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"Comment éduquer un enfant? Renversons la question et demandons-nous d'abord ce que l'enfant, qui est pourtant dans un état de dépendance, peut faire par lui-même: ce qu'il peut, avec l'aide d'autrui, pour se transformer et devenir autre que lui-même. Il nous faut à cette fin élaborer une ' anthropologie de l'enfance ' qui considère par quelles voies, physiques et psychiques, l'enfant conquiert sa liberté. Vygotski, avec l'appui de Spinoza dont il use tout au long de son œuvre, nous y aide: il nous permet de penser la puissance affective du développement conceptuel de l'enfant, et de jeter les bases d'une psychologie spinoziste des affects, dont la pierre de touche est la peržeivanie, expérience vécue pouvant devenir de plus en plus vivante." Source : couverture
Child development --- Education --- Psychology and philosophy --- Self-realization --- Philosophy. --- Philosophy --- Vygotskiĭ, L. S. --- Spinoza, Benedictus de, --- Influence. --- Spinoza, Benedictus de, 1632-1677 --- Vygotskiĭ, L. S. (Lev Semenovich), 1896-1934
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Dans cet ouvrage, les principaux philosophes et historiens de la philosophie des Etats-Unis, spécialistes de Spinoza, présentent leurs interprétations et dialoguent avec leurs homologues français. C'est la première fois qu'une discussion systématique entre ces deux traditions a lieu. Elle fait suite au dialogue engagé entre Italiens et Français dans le volume Spinoza transalpin (Editions de la Sorbonne, 2014).Si la philosophie ignore les nationalismes, elle n'ignore pas les langues. Ainsi se créent dans chaque pays des traditions d'interprétation : elles partagent des références communes, lisent les auteurs selon des problématiques liées à leur histoire et s'expriment dans des styles spécifiques, propres à leur formation et à leurs institutions. Loin de gêner le débat, ces différences rendent au contraire nécessaires les confrontations. Cette rencontre révèle que les philosophes américains prennent en compte les analyses de Gueroult, Matheron, Althusser ou Deleuze pour les prolonger, les contester ou les mesurer à leurs propres recherches. Elle témoigne surtout d'une évolution du commentaire. Il fut un temps où la lecture américaine se concentrait sur la logique et la métaphysique, alors que les questions d'éthique et de politique ainsi que les discussions sur la religion semblaient un domaine réservé à la recherche française. Il apparaît maintenant que ces frontières se dissolvent et que durant ces dernières années, les thématiques de la communauté, de la superstition, de l'objectivité du bien et du mal, de la générosité se développent outre-Atlantique dans de nouvelles perspectives.
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Dans cet ouvrage, les principaux philosophes et historiens de la philosophie des Etats-Unis, spécialistes de Spinoza, présentent leurs interprétations et dialoguent avec leurs homologues français. C'est la première fois qu'une discussion systématique entre ces deux traditions a lieu. Elle fait suite au dialogue engagé entre Italiens et Français dans le volume Spinoza transalpin (Editions de la Sorbonne, 2014).Si la philosophie ignore les nationalismes, elle n'ignore pas les langues. Ainsi se créent dans chaque pays des traditions d'interprétation : elles partagent des références communes, lisent les auteurs selon des problématiques liées à leur histoire et s'expriment dans des styles spécifiques, propres à leur formation et à leurs institutions. Loin de gêner le débat, ces différences rendent au contraire nécessaires les confrontations. Cette rencontre révèle que les philosophes américains prennent en compte les analyses de Gueroult, Matheron, Althusser ou Deleuze pour les prolonger, les contester ou les mesurer à leurs propres recherches. Elle témoigne surtout d'une évolution du commentaire. Il fut un temps où la lecture américaine se concentrait sur la logique et la métaphysique, alors que les questions d'éthique et de politique ainsi que les discussions sur la religion semblaient un domaine réservé à la recherche française. Il apparaît maintenant que ces frontières se dissolvent et que durant ces dernières années, les thématiques de la communauté, de la superstition, de l'objectivité du bien et du mal, de la générosité se développent outre-Atlantique dans de nouvelles perspectives.
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Dans cet ouvrage, les principaux philosophes et historiens de la philosophie des Etats-Unis, spécialistes de Spinoza, présentent leurs interprétations et dialoguent avec leurs homologues français. C'est la première fois qu'une discussion systématique entre ces deux traditions a lieu. Elle fait suite au dialogue engagé entre Italiens et Français dans le volume Spinoza transalpin (Editions de la Sorbonne, 2014).Si la philosophie ignore les nationalismes, elle n'ignore pas les langues. Ainsi se créent dans chaque pays des traditions d'interprétation : elles partagent des références communes, lisent les auteurs selon des problématiques liées à leur histoire et s'expriment dans des styles spécifiques, propres à leur formation et à leurs institutions. Loin de gêner le débat, ces différences rendent au contraire nécessaires les confrontations. Cette rencontre révèle que les philosophes américains prennent en compte les analyses de Gueroult, Matheron, Althusser ou Deleuze pour les prolonger, les contester ou les mesurer à leurs propres recherches. Elle témoigne surtout d'une évolution du commentaire. Il fut un temps où la lecture américaine se concentrait sur la logique et la métaphysique, alors que les questions d'éthique et de politique ainsi que les discussions sur la religion semblaient un domaine réservé à la recherche française. Il apparaît maintenant que ces frontières se dissolvent et que durant ces dernières années, les thématiques de la communauté, de la superstition, de l'objectivité du bien et du mal, de la générosité se développent outre-Atlantique dans de nouvelles perspectives.
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