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Ce mémoire désire appréhender la manière dont Thomas Gunzig s’approprie, dans trois de ses romans (Mort d’un parfait bilingue, Manuel de survie à l’usage des incapables, La vie sauvage), le phénomène dialectique d’humanisation-déshumanisation qui touche l’homme contemporain. Pour ce faire, trois grands objectifs ont été poursuivis : présenter les facteurs sociaux qui entraînent la déshumanisation de l’être humain ainsi que les procédés littéraires employés à cette fin ; sonder la conception de l’homme propre à Gunzig (notamment les rapports que celui-ci entretient avec l’animalité) ; interroger la réception critique et ironique des trois romans étudiés.

Gunzig --- Humanisation --- Déshumanisation --- Romans --- Animalité --- Réception --- Arts & sciences humaines > Littérature