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Fascinée par ce qu'elle considère comme des similarités troublantes entre les théories littéraires et les modèles scientifiques contemporains, et forte d'une double compétence dans ces deux domaines, N. Katherine Hayles étudie les convergences entre littérature, science et technologie. Plus précisément, ses recherches se sont orientées vers les nouveaux médias, et s'inscrivent pleinement dans le champ des (post)humanités numériques dont elle est l'une des théoriciennes américaines les plus influentes. Dans le présent essai, elle s'interroge sur la nécessité d'une pensée du code en tant qu'il structure notre vision du monde au même titre que la parole et l'écriture.
Langage --- Sémiologie de l'image --- Langage de programmation --- Communication --- Perception
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Subjectivités numériques et posthumain s'inscrit dans le sillage de l'ouvrage PostHumains : frontières, évolutions, hybridités publié dans la collection " Interférences " des presses universitaires de Rennes. Ce recueil était davantage consacré aux mutations, évolutions et hybridations du corps dans un devenir posthumain. Ce livre propose d'explorer l'imaginaire associé à l'émergence d'une subjectivité numérique dans la période contemporaine de l'hyperconnectivité et du développement de l'intelligence artificielle. Tout comme dans la perspective d'une corporéité posthumaine, un esprit qui ne serait plus ancré à un corps organique suscite de nombreuses réflexions et mises en fiction. L'approche proposée dans ce livre est par ailleurs fondamentalement interdisciplinaire car les questionnements relatifs aux devenirs de l'humain et à la définition de son identité que déclenche le posthumain sont universels
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Ce recueil explore les « (r)apports textuels » envisagés comme une érotique de l'écriture, tout autant que de la lecture, au fil des textes de grands écrivains de langue anglaise pour la plupart, de la Renaissance à nos jours, en passant par les précurseurs du postmodernisme américain. La problématique intertextuelle adoptée ici vise avant tout à permettre au chercheur-lecteur de poursuivre ses explorations sans pour autant tomber dans les poncifs d'un simple repérage statique, et s'attache à évaluer, de façon parfois critique, une tradition Épistémologique élaborée dans les années soixante-dix et abondamment utilisée de nos jours.
Literature (General) --- intertextualité --- littérature de langue anglaise --- épistémologie
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« Liberté » : concept exaltant et souvent exalté dont l'évidence semble absolue mais qui se décline différemment selon les cultures nationales ou selon que le locuteur est historien, juriste, philosophe ou homme de la rue. Revendiquée par toutes les civilisations occidentales, l'idée de liberté se révèle protéiforme à l'infini mais contingente, modelée par l'époque et les circonstances, et souvent limitée par ses incertitudes. Si on peut vouloir mourir pour la liberté, on sait rarement quel est son visage. 2Notre pratique d'anglicistes ou d'américanistes nous rend particulièrement sensibles à ce hiatus qui s'établit entre l'apparent consensus de nos civilisations sur la liberté comme valeur suprême et les réalités qu'elles ont placées derrière ce terme. C'est la raison de ce colloque où s'engage une réflexion qui permet de percevoir les béances et les certitudes obsédantes de l'idée de liberté dans nos cultures française, anglaise, américaine, de même qu'elle nous en fait analyser les tâtonnements et les bifurcations.
Philosophy --- History --- liberté --- informatique --- liberté d'expression --- Révolution française
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L’Allusion et L’Accès follows on from work previously published in GRAAT, in particular Usure et Rupture – Breaking Points (GRAAT 13) and Fonctions du Cliché – Du Banal à la Violence (GRAAT 16). The present conference aimed to articulate the strategies that the literary text deploys to access the unsayable, whilst, simultaneously, keeping in mind the notion of play contained in the etymology of allusion: alludere. Allusion and Access, then, are two vast subjects put into juxtaposition and perspective. Allusion sets up various mechanisms of expression by Indirection while Access gives some sort of Direction although one might not know to where the direction is leading. To Allude means to say something by other means. What is that otherness which one chooses to name by substitution? What is the fundamental otherness to which access leads us, when one is dealing with meaning and is left with language as the only tool? Allusion will be understood as metaphoric play. The receiver is expected to know what the game is all about. As Pizzorusso has well said: «La notion d’allusion demande, ou demanderait, une vaste enquête : le mot, l’idée, la pratique de l’allusion.» Access meanwhile means “to reach” in terms of a path, a progress, implying a hermeneutic search. L’Allusion et L’Accès fait suite à des travaux déjà publiés dans GRAAT, notamment Usure et Rupture - Breaking Points (GRAAT 13) et Fonctions du Cliché - Du Banal à la Violence (GRAAT 16). La présente conférence visait à articuler les stratégies que le texte littéraire déploie pour accéder à l’indicible, tout en gardant à l’esprit la notion de jeu contenue dans l’étymologie de l’allusion : alludere. Allusion et Accès sont donc deux vastes sujets mis en juxtaposition et en perspective. L’allusion met en place divers mécanismes d’expression par l’Indirection tandis que l’Accès donne une sorte de Direction bien que l’on puisse ne pas savoir vers où la direction mène. Faire allusion signifie dire quelque chose par…
Literature (General) --- allusion --- esthétique --- lecture --- esthétique de la réception
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Du gothique au fantastique le plus postmoderne, de la fiction spéculative aux dystopies, l'imaginaire des futurs possibles de l'humanité permet d'explorer les frontières de l'humain. Depuis Foucault et son visage de sable, de nombreux philosophes et sociologues ont constaté une fragilisation de l'humain et son possible effacement dans un monde où la nature même du réel est remise en question. Au cours des dernières décennies, de nombreux textes sont venus complexifier la réflexion en la mettant en regard d'une posthumanité. Se repose alors la question de la définition de l'humain, qui semble désormais se penser par une absence, par ce qu'il n'est pas ou ne sera plus. Par ailleurs, le pouvoir du virtuel sur le réel marque de nombreux artistes qui ont recours à l'imaginaire pour illustrer une société de l'image et du simulacre. La résistance des corps – individuels et collectifs – s'inscrit alors dans une réflexion politique et philosophique sur une persistance possible de l'humain. Cet ouvrage explore les modes de représentation de l'humain à l'aube du posthumain. Même si les confrontations entre homme organique et êtres artificiels remontent au début du XIXe siècle, c'est surtout l'après Seconde Guerre mondiale, alors qu'apparaît la possibilité d'une mort globale de l'humanité, qui est ici privilégiée, aussi bien dans la philosophie que les arts textuels et visuels. Les progrès technologiques n'ont pas cessé depuis et se sont ouverts au vivant, avec l'apparition des biotechnologies : les automates ont ainsi cédé la place aux cyborgs, aux clones et aux intelligences artificielles.
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