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Lorsque Cosimo, minable voleur, se fait refiler un tuyau par un compagnon de cellule condamné à perpétuité, il n’a plus qu’une idée en tête: sortir de prison pour rafler la mise. Rosalind, sa petite amie, cherche d’urgence quelqu’un qui accepterait de purger sa peine à sa place, mais personne n’est d’accord. Par contre, tout le monde est d’accord pour s’associer à ce cambriolage si facile et si juteux… Bienvenue à Collinwood est de ces films dont se délectent les cinéphiles. Véritable genre en lui-même, popularisé par les frères Coen, il présente des personnages stupides qui ratent tout ce qu’ils entreprennent. Mais quitte à échouer, autant le faire avec panache. Alors les protagonistes de Collinwood ont plus de panache que n’importe qui. Lointains cousins du Duke de The Big Lebowski, ils s’associent malgré eux pour un casse qui devrait les rendre riches. Seulement, et tout le ressort du film repose dessus, chacun des membres de l’équipe de bras cassés va, à tour de rôle, endosser la responsabilité de les empêcher de mener à bien leur noble quête. Le lieu importe tout autant que les protagonistes. Ils évoluent dans une morne et anonyme banlieue américaine, dans une époque indistincte. Un univers de malfrats avec leur vocabulaire spécifique, comme la recherche du Mullinski ou du Bellini, deux termes exotiques et irrésistibles, coupés du reste du monde. Collinwood pousse ses habitants à partir, à fuir leur quotidien que chacun, avec son lot de petites misères cocasses, ne supporte plus. Alors, tous sont à l’affût du moindre coup facile qui se présenterait. Produit par Steven Soderbergh et George Clooney (qui s’est réservé un petit rôle à se tordre de rire), le premier véritable film des frères Russo est une vraie réussite, mais qui ne parvient pas à éviter certains écueils. Seulement, l’œuvre et ses personnages sont suffisamment attachants pour passer ces défauts. Insolite et haut en couleur, le film parvient à faire rire des malheurs d’une existence misérable. Toutefois, les auteurs ne prennent pas leurs victimes de haut et un véritable amour pour eux et leur destin transparaît en chaque scène. Simplement parce qu’il est aisé de réaliser qu’eux-mêmes viennent d’un même endroit, pauvre et bourré d’espoir. Hyper codifié et balisé, Bienvenue à Collinwood se pare de nombreuses références savoureuses, comme la scène d’introduction inspirée des comédies muettes en noir et blanc. Cependant, malgré toutes ces qualités et la prestation exceptionnelle des acteurs, Sam Rockwell (Charlie et ses drôles de dames) en tête, le film reste trop prévisible dans ses rebondissements et sa mise en scène manque parfois de rythme. Certaines scènes demeurent trop convenues et ont été vues trop souvent. Seulement, Bienvenue à Collinwood demeure un excellent film, bien écrit, exceptionnellement interprété, drôle et touchant. Il devrait toucher au cœur les amateurs des films des frères Coen tout en espérant à rallier sous leur bannière les autres réfractaires.
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Some threats to correctional institutional security — e.g., violence, escape attempts, contraband — are as old as the institutions themselves, while other threats — e.g., computer hacking, synthetic drugs, cell phones, drones — have evolved with societal and technological changes. Many of these threats present risks to public safety as a whole. In light of the ongoing challenges the corrections sector faces in countering these threats, RAND researchers convened an expert workshop to better understand the challenges and identify the high-priority needs associated with threats to institutional security. Unfortunately, resource and staffing challenges limit the ability of correctional institutions to adapt to shifts in threats and to adjust security and staffing strategies over time. Furthermore, a perpetual lack of empirical data hampers efforts to effectively develop interventions to address threats. Addressing the research needs and developing the tools and resources — as prioritized by the workshop participants — is one route to providing correctional institutions the support needed to confront security threats going forward.
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Community corrections agencies serve more than half of the corrections population but are generally underfunded. The need to manage increasing caseloads with diminishing resources has driven the field of community corrections to embrace innovations designed to improve the delivery of services. Examples of such innovations include offender location-tracking systems, advanced drug and alcohol testing methods, automated reporting systems, offender computer-monitoring tools, and automated risk and needs assessment instruments. RAND researchers convened an expert workshop of correctional administrators and researchers to explore how such technology and innovations could be used to enhance public safety and improve outcomes for offenders. The group identified several needs related to developing tools to help the community corrections sector more effectively and more efficiently perform its mission, but the development of tools is only part of the equation: Implementing innovations in a way that maximizes utility can be far more challenging. Although evidence-based community supervision practices can guide the implementation of technology, in most cases, technology far outpaces research or offers possibilities that have yet to be investigated. Therefore, rigorous evaluation of innovations is required to determine their effectiveness. The development of technology solutions and the evaluation of these solutions — such as those prioritized by the workshop participants — can be an essential component of a community corrections system that meets the needs of the public moving forward.
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Une femme sino-américaine usée par la vie est emportée dans une aventure irréelle où elle doit sauver ce qui est important pour elle en se connectant aux vies qu'elle aurait pu avoir dans d'autres univers parallèles. Première partie: Tout (Everything): Evelyn Quan Wang est une femme sino-américaine issue des premières générations d'immigrants du pays qui tient une laverie avec Waymond, son mari. Les tensions montent dans sa famille: la laverie est inspectée par l'IRS; Waymond essaie désespérément de lui faire signer un acte de divorce; Gong Gong, son père, vient d'arriver de Hong Kong; Joy, sa fille, essaye de lui faire accepter sa relation lesbienne avec Becky. Lors d'un rendez-vous avec Deirdre Beaubeirdre, une inspectrice de l'IRS, la personnalité de Waymond change totalement alors que son corps est brièvement emprunté par Alpha Waymond, une version de Waymond venant d'un univers parallèle appelé “l'Alphavers”. Alpha Waymond explique à Evelyn l'existence du multivers, composé de tous les choix faits dans l'univers. Des habitants de l'Alphavers, menés par la regrettée Alpha Evelyn, ont réussi à développer une technologie permettant aux gens d'accéder aux talents, aux souvenirs et au corps de leurs homologues d'univers parallèles par des “sauts d'univers” en remplissant des conditions loufoques. Le multivers est menacé par Jobu Tupaki, qui se révèle être la version de Joy dans l'Alphavers: son esprit a été scindé après plusieurs expériences de sauts d'univers menées par Alpha Evelyn; Jobu Tupaki expérimente à présent tous les univers à la fois et peut manipuler la matière et les univers selon sa volonté. Omnipotente, elle a créé un trou noir sous la forme d'un bagel capable de détruire le multivers. Alpha Waymond donne à Evelyn la technologie nécessaire aux sauts d'univers alors que les sbires de Jobu Tupaki commencent à infiltrer le bureau de l'IRS. Evelyn apprend que Waymond veut divorcer et découvre ses vies alternatives, dont l'une où elle est devenue maîtresse de kung-fu et star de cinéma après avoir refusé de partir de Chine avec Waymond, qui est devenu un important homme d'affaires. Alpha Waymond pense qu'Evelyn, étant la version d'Evelyn la plus ratée de tous les univers, a le pouvoir caché de pouvoir vaincre Jobu Tupaki. Alpha Gong Gong ordonne à Evelyn de tuer Joy afin d'affaiblir Jobu Tupaki, mais Evelyn refuse et décide d'affronter Jobu Tupaki en acquérant les mêmes pouvoirs qu'elle: elle combat alors les sbires de Jobu Tupaki et les soldats d'Alpha Gong Gong avec des sauts d'univers à répétition. Après la bataille, Alpha Waymond est localisé et tué par Jobu Tupaki et l'esprit d'Evelyn se scinde. Deuxième partie: Partout (Everywhere): Evelyn fait des sauts d'univers dans d'autres univers dont certains très étranges, comme celui où les humains ont des saucisses à la place des doigts et où elle a une relation amoureuse avec Deirdre, et un autre où elle travaille avec Chad, un chef de teppanyaki manipulé par “Ratontouille”, un raton laveur. Elle apprend que Jobu Tupaki n'a pas créé le trou noir pour tout détruire, mais pour se détruire elle-même, et cherchait une Evelyn qui puisse la comprendre. Jobu Tupaki pense que la multitude d'univers et le chaos qui en découle font que rien n'a réellement de sens et souhaite simplement ne plus exister. Dans d'autres univers, les Wang perdent la laverie à cause de leurs dettes, la relation entre Evelyn-saucisse et Deirdre-saucisse prend fin, Evelyn-chef révèle la supercherie de Chad et Waymond-businessman rejette Evelyn-star après leurs retrouvailles. Après une longue discussion philosophique dans plusieurs univers, Evelyn est presque ralliée à la cause de Jobu Tupaki et poignarde le Waymond de son univers. Elle s'apprête à entrer dans le bagel avec Jobu Tupaki mais s'arrête quand elle entend Waymond suppliant la fin du combat, en demandant d'être gentil et d'avoir espoir même dans un univers où rien ne semble faire sens. Evelyn vainc les soldats d'Alpha Gong Gong et de Jobu Tupaki non pas en les blessant, mais en trouvant ce qui leur apporte du bonheur grâce à sa connaissance du multivers. Evelyn atteint Jobu Tupaki et lui dit qu'elle n'est pas seule et qu'elle choisira toujours d'être avec elle, peu importe ses choix. Pendant ce temps, dans un autre univers, Evelyn fait face à Gong Gong, se réconcilie avec Waymond et Joy, et trouve un commun accord avec Deirdre. Jobu Tupaki rejette d'abord Evelyn, avant de se retourner et de l'embrasser. Conclusion: Tout à la fois (All at Once): Peu de temps après, les vies et les relations de la famille se sont améliorées: Becky est considérée comme faisant partie de la famille; Waymond et Evelyn partagent un bref moment romantique pour la première fois depuis longtemps; ils retournent dans le bureau de Deirdre pour classer leurs taxes. Pendant que Deirdre parle, l'attention d'Evelyn est momentanément attirée par le multivers, mais elle parvient à revenir dans son propre univers. Le film est universellement acclamé pour son originalité, sa réalisation et son jeu d'acteur. C'est aussi par la représentation de concepts philosophiques tels que l'existentialisme, le nihilisme et l'absurde et par l'analyse des thèmes communs que sont la dépression, l'identité et le choix que le film se démarque. Véritable « comédie familiale engloutie dans un blockbuster hypnotique » selon “Le Monde”, le film rapporte lors de sa sortie 112 millions de dollars, devenant le premier film A24 à franchir la barre des cent millions. Everything Everywhere All at Once est officiellement le film le plus récompensé de tous les temps. Il reçoit lors de la 95e cérémonie des Oscars onze nominations et en obtient sept, ce qui fait de lui le film le plus récompensé de la cérémonie. Dans l'appréciation générale de Doctor Strange and the Multiverse of Madness, nombreux sont ceux à saluer l'inventivité du film mais, même parmi les amateurs, il est à noter que cette appréciation se teintait tout de même d'un certain nivellement par le bas Marvelien et qu'en ce qui concernait l'exploitation du concept de multivers, l'ouvrage demeurait encore relativement sage vis-à-vis de son potentiel foisonnant. Hasard du calendrier ou tout simplement du zeitgeist, propice à ce type de postulat, Everything Everywhere All At Once est le film que Doctor Strange aurait pu être. Le vrai multivers de la folie. Une folie de genres, mariant le drame domestique à une histoire d’immigration, le tout dans un film de science-fiction rythmé par des séquences d’arts martiaux. Une folie d’idées, les mots manquant pour décrire le niveau d'inventivité d’un film qui ne recule vraiment devant rien, du concept le plus complexe au gag le plus en dessous de la ceinture. Une folie pour épouser le vertige ressenti par un aperçu de toutes les vies que l’on aurait pu s’imaginer avoir. Une folie réconciliant la plus tristement quotidienne des vies avec son potentiel infini. L’exploration frénétique au parfum d'exhaustivité que les auteurs font de leur postulat n’a d’égal que le caractère résolument débridé des règles tout à fait improbables qu'ils s'inventent pour régir leur création et pour rendre leur œuvre encore plus originale. Aucune description ne saurait faire honneur à la ressource des Daniels, il faut voir le film pour croire son idiosyncrasie sans pareil. À l'instar de leur premier long métrage, Swiss Army Man, c'est la foi absolue de ses créateurs dans l'humour le plus potache caractérisant leur univers qui fait de ces consignes arbitraires non seulement des gags à pleurer de rire mais surtout une expérience unique. En plus d'être une avalanche d'idées hilarantes débitées à un rythme presque éprouvant, le scénario est réellement une merveille narrative. Très vite, ce n'est plus seulement l'abattage de saynètes - tous ces différents aperçus d'univers parallèles, toutes ces scènes de combat comportant à chaque l'élément décalé qui va lui donner tout son sel (comme ces improbables éléments utilisés comme armes de wu xia pian) - ni l’accumulation d'effets de style qui rend l'expérience vertigineuse mais l'écriture dans sa vue d'ensemble qui déroule en quasi-temps réel un récit d'une densité écrasante. Travaillant les mêmes thèmes que le précédent film du tandem, ce deuxième opus s'avère toutefois infiniment plus fort et touchant, parvenant, sans en faire un gimmick, à étendre les questions qui se posaient déjà entre deux hommes perdus dans une forêt à une cellule familiale, puis à leurs alter ego et finalement non seulement à un univers mais à un multivers tout entier. L'exercice fait preuve d'intelligence également dans l'emploi des acteurs et des codes, amenant une dimension méta mais sans le moindre sourire en coin facile. Il y a évidemment toute la carrière de Michelle Yeoh, parfaite dans un rôle en or à multi-facettes, qui résonne derrière son personnage mais, sans forcer le trait, le film propose même une déconstruction des velléités de destruction des antagonistes de ce type de récit, ramenant une fois de plus tout à l'intime et à l'introspection. Une nouvelle fois, il est question de s'ouvrir aux autres pour ne pas laisser nos frustrations et nos différences nous tuer, de l'amour comme clé du salut, de l'optimisme à toute épreuve. Non seulement Everything Everywhere All At Once est un trip d'une richesse et d'un ludisme comme on en voit rarement, traversant allègrement les genres et les influences, des sœurs Wachowski à Wong Kar-wai, mais le film peut se targuer en outre de présenter une philosophie de vie qui émeut aux larmes. Il est même difficile d’en parler tant c'est le genre de film où l’on pourrait passer l'après-séance à énumérer une par une toutes les choses, toutes les scènes, toutes les blagues, toutes les idées qui surprennent, impressionnent et s’avèrent destinées à rester gravées en tête. Un idéal de cinéma qui se classe d’office comme l’un des meilleurs films de l’année.
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Delivering effective community supervision services has always been challenging. However, recent societal shifts have raised the stakes. The changing nature of crime, along with an increase in digital literacy among the general population, has resulted in a greater number of tech-savvy individuals under community supervision. This presents unique challenges and opportunities for supervision agencies. A complete ban on supervisee access to technology is generally not justifiable (or practical) except in the most severe circumstances. Therefore, agencies must assess and manage the risk to public safety from supervisees' technology use. Managing an individual's digital activities not only can deter and detect new crimes but also can help officers identify problematic behaviors, allowing them the opportunity to intervene before a negative outcome occurs. Despite the increasing need to effectively manage supervisees' virtual presence, many agencies struggle with this imperative. To examine this issue, the National Institute of Justice, supported by the RAND Corporation in partnership with the University of Denver, hosted a virtual workshop in June 2020 to discuss the challenges related to supervising individuals in an increasingly digital world. The participants identified a list of 23 needs related to providing community supervision services in a digital world, 13 of which were ranked as high priority. These needs were sorted into the five categories of organizational issues, tools and training, policy and practice, legal and privacy concerns, and research.
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The transition from prisons or jails back into the community can be challenging, and many returning citizens reengage with the criminal justice system. Preparing incarcerated individuals for successful reintegration is a critical mission of corrections agencies and their community-based partners. To accomplish this goal, the corrections sector is increasingly leveraging technology-based solutions to deliver reentry programs, supervision, and support services in ways that may ultimately improve outcomes. In this report, researchers describe a virtual workshop, convened in March 2021 by the RAND Corporation and the University of Denver on behalf of the National Institute of Justice. A group of prison, jail, and probation and parole administrators; community-based service providers; researchers; and other experts was convened to identify and prioritize 11 high-priority needs to address this issue. Successful reentry can be achieved only if these and other needs are addressed. Additionally, returning citizens on community supervision must comply with their conditions of release. Therefore, in addition to addressing the needs of returning citizens, the sector has the obligation to protect the public by monitoring compliance with these conditions and ensuring accountability.
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As of 2017, 83 percent of state inmates and 49 percent of federal inmates released from U.S. prisons were rearrested within nine years and eight years, respectively. Implementing evidence-based rehabilitative interventions to reduce recidivism begins with valid risk and needs assessment (RNA) tools. In a prison setting, these tools allow staff to make informed decisions about inmates in their charge, but successfully implementing these tools can be challenging. Prison systems are highly complex, are often underresourced, and might lack the internal capacity to effectively implement RNAs in their operations. Furthermore, it can be difficult to change institutional culture to accept an evidence-based approach in an environment in which custody objectives are paramount. To examine this issue, the National Institute of Justice (NIJ), supported by the RAND Corporation in partnership with the University of Denver, hosted a two-day workshop to examine the use of RNA tools in prisons. During this meeting, four major themes were identified: organizational issues, the selection and implementation of RNA tools, the administration of assessments, and programming. Workshop participants called for additional training and guidance for leadership, evaluation of RNA tools, and research assessing the effectiveness of approaches to assessments and programming.
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Jails are the entry point to the correctional system in the United States. There are approximately 3,100 jails in the United States, and on any given day, these facilities hold more than 745,000 individuals who are either awaiting trial or serving short sentences. Beyond serving their fundamental detention mission, jails have increasingly become a crucial resource for the larger community because they often serve the medical and behavioral health care needs of large numbers of disenfranchised individuals who come into contact with the justice system. As a result of the sheer number of individuals entering jails and the expanding scope of services that jails are expected to provide, vast amounts of diverse data are generated and used. Despite the opportunity to leverage these data to inform policies and improve both operations and outcomes, most jails, for a variety of reasons, are not consistently operating in a data-informed manner. To examine this issue, the National Institute of Justice, supported by the RAND Corporation in partnership with the University of Denver, hosted a two-day workshop. The workshop brought together a group of jail administrators, researchers, and representatives from national organizations to discuss the challenges related to more-effective use of data in jails and to identify potential solutions to overcome these obstacles. This report provides the prioritized list of needs and accompanying context from the discussion that resulted from this effort.
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