Listing 1 - 10 of 21 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
L'ouvrage met au jour les sources profondes, parfois invisibles, d'un bien-être au travail dont l'impact sur la vie sociale et économique est considérable. Il passe en revue les leviers dont les ressources humaines devraient s'emparer pour accroître l'épanouissement professionnel de leurs salariés : autonomie, perspectives de progression, etc. Le bien-être au travail ne se réduit pas à de simples facteurs individuels et psychologiques. Il tient largement à la structure des entreprises, à leur type de management et à leur climat social, qui peuvent aussi engendrer de grandes souffrances. En s'appuyant sur des recherches récentes, françaises et internationales, l'économiste Claudia Senik met au jour les sources profondes, parfois invisibles, d'un bien-être au travail dont l'impact sur la vie sociale et économique est considérable. Elle passe en revue tous les leviers dont les services de ressources humaines devraient s'emparer pour accroître l'épanouissement professionnel de leurs salariés : autonomie, perspectives de progression, valorisation symbolique des fonctions, transparence des modes de différenciation salariale, etc.
Choose an application
Il est communément acquis que la confiance est la vertu élémentaire de toute vie sociale : sans confiance, les conduites de nos semblables seraient imprévisibles et dangereuses, alors qu'elle permet d'anticiper leurs actions et réactions. Mais l'établissement de la confiance repose sur des dispositifs culturels, institutionnels, sociaux et, souvent, imaginaires et religieux. Or, force est de reconnaître que nos sociétés contemporaines sont perturbées par des crises de confiance aux manifestations très diverses : mise en cause des élites politiques, du savoir scientifique et de l'expertise, succès des théories du complot, etc. Dans le même temps, ces crises n'empêchent pas la construction d'autres modalités de la confiance. S'il importe donc d'analyser la manière dont elle est affaiblie, voire détruite, il faut aussi saisir la production continue de la confiance sous des formes nouvelles. Tel est l'objet de cet ouvrage collectif, qui réunit des contributions originales de chercheurs mobilisant nombre de disciplines des sciences humaines et sociales : histoire, anthropologie, psychologie, économie, sociologie, sciences politiques, sciences de la communication... Ces approches plurielles contribuent à éclairer un thème qui embrasse la totalité de la vie des sociétés et peut se décliner en de multiples questions et objets.
Social change --- Trust --- Social aspects --- Interpersonal relations. --- Social psychology. --- Social aspects. --- Changement social. --- Confiance --- Relations humaines. --- Adaptation sociale. --- Évolution sociale. --- Aspect social. --- Trust - Social aspects --- Évolution sociale.
Choose an application
Risques écologiques, économiques, politiques et géopolitiques : nos sociétés n'ont jamais été aussi convaincues de s'acheminer vers une série de catastrophes quasiment inévitables. Face à ces dangers, les réactions sont de plusieurs natures. Certains tentent, par des discours prophétiques, de déclencher une mobilisation en pointant des risques particuliers. D'autres proposent une vision plus holiste du fonctionnement du monde qui intègre la possibilité des catastrophes, voire de l'apocalypse. Des groupes survivalistes tentent de se préparer dès à présent au monde postcataclysme. Des juristes proposent, pour les protéger, de donner des droits aux animaux, voire à la nature. Mais en majorité, les « décideurs » peinent à se mobiliser et les sociétés contemporaines semblent s'accommoder des menaces et des « poisons légaux » qu'elles s'infligent. Les études de cas réunies dans cet ouvrage collectif apportent des éclairages inédits aux interrogations d'un monde qui se sent en danger.
Risk perception. --- Fear --- Social aspects. --- Catastrophes écologiques --- Crises économiques --- Crises politiques --- Perception du risque --- Changement social. --- Fear - Social aspects. --- Catastrophes écologiques --- Crises économiques
Choose an application
L'un des principaux héritages de la pandémie de covid-19 est certainement l'extension des interactions fondées sur les technologies numériques de l'information, en particulier le travail à distance. Dans la plupart des pays, la situation a imposé un recours massif au télétravail pour tous ceux qui le pouvaient. Ce choc a accéléré une évolution ancienne, mais lente et inégale, alimentée par la numérisation de l'économie, permettant à certains de travailler en dehors des locaux de l'entreprise, à domicile ou ailleurs. Le télétravail, au moins partiel, est entré dans les mœurs et pourrait concerner aujourd'hui près de la moitié des emplois dans les pays développés.Après deux cents ans de séparation, le retour au domicile de l'activité économique soulève d'importants défis juridiques. Il est aussi porteur d'interrogations quant aux effets sur le bien-être des travailleurs : liberté accrue ou désocialisation, facteur d'innovation et de coopération renforcée ? Quelles sont les limites à l'extension du travail à distance ? A-t-il touché différemment les hommes et les femmes ? Les travaux réunis dans cet ouvrage, issus de différentes disciplines des sciences humaines et sociales, apportent des éclairages inédits sur ces questions.
Telecommuting --- COVID-19 Pandemic, 2020 --- -Work environment --- Épidémies --- Covid-19 --- Conditions de travail --- Télétravail --- Technologie de l'information. --- Affectation du personnel et organisation du temps de travail. --- Lieu de travail. --- Psychologie industrielle. --- Société. --- Épidémies --- Covid-19. --- Conditions de travail. --- Télétravail. --- -Épidémies --- Social aspects.
Choose an application
Le bien-être au travail ne se réduit pas à de simples facteurs individuels et psychologiques. Il tient largement à la structure des entreprises, à leur type de management et à leur climat social, qui peuvent aussi engendrer de grandes souffrances. En s'appuyant sur des recherches récentes, françaises et internationales, l'économiste Claudia Senik met au jour les sources profondes, parfois invisibles, d'un bien-être au travail dont l'impact sur la vie sociale et économique est considérable. Elle passe en revue tous les leviers dont les services de ressources humaines devraient s'emparer pour accroître l'épanouissement professionnel de leurs salariés : autonomie, perspectives de progression, valorisation symbolique des fonctions, transparence des modes de différenciation salariale, etc.
Choose an application
Economics --- Welfare economics --- Happiness --- Wealth
Choose an application
This survey summarises the insights that the new literature based on subjective data has shed on the issue of income inequality and income comparisons. It reviews the various channels that relate income distribution and subjective well-being. It considers the welfare effect of income gaps in general, both in terms of the difference between individual income and the income of some relevant other, and with regard to generic income distribution. Concerning income comparisons, the general lesson is that it is useful to distinguish status effects from signal effects: income comparisons hurt, but they may also increase life satisfaction when they mean good news; this is all the more likely as the reference group is made of people who most likely share a common destiny. Concerning income distribution in general, the relationship with subjective well-being is generally found to be negative, with higher societal inequality being associated with lower subjective well-being. There are many possible pathways which may lie behind such an empirical finding. The first type of aversion to income inequality derives from self-centred motives, such as risk-aversion and prospects for upward mobility (POUM). Both stem from a perception of the income distribution as a ladder that one risks falling from or has a chance to climb. Attitudes to inequality are also sometimes found to be based on other-regarding preferences such as fairness and reciprocity, which are generally independent of the income position of the individual himself. An important point is that subjective attitudes are the joint output of preferences and beliefs concerning income distribution in society. The demand for redistribution is higher whenever people have strong preferences for equal outcomes or opportunities but believe that in the society in which they live, outcomes or opportunities are actually not equal. As illustrated by several studies, preferences and beliefs concerning income distribution are context dependent and are thus heterogeneous across countries and groups of the population.
Choose an application
Choose an application
"Cet ouvrage présente les travaux des chercheurs lauréats de l'appel à projets lancé en 2022 par la Fondation pour les sciences sociales sur le thème "Un monde en guerre ?". Malgré les espoirs nourris par les démocraties après la Seconde Guerre mondiale, malgré la tentative de construire un ordre international fondé sur le multilatéralisme et malgré la dissuasion nucléaire, la guerre ne cesse de se rallumer en de multiples points du monde, y compris aux portes de l'Europe. Depuis 2022, la guerre en Ukraine a réactivé d'anciens débats : rationalité et justification morale de la guerre, nature des interactions stratégiques entre acteurs du conflit, mobilisation de la population civile, légitimité et efficacité des sanctions contre l'agresseur. Elle soulève également de nouvelles questions. Du côté de la Russie, la guerre fait-elle l'objet d'un consensus au sein des élites ? Pour l'Union européenne, est-elle l'occasion d'une cohésion approfondie, à l'image de l'accueil coordonné des réfugiés ukrainiens ? Ce conflit illustre également l'étendue des armes et des cibles de guerre, des plus traditionnelles telles que l'eau aux outils de communication les plus modernes. Les douze contributions réunies dans ce volume abordent ces questionnements à l'aide des outils propres à différentes disciplines des sciences sociales et humaines. La plupart se rapportent à la guerre en Ukraine, mais certaines ramènent le lecteur au Moyen Âge ou à l'Antiquité, tandis que d'autres appréhendent la manière d'écrire l'histoire de la guerre ou de la représenter dans une œuvre picturale."--Page 4 of cover.
Choose an application
This survey summarises the insights that the new literature based on subjective data has shed on the issue of income inequality and income comparisons. It reviews the various channels that relate income distribution and subjective well-being. It considers the welfare effect of income gaps in general, both in terms of the difference between individual income and the income of some relevant other, and with regard to generic income distribution. Concerning income comparisons, the general lesson is that it is useful to distinguish status effects from signal effects: income comparisons hurt, but they may also increase life satisfaction when they mean good news; this is all the more likely as the reference group is made of people who most likely share a common destiny. Concerning income distribution in general, the relationship with subjective well-being is generally found to be negative, with higher societal inequality being associated with lower subjective well-being. There are many possible pathways which may lie behind such an empirical finding. The first type of aversion to income inequality derives from self-centred motives, such as risk-aversion and prospects for upward mobility (POUM). Both stem from a perception of the income distribution as a ladder that one risks falling from or has a chance to climb. Attitudes to inequality are also sometimes found to be based on other-regarding preferences such as fairness and reciprocity, which are generally independent of the income position of the individual himself. An important point is that subjective attitudes are the joint output of preferences and beliefs concerning income distribution in society. The demand for redistribution is higher whenever people have strong preferences for equal outcomes or opportunities but believe that in the society in which they live, outcomes or opportunities are actually not equal. As illustrated by several studies, preferences and beliefs concerning income distribution are context dependent and are thus heterogeneous across countries and groups of the population.
Listing 1 - 10 of 21 | << page >> |
Sort by
|