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Enseignement primaire --- Enseignement des sciences --- Méthodologie scolaire --- Activité scolaire --- Apprentissage --- Stratégie cognitive --- Représentation mentale
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L’élève doit pouvoir recourir à des automatismes afin de concentrer son attention sur l’objectif à atteindre. Pour ce faire, la compétence « construire des tables d’addition et de multiplication, en comprenant leur structure, et les restituer de mémoire » doit être certifiée à la fin de la sixième année primaire. Le décret (2001, Ministère de la Communauté française, moniteur belge, 19 janvier 2001) définissant les compétences des futurs enseignants stipule, par ailleurs, que ceux-ci doivent « maitriser les savoirs disciplinaires » et disposer d’une « connaissance approfondie de toutes les matières que leur titre les autorise à enseigner ». Des constats issus de recherches scientifiques montrent cependant, que les futurs enseignants présentent certaines connaissances insuffisantes par rapport à divers contenus pédagogiques à enseigner. La littérature scientifique parle de conceptions erronées qui déforceraient l’enseignement dispensé par l’enseignant. Certains auteurs, au demeurant, soulignent que les conceptions, une fois identifiées, peuvent évoluer. L’objectif principal de ce mémoire est de récolter les conceptions des futurs enseignants en dernière année de formation sur les obstacles à la mémorisation des tables de multiplication. Plus précisément, c’est au travers d’un questionnaire construit sur la base de dimensions extraites de la littérature scientifique s’intéressant aux tables de multiplication et à la mémorisation que nous explorerons les conceptions et connaissances des futurs enseignants afin de les mettre en regard de la théorie.
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Ce mémoire, à visée compréhensive, s'inscrit dans la recherche en classe dans le but de développer des régulations dans nos pratiques pour favoriser les apprentissages de nos élèves. Régente en langues germaniques de formation, nous donnons, entre autres, cours dans une classe de première année du secondaire selon une méthode d'apprentissage de l'anglais basée sur les « intelligences multiples » (Gardner, 2011). L'objectif principal de ce programme vise, au terme du premier degré du secondaire, l’acquisition des bases de la langue anglaise tout en travaillant les intelligences décrites dans les travaux de Gardner (2011). Cette pédagogie met notamment les élèves en mouvement et leur permet de travailler régulièrement en équipes et en duos. Elle est en place dans notre établissement scolaire depuis quatre années et depuis ses débuts jusqu’à l’heure actuelle, elle semble passionner et motiver les élèves qui s’y inscrivent ainsi que les quatre enseignants, dont nous faisons partie, qui y donnent cours. Soucieuse de dépasser cette impression et d’analyser notre pratique plus scientifiquement, nous souhaitons mesurer l’évolution des performances orales et de la motivation à apprendre l’anglais chez nos élèves après une année scolaire. Par ailleurs, nous désirons découvrir quelles caractéristiques de la méthode mise en place nous pourrions renforcer au bénéfice de la motivation et de l’expression orale. Pour ce faire, nous avons implémenté différents outils. Premièrement, nous avons rédigé un questionnaire destiné à mesurer la motivation de nos élèves à apprendre l'anglais. Ensuite, nous avons utilisé notre cahier de cotes qui atteste, notamment, des performances des élèves en expression orale. Simultanément, nous avons eu recours à des grilles de codage lors des activités d'expression orale consistant, pour les élèves, à décrire des illustrations. Enfin, nous avons également fourni un carnet d’apprentissage aux élèves dans lequel ils ont eu la possibilité de verbaliser ce qu'ils avaient appris et ce qui les avait motivés lors des cours d'anglais de la semaine.
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Ce travail de recherche a pour but principal de recueillir et comparer les perceptions d’instituteurs, d’enseignants d’éducation physique et d’élèves de sixième année primaire sur ce que sont le "bon" instituteur et le "bon" enseignant d’éducation physique. La première partie de ce travail apporte des renseignements théoriques concernant la motivation et l’évaluation. Au travers de ces deux dimensions, nous avons relevé différentes caractéristiques présentées comme efficaces dans la littérature de recherche, étant donné qu’elles sont reliées à des éléments motivationnels positifs et à de meilleures performances. Dans la deuxième partie de notre recherche, nous abordons l’aspect pratique, présenté en deux sous-parties. En premier lieu, nous décrivons la méthodologie. Elle est composée, notamment, de la description de notre échantillon (208 élèves de sixième année primaire venant de 10 classes différentes et leurs instituteurs et enseignants d’éducation physique respectifs), ainsi que des questionnaires créés pour recueillir les perceptions des élèves et des enseignants. Ces questionnaires sont élaborés d’après l’étude de Galand et Philippot (2002 et 2005) pour les items concernant l’aspect motivationnel, et de celle d’Issaieva et Crahay (2010) pour les items concernant l’aspect évaluatif. En second lieu, nous présentons l’analyse des résultats et vérifions les hypothèses émises concernant nos différents acteurs. Finalement, nous discutons et commentons les résultats obtenus, en présumant qu’ils sont appropriés à ce que pensent nos acteurs, tout en comparant leurs perceptions vis-à-vis de ces deux enseignants.
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Résumé De tous temps les Hommes se sont interrogés à propos des connaissances, de leur construction et leur justification. D’Aristote à Piaget en passant par Descartes et bien d’autres, les Hommes ont toujours été en quête de savoir. Avec Dewey ou Claparède, le rapport au savoir a dépassé le champ de la philosophie et de la psychologie pour gagner celui des Sciences de l’Education. C’est dans ce contexte que l’épistémologie personnelle a été investie par de nombreux chercheurs tels King, Kitchener, Schommer, Vosniadou,… L’étude de l’épistémologie personnelle a pour objectif de comprendre le processus d’acquisition des connaissances en fonction des croyances intuitives. Beaucoup de questions relatives aux mécanismes utilisés par les enfants pour construire leurs théories naïves restent encore en suspens. Mieux cerner ces mécanismes pourrait permettre au pédagogue de penser son intervention didactique en termes de franchissement de ces représentations pour aboutir au concept savant. Le but de notre expérimentation était d’amener des éléments de réponse à la question : « Quelles idées les élèves se font-ils sur la manière dont les Hommes construisent les connaissances scientifiques telles celles concernant l’astronomie ? » auprès d’élèves âgés de 10-12 ans issus de l’enseignement officiel subventionné de la commune de Waimes. Nous avions également pour ambition de proposer des séquences didactiques en éveil scientifique qui permettraient de faire évoluer leurs conceptions. Nous avons opté pour une méthodologie qualitative basée sur des entretiens de type piagitien pour récolter des informations sur les croyances des élèves. La présentation des conceptions de ces élèves montre qu’une majorité a élaboré un système explicatif relatif à l’astronomie, mais que celui-ci relève plus de la fantaisie que de la pertinence. Partant de ce constat, nous prônons vivement l’application dans les classes de dispositifs pédagogiques favorisant l’explicitation de la mise en mots de la construction des concepts savants par les enfants au départ de leurs représentations, dans l’optique de faciliter le changement conceptuel. Nous pensons que de tels dispositifs pourraient constituer des leviers à la métacognition, l’autorégulation et la motivation.
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Cette recherche a eu pour but de créer des scénarios pédagogiques intégrant l'utilisation de tablettes tactiles pour des activités destinées à des élèves de sixième primaire issus de familles favorisées d'une région rurale. A l'aide d'outils créés pour déceler l'éventuelle fracture numérique au sein de la classe, nous avons réalisé des activités adaptées et des instruments capables d'évaluer si les productions des élèves supportées par la technologie étaient de meilleure qualité et d'estimer l'impact de celle-ci sur la motivation des enfants. Après analyse des résultats et prise en compte de différents biais, nous pouvons conseiller aux futurs enseignants en formation dans les Hautes Ecoles de tenter la même expérience.
Enseignement primaire --- Pédagogie --- Ecologie -- Etude et enseignement --- Ordinateurs de poche --- Technologie éducative --- Education et informatique --- Enseignement assisté par ordinateur --- Matériel didactique --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Education & enseignement
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L’objectif principal de ce mémoire est de comprendre le lien existant chez les enseignants du primaire entre leur sentiment d’efficacité pour le cours de sciences et leurs pratiques pédagogiques dans cette discipline. Le présent travail consiste à mener une analyse qualitative auprès de six enseignants à propos desquels nous disposions déjà de quelques informations, recueillies par analyse quantitative en 2014 par Meyer. Pour ce faire, six entretiens semi-directifs ont été menés avec des enseignants du primaire. Ces entretiens ont permis de récolter un lot de renseignements relatifs aux antécédents des enseignants, à leur développement professionnel, à leur sentiment d’efficacité, à leur vision épistémologique des sciences, à l’organisation générale de leur cours ainsi qu’à leurs pratiques pédagogiques. Par la suite, quatre d’entre eux ont été observés dans leur classe durant l’intégralité d’une leçon de sciences. Nos investigations se sont focalisées sur leurs pratiques pédagogiques des enseignants afin de déterminer si celles-ci pouvaient, au vu de la littérature scientifique, être considérées comme efficaces ou non. Les résultats de nos recherches sont présentés sous forme d’« études de cas » réalisées à partir des entretiens et observations précités. Lors de ceux-ci, une mise en perspective des différents profils a systématiquement été effectuée afin de permettre la comparaison. Enfin, une analyse croisée a été réalisée afin d’identifier les similitudes et divergences entre les deux appareillages de manière à cerner davantage le lien existant entre le sentiment d’efficacité des enseignants et leurs pratiques pédagogiques. Par la suite, nos résultats ont été discutés et analysés au regard de la littérature et en référence aux hypothèses émises à partir de notre question de recherche. Enfin, notre conclusion présente la synthèse du travail de recherche mené et expose, en outre, d’autres perspectives.
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La littérature scientifique traitant de la conciliation entre sport de haut niveau et études secondaires mentionne fréquemment des facteurs qui favorisent la performance scolaire et d’autres qui favorisent la performance sportive. Par contre, le lien et l’influence réciproque entre ces différents facteurs liés à deux domaines différents (scolaire et sportif) ont plus rarement été étudiés. Y a-t-il dès lors moyen de quantifier cette influence réciproque ? A cette fin, nous proposons un modèle découlant d’apports théoriques qui montre l’influence de variables scolaires sur la performance scolaire et de variables sportives sur la performance sportive (spécifiquement, en judo) mais également de variables scolaires sur les variables sportives (et réciproquement) ainsi que de variables scolaires/sportives sur la performance réalisée dans le domaine opposé à la variable en question. L’objectif général de cette étude est de mieux comprendre les relations existant entre le domaine scolaire et le domaine sportif d’un étudiant sportif, tout en vérifiant l’influence d’un domaine sur l’autre et vice-versa. De plus, deux objectifs exploratoires sont formulés : vérifier le modèle proposé et vérifier l’impact d’informations démographiques sur la performance scolaire et la performance sportive. Les résultats obtenus, après les analyses statistiques réalisées (descriptives, de corrélation et de régression), vont en grande partie dans le sens du modèle proposé. La plupart des hypothèses formulées initialement et découlant du modèle proposé s’avèrent dès lors correctes. Nous apportons ainsi des preuves quantifiables d’influences réciproques entre les domaines scolaire et sportif. Les effets positifs engendrés dans l’un des deux domaines ayant à leur tour des répercussions positives (directement ou indirectement) sur l’autre domaine et principalement, sur la performance réalisée dans ce domaine. L’étudiant sportif entrerait ainsi dans une sorte de « cercle vertueux ».
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