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UCLouvain (1)


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book (1)


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French (1)


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2013 (1)

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Influence des substances adénosinergiques sur le profil pharmacologique d'un antipsychotique atypique de 3ième génération
Authors: --- --- ---
Year: 2013 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de pharmacie et des sciences biomédicales,

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Abstract

Le profil agoniste partiel de l'aripiprazole sur les récepteurs dopaminergique a en premier lieu été démontré sur un modèle cellulaire en mesurant l'accumulation d'AMPc. Cependant, sur le tissu le profil agoniste partiel de cette substance n'a toujours pas pu être confirmé malgré les nombreux essais biochimiques et les variations de conditions expérimentales. Il est suggéré que la réponse fonctionnelle de l'aripiprazole dépend fortement de l'environnement expérimental.En se basant sur cette hypothèse, nous avons choisi d'étudier l'influence des substances hétérologues sur la réponse dopaminergique sur des membranes de striatum de rats. En effet, il y a de plus en plus d'évidence que certaines substances endogènes telles que les substances adénosinergiques, glutamatergiques et cannabinoïdes ont un impact sur de nombreuses pathologies telles que la schizophrénie et la maladie de Parkinson. Notre hypothèse de travail est que les substances non dopaminergiques pourraient modifier laréponse fonctionnelle des ligands dopaminergiques et pourraient avoir un impact sur le profil agoniste partiel de l'aripiprazole.Nos résultats montrent que les substances adénosinergiques sont capables de modifier la réponse fonctionnelle des ligands dopaminergiques mais celles-ci sont aussi capables de révéler le profil agoniste partiel de l'aripiprazole. Nous insistons encore une fois sur le fait que le profil pharmacodynamique de l'aripiprazole peut être affecté par des modifications de l'environnement cellulaire tels que une co-incubation ou un prétraitement avec des substances non dopaminergiques. Ces résultats révèlent l'importance thérapeutique à cibler des voies non dopaminergiques pour moduler la réponse des antipsychotiques. The partial agonist profile of the novel antipsychotic aripiprazole at D2 receptors was first demonstrated in cellular models by measuring cAMP accumulation. However, on animal tissues, several biochemical assays and experimental conditions failed to unravel the partial agonist profile of aripiprazole. lt was suggested that the functional response to aripiprazole was highly dependent on the experimental paradigm . Herein, the influence of heterologous substances on dopaminergic response was examined on rat brain membranes. Indeed, increased evidences suggest that endogenous compounds such as serotonin, adenosine and glutamate may have an impact in numerous dopaminergic diseases, such as schizophrenia and Parkinson's disease. Our working hypothesis is that non dopaminergic compounds may modify the functional response to dopamine ligands and have an impact on the partial agonist profile of aripiprazole. Our results show that some non-dopaminergic substances are able to unravel the partial agonist profile of aripiprazole in a concentration-dependent manner. In contrast, those substances do not modify the response to either dopamine or (-)-3PPP (a low efficacy partial agonist). Our data suggest that the partial agonist profile of aripiprazole can be evidenced ex vivo on rat brain membranes. Moreover, we have emphasized once again the particular pharmacodynamics profile of aripiprazole which can be affected by a modification of cellular environment such as co-incubation or a pretreatment with non-dopaminergic compounds. These data highlight the importance of therapeutically targeting non dopaminergic pathways in order to modulate the responses to antipsychotic. More generally, heightened attention should be given to drug interactions especially with compounds showing complex functional profile like aripiprazole.

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