laisser libre cours : le bon plaisir du monarque absolutiste.
Pleasure --- Pleasure in literature --- Plaisir --- Plaisir dans la littérature --- History --- Histoire --- Ethics [Renaissance ] in literature --- Ethiek [Renaissance ] in de literatuur --- Genot in de literatuur --- Jouissance dans la littérature --- Lust (Gevoel) in de literatuur --- Morale de la renaissance dans la littérature --- Plaisir dans la littérature --- Ethics, Renaissance, in literature --- Ethics, Renaissance, in literature. --- European literature --- English literature --- History and criticism --- History and criticism. --- 1400-1599 (Renaissance) --- 1450-1600 (Renaissance) --- Themes, motives --- Early modern, 1500-1700 --- Pleasure in literature - History and criticism --- European literature - Renaissance, 1450-1600 - History and criticism --- English literature - Early modern, 1500-1700 - History and criticism --- Plaisir (morale) --- Renaissance --- Congrès
Choose an application
Renaissance --- Littérature européenne --- Moeurs et coutumes dans la littérature --- Histoire des mentalités
Choose an application
En suspendant la violence de ses passions et de ses désirs, l'homme se montre capable d'une relation harmonieuse et respectueuse avec lui-même, les êtres et les choses, dans un dialogue avec la douceur de la vérité et la beauté de l'art qui la recrée. On étudiera comment, à l'âge humaniste et classique, les modernes ont pensé la douceur à partir de la relecture des sources antiques et chrétiennes dans les divers champs du savoir de la poétique à l'éthique, de la métaphysique à l'esthétique et dessiné un idéal difficilement définissable et aisément rompu.
Philosophy and psychology of culture --- Aesthetics --- Bonté --- Douceur --- Gentillesse --- Tendresse --- Littérature --- Dans la littérature --- Actes de congrès. --- Thèmes, motifs. --- Tenderness (Psychology) --- Kindness --- Kindness in literature --- Benevolence --- Benevolence in literature --- Humanity --- Humanity in literature --- Humanity in art --- Philosophy, European --- Emotions --- European philosophy --- Ethics --- Conduct of life --- Affection --- Conferences - Meetings
Listing 1 - 7 of 7 |
Sort by
|