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Fruit de la collaboration de spécialistes de l'histoire de la Révolution française, cette étude interroge le rôle des comités de surveillance, institués par la loi du 21 mars 1793 et supprimés en partie à la fin de l'an II.
Legislative bodies --- Parlements --- History --- Histoire --- France --- Politics and government --- Politique et gouvernement
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Qu'y a-t-il de commun entre les guerres du Moyen Âge, celles de la Révolution et de l'Empire et les deux guerres mondiales qui ont ensanglanté le XXe siècle ? Tout semble les opposer, à commencer par l'ampleur du phénomène et les techniques utilisées. Pourtant, les guerres nécessitent toujours une mobilisation considérable pour approvisionner les armées tant en matériel qu'en produits alimentaires et les répercussions s'en font également sentir loin du champ de bataille. La douzaine de textes réunis ici présente, pour la France, des exemples originaux, caractéristiques d'une situation donnée, sur le terrain ou à l'arrière, et d'une période donnée, depuis les chevauchées médiévales jusqu'à la mobilisation industrielle sous l'Occupation, tout en variant l'échelle de l'analyse, du local au national. L'ensemble rend compte de l'évolution générale des problèmes et de la diversité des solutions. La confrontation des exemples proposés permet une lecture comparative de l'effort de guerre supporté par les populations, volontairement ou non, et des conséquences sur la vie des hommes, combattants et civils.
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L’heure est au transfert de responsabilités vers des collectivités territoriales plus vastes et beaucoup s’interrogent sur le bon échelon où régler les questions du vivre ensemble ; en donnant une perspective historique et européenne, cet ouvrage collectif concerne tous ceux qu’intéressent l’évolution de l’Europe, le devenir des communes et la place occupée par des villageois longtemps majoritaires. La réputation des communes rurales et de leurs administrations est paradoxale : elles sont volontiers considérées comme les lieux où s’exerce le plus directement la responsabilité citoyenne et pourtant souvent accusées d’incompétence ou ramenées à de dérisoires « clochemerles ». Par ailleurs, il est banal d’opposer schématiquement l’émiettement communal français aux autres situations européennes. De rares travaux ont entrepris de réévaluer l’importance de cet échelon villageois de l’état-Nation ; l’ouvrage propose une vraie et nouvelle exploration européenne du sujet. Il conjugue trois modes d’approche complémentaires : des éléments de comparaison des institutions villageoises et locales en Europe et de leurs évolutions à la fois étonnamment diverses et convergentes ; des outils et méthodes pour développer les recherches nouvelles sur le sujet ; des exemples d’enjeux, en matière de développement économique, de régulation sociale ou de finances par exemple, où le rôle effectif des communes et municipalités rurales mérite d’être sérieusement reconsidéré.
History of Europe --- anno 1700-1799 --- anno 1900-1909 --- anno 1800-1899 --- Village communities --- Villages --- Municipal government --- Communautés rurales --- Administration municipale --- History --- Histoire --- Gouvernance --- Governance --- Communauté rurale --- Rural communities --- Développement rural --- Rural development --- Droit agricole et rural --- Agricultural and rural legislation --- Sociologie rurale --- Rural sociology --- Économie rurale --- rural economics --- communes --- History. --- Europe --- France --- Communautés rurales --- Cities and towns --- City government --- Municipal administration --- Municipal reform --- Municipalities --- Urban politics --- Local government --- Metropolitan government --- Municipal corporations --- Hamlets (Villages) --- Village government --- Land tenure --- Political science --- Commons --- Communism --- Government --- mairie --- villageois --- collectivité territoriale --- administation --- république --- commune rurale --- clochemerle --- municipalité --- village --- administration
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En France, le CTHS est depuis 1834 expert dans la détermination de ce qui est ou non « savant », c’est-à-dire, dans l’esprit de François Guizot, ici présenté par Simone Mazauric, ce qui doit être fondé en raison et conduit par des méthodes indiscutables. Pourtant, on n’a pas attendu 1834 pour mettre sur le devant de la scène des « savants » reconnus comme tels de leur temps et se regroupant pour mieux appréhender des questions complexes. Si l’érudit peut être solitaire, le « savant » ne l’est jamais, car porté par un groupe d’amis, de collègues, de correspondants…, il répond à une requête sociale et travaille en réseau. Guizot a voulu s’appuyer sur les sociétés locales plutôt que sur les universités comme en Allemagne ; ce choix est révélateur d’une volonté de porter l’esprit scientifique partout dans les élites provinciales en s’appuyant sur des associations volontaires en plein essor au moment où il est au pouvoir. Pour Guizot en effet, il n’y a pas de savants sans réseaux scientifiques, sans groupes permanents ou non qui portent des questions et travaillent en émulation. Même si l’on sait que les Grecs les premiers ont su grouper les compétences, il n’est pas évident de décrypter qui appartient au cercle, au groupe d’amis, qui participe à la conversation et à l’élaboration en commun des solutions. Les historiens peuvent suivre ces réseaux dès lors qu’ils ont une documentation qui leur permet d’en cerner l’existence et d’en distinguer les participants : correspondances, échanges de manuscrits puis éditions, voire procès… Bien entendu, tout devient plus simple avec la multiplication de la documentation, c’est pourquoi la base de données collaborative du CTHS commence au XVIe siècle. Mais qu’est-ce qu’une science, qu’est-ce qu’un « savant », quels sont ses objets ? C’est cette interrogation qu’explorent tous les auteurs de ce volume.
History --- Communication --- science --- classe préparatoire --- érudit --- groupement de compétences --- base de données --- collaboration --- réseau scientifique --- histoire
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Qu'il s’agisse des biographies, des vastes enquêtes sur la vente des biens nationaux, sur l’émigration, sur la noblesse du Sud-Ouest, sur l’École royale militaire d’Effiat, sur les camps de Jalès – on en passe –, les travaux récents sur le deuxième ordre de la France d’Ancien Régime invitent à la fois à réinterroger son rapport à la Révolution et à l’Europe contemporaine des évènements français et à tenter une synthèse d’histoire sociopolitique. Les années 1770 voient se transformer une sociabilité nobiliaire construite autour des Lumières ou des anti-Lumières, marquée par la recherche d’une reconnaissance intellectuelle qui se traduit dans la fréquentation des salons ou l’accumulation des livres, des collections, décennie également parcourue par une réaction d’un ordre, très divers d’une province à l’autre, se repliant pour partie sur ses privilèges, notamment militaires, révisant ses terriers et ses droits féodaux. La fondation par Napoléon d’une noblesse impériale bouleverse un peu plus les rapports de ceux qui peuvent justifier depuis plusieurs générations de leur sang bleu au pouvoir et à la société issus de la Révolution. Le présent ouvrage décrit les différentes adaptations d’un ordre aboli en 1789 à la société nouvelle, essaie de comprendre les stratégies familiales à l’œuvre, les transferts politiques et culturels qui se jouent dans l’émigration puis, en sens inverse, lors du retour. L’analyse de ces mutations suppose bien évidemment de laisser aussi une place éminente à l’histoire des représentations, à la construction de stéréotypes.
History --- noblesse --- Révolution française --- contre-révolution --- Lumières --- aristocratie
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History --- nation --- France --- gouvernement --- Consulat --- Directoire --- Révolution française
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