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East European literature --- 20th century --- History and criticism --- Congresses --- 21st century --- Communism and literature --- Europe [Eastern ] --- Central European literature --- Balkan literature --- Post-communism --- Europe [Central ] --- Balkan Peninsula --- Russian literature
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Christianity --- Nationalism --- Ethnicity --- Christianisme --- Nationalisme --- Ethnicité --- History --- History. --- Histoire --- Europe, Central --- Europe centrale --- Religion. --- Religion --- Religion and sociology --- Ethnicité --- Religion and sociology - Europe, Central - History --- Christianity - Europe, Central - History --- Nationalism - Europe, Central - History --- Ethnicity - Europe, Central - History --- Europe, Central - Religion
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Issues d'un colloque organisé en 2013, ces contributions consacrées à Max Reinhardt examinent son influence sur la mise en scène théâtrale au XXe siècle. Elles mettent la gestion de l'espace au centre de l'oeuvre du metteur en scène pour aborder sa création au regard de la diversité des réalisations dans des lieux géographiques, culturels, artistiques et techniques multiples. ©Electre 2017 Pionnier des temps présents et à venir, Max Reinhardt (1873–1943) fait du théâtre le vecteur même de la modernité et de ses bouleversements de frontières. Il procède ainsi à des décloisonnements multiples et à une recherche constante de nouveaux espaces. À la mesure de cette proposition, par nature expérimentale, polymorphe et cosmopolite, le présent volume s’emploie à multiplier les circulations entre les disciplines et les territoires de la recherche. Par la rencontre des conservateurs d’archives et des chercheurs, par le dialogue des spécialistes avec les représentants des aires traversées, il devient possible de composer un atlas artistique et culturel de cette époque et de prendre la mesure de la postérité de Max Reinhardt jusqu’à nos jours. Als Pionier seiner Zeit und der Zukunft sieht Max Reinhardt (1873–1943) im Theater einen Träger der Moderne und ihrer vielfältigen Umwälzungen. Auf der Suche nach neuen Schaffensräumen unterzieht er die Bühne einem radikalen Entgrenzungsprozess. Gemäß dieser von Grund auf experimentellen, polymorphen und kosmopolitischen Geste basiert diese Publikation auf Zirkulationen zwischen den wissenschaftlichen Disziplinen und Territorien. Durch die Kollaboration der Archivare und der Forscher, durch den Dialog zwischen den Max Reinhardt-Spezialisten und den Vertretern der zahlreichen Wirkungsgebiete entsteht ein künstlerischer und kultureller Atlas von dieser Epoche und von Max Reinhardts Erbe bis heute.
Musical theater --- Theaters --- Théâtre musical --- Théâtres --- Production and direction --- Stage-setting and scenery --- Production et mise en scène --- Décors --- Reinhardt, Max --- Criticism and interpretation --- Reinhardt, Max, --- Criticism and interpretation.
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Octobre 1944, Auschwitz-Birkenau. Saul Ausländer est membre du Sonderkommando, ce groupe de prisonniers juifs isolé du reste du camp et forcé d’assister les nazis dans leur plan d’extermination. Il travaille dans l’un des crématoriums quand il découvre le cadavre d’un garçon dans les traits duquel il reconnaît son fils. Alors que le Sonderkommando prépare une révolte, il décide d’accomplir l’impossible: sauver le corps de l’enfant des flammes et lui offrir une véritable sépulture. Ce premier long métrage du cinéaste hongrois László Nemes, développé à la Résidence de la Cinéfondation au Festival de Cannes, Thierry Frémaux l’annonçait comme un film périlleux lors de la conférence de presse qui précédait le festival. Énième variation sur la Shoah, il augurait déjà un nouvel élan pour le festival, qui n’avait pas proposé de premier film depuis quelques années en Compétition Officielle. Le film n’a pas déclenché de réactions de rejet, mais le choc fut total malgré des applaudissements timides. Les festivaliers sont assurément sortis estomaqués, certainement trop étourdis pour l’acclamer davantage. Traitant un sujet à priori rebattu, et pourtant toujours nécessaire, Le Fils de Saul est d’une grande originalité dans son traitement. La caméra embarquée suit les pas de Saul, Sonderkommando au service de l’Allemagne nazie. Chargé de rassurer les déportés dans le sas de la chambre à gaz (promettant un thé après ce qu’ils pensaient être une douche) et de déblayer les corps (« objets » dans les bouches des Allemands) jusqu’aux fours crématoires, Saul survit grâce à ces gestes répétitifs et machinaux. Les Sonderkommandos, souvent décrits dans la littérature qui a suivi la fin de la Seconde Guerre mondiale et dans quelques récits autobiographiques (au cinéma on pense à Shoah de Claude Lanzmann); rares sont les films ayant traité avec autant de réalisme l’itinéraire de ces juifs agissant sous la contrainte des Allemands. Saul reconnaît dans les amas de corps défigurés un visage connu, celui de son fils. S’ensuit alors une course effrénée, avec comme ultime mission de dresser une sépulture décente pour le fruit de ses entrailles. Dans ce but, il lui faudra trouver un rabbin pour enterrer son enfant dans la tradition. Encerclé par les kapos et alors qu’éclate la seule révolte armée dans l’histoire du camp d’Auschwitz (qui a réellement eu lieu en 1944, alors que les troupes russes se rapprochaient de l’horreur), Saul, au risque de sa vie tente l’impossible. Les obstacles sont nombreux et sa foi est inébranlable. Notre personnage est au cœur de chaque plan-séquence, suivi sans discontinu par une caméra aimant. Face à une caméra pas vraiment subjective et encore moins objective, le spectateur devient Saul dans ce périple aux rebondissements incessants. Le réalisateur évite de peu le voyeurisme malsain qu’un tel projet aurait pu comporter, s’arrêtant à la distance nécessaire. Nous ne franchirons par exemple jamais la porte de la chambre à gaz et nous arrêterons avec Saul. De ces fragments de réalité, le spectateur devra reconstruire les bribes manquantes. La photographie désaturée (presque monochrome) et maîtrisée du chef opérateur Matyas Erdély participe à la réussite du film, au même titre que l’utilisation (étouffante) du format 1.37. La profondeur de champ est réduite à son minimum: aucun horizon ni lignes de fuites mais des visages marqués parcourent ce périple insoutenable. Saul poursuivra son but, du renoncement à la résistance, alors que ses congénères prennent les armes et tentent l’évasion. C’est finalement tout ce qui les raccroche à leur humanité, la lutte et les souvenirs, le geste ultime étant d’offrir au défunt une sépulture. Le Fils de Saul est assurément un film tendu et oppressant, on en ressort troublé mais conscient d’avoir assisté à un choc esthétique. Un film certes pas aimable mais qui nous laisse persuadés que nous tenons là l’étoffe d’un cinéaste à suivre, pour le meilleur, et comme ici, dans le pire.
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Catastrophe and Utopia studies the biographical trajectories, intellectual agendas, and major accomplishments of select Jewish intellectuals during the age of Nazism, and the partly simultaneous, partly subsequent period of incipient Stalinization. By focusing on the relatively underexplored region of Central and Eastern Europe – which was the primary centre of Jewish life prior to the Holocaust, served as the main setting of the Nazi genocide, but also had notable communities of survivors – the volume offers significant contributions to a European Jewish intellectual history of the twentieth century. Approaching specific historical experiences in their diverse local contexts, the twelve case studies explore how Jewish intellectuals responded to the unprecedented catastrophe, how they renegotiated their utopian commitments and how the complex relationship between the two evolved over time. They analyze proximate Jewish reactions to the most abysmal discontinuity represented by the Judeocide while also revealing more subtle lines of continuity in Jewish thinking. Ferenc Laczó is assistant professor in History at Maastricht University and Joachim von Puttkamer is professor of Eastern European History at Friedrich Schiller University Jena and director of the Imre Kertész Kolleg.
Holocaust, Jewish (1939-1945) --- Catastrophe, Jewish (1939-1945) --- Destruction of the Jews (1939-1945) --- Extermination, Jewish (1939-1945) --- Holocaust, Nazi --- Ḥurban (1939-1945) --- Ḥurbn (1939-1945) --- Jewish Catastrophe (1939-1945) --- Jewish Holocaust (1939-1945) --- Jews --- Nazi Holocaust --- Nazi persecution of Jews --- Shoʾah (1939-1945) --- Genocide --- World War, 1939-1945 --- Kindertransports (Rescue operations) --- History. --- Nazi persecution --- Persecutions --- Atrocities --- Jewish resistance --- Holocaust, Nazi (Jewish Holocaust) --- Nazi Holocaust (Jewish Holocaust) --- Nazi persecution (1939-1945) --- Jewish History, Jewish Intellectuals, Holocaust.
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La situation des juifs, partagés entre différentes identités nationales en formation en Europe centrale de la fin du xviiie siècle à la seconde guerre mondiale, est révélatrice des enjeux identitaires et politiques auxquels doivent faire face les minorités. La question de l’appartenance nationale se pose pour eux avec une acuité particulière, et ils apparaissent dès lors comme des individus au parcours à la fois singulier et paradigmatique. Les auteurs mettent en évidence à travers des chapitres consacrés à des personnalités emblématiques les mécanismes de la construction d’une identité personnelle dans un environnement complexe, qu’elle s’effectue dans la sphère privée ou publique, en passant par l’adhésion volontaire à une communauté, qu’elle soit culturelle ou politique. Les étapes de la construction d’identités apparaissent à travers des biographies qui s’inscrivent dans un vaste espace, depuis l’Europe centrale (Vienne, Prague, Budapest, Zagreb et Varsovie) jusqu’à Jérusalem et la Chine. Le parcours d’individualités juives permet de suivre l’émergence d’identités complexes, dans le contexte d’adoption d’autres cultures ou de réaffirmation d’un ancrage spécifiquement juif. À la fois chronologique et thématique, l’ouvrage analyse le lien entre écriture et identité, retrace la maturation de consciences politiques et met en évidence le rôle de Vienne, la grande métropole centre-européenne au cœur d’un vaste réseau d’échanges culturels. Ainsi apparaissent, sous un nouvel éclairage, des figures connues et méconnues de pédagogues, de rabbins, d’historiens, d’hommes et de femmes de lettres : Karl Kraus, Max Brod, Elias Canetti, mais aussi Veza Canetti, Klara Blum…
History --- Anthropology --- culture --- civilisation --- Europe centrale --- Judaïsme --- mondes germaniques --- mondes slaves
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