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ULiège (5)


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dissertation (5)


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French (5)


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Dissertation
Etude et mise en service du détecteur Delta⁴ pour l'assurance qualité IMRT
Authors: ---
Year: 2012 Publisher: [S.l.] : [chez l'auteur],

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Abstract

Keywords


Dissertation
Caractérisation d'un faisceau de photons en utilisant l'imagerie portale Elekta (Iview) et le logiciel Epibeam
Authors: --- --- --- ---
Year: 2020 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

Dans le cadre de la radiothérapie, cette recherche a pour objectif de caractériser un faisceau de photons émanant d'un accélérateur linéaire de particules. Le détecteur utilisé est du type EPID. L'objet de ce mémoire est donc d'établir un programme informatique en langage python afin de comparer une image mesurée et une image de référence. De plus, une alerte est visible par l'utilisateur si une valeur n'est pas dans les tolérances imposées.


Dissertation
Évaluation du Machine Learning pour la planification de traitement dans RayStation
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2021 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

L’objectif de ce mémoire est de faire une évaluation de la qualité des plans de traitement
VMAT optimisés avec l’intelligence artificielle notamment le Machine Learning/Deep Learning
par rapport aux plans classiques dans RayStation pour une intégration en routine clinique.
La qualité des plans a été évaluée en terme de conformation au PTV et de la protection de
tissus sains grâce aux indices de conformité et d’homogénéité. La complexité des plans pour les
deux modalités de planification est examinée à partir de la précision du calcul de dose à l’aide
de la métrique LOIC et de la délivrabilité du traitement par la machine grâce à la métrique
MCSv. Les plans sont répartis en trois groupes selon la prescription. L’analyse statistique des
plans est effectué avec le test signé de Wilcoxon.
La conformation au PTV est presque équivalente pour les deux modalités de planification
du groupe 1 (20 x 300 cGy) avec pour valeur moyenne 0,84 et non significative. Par contre,
la planification automatisée est plus conforme que la planification manuelle pour le groupe 2
(25 x 263 cGy). Les valeurs obtenues sont respectivement 0,839 +/- 0,066 et 0,826 +/- 0,033. Le plan automatisé est aussi plus conforme dans le groupe 3 (25 x 275 cGy). Par ailleurs, ces
plans sont plus homogènes que les plans classiques pour les trois groupes. La valeur du MCSv
est en moyenne plus faible pour les plans automatisés et le LOIC est en moyenne plus élevé
par rapport à la valeur du plan original. Ceci montre que les plans optimisés avec Machine
Learning sont plus modulés, induisant une augmentation des unités moniteurs. Les mesures
réalisées avec l’ArcCHECK ont permis de déterminer l’indice. Les résultats du groupe 1 ont
revélé que les différences n’étaient pas statistiquement significatives pour le critère 3%/3mm
mais significatives pour le critère 3%/2mm. Par contre, pour le groupe 2, le test de Wilcoxon a
démontré que la différence de valeur moyenne était statistiquement significative pour le critère
3%/3mm et non significative pour le critère 3%/2mm.
L’introduction de la planification automatisée en routine clinique est favorable puisqu’on
obtient une meilleure conformation et une meilleure homogénéité de la dose au PTV bien que les
métriques donnent des valeurs moins bonnes mais restent acceptables. Néanmoins, les mesures avec l’ArcCHECK montrent que la machine n’aura aucune difficulté à délivrer le traitement. De plus, la durée pour réaliser un plan de traitement acceptable avec ML reste très inférieure à la durée pour un plan optimisé manuellement.


Dissertation
Evaluation de la planification robuste pour prendre en compte le gonflement du sein en IMRT et en VMAT
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2022 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

Introduction et but : Lors du traitement du cancer du sein par le biais de la radiothérapie, les rayons peuvent induire un gonflement du sein. Ce gonflement est parfois non négligeable et doit être pris en compte lors de la planification du traitement afin de garantir que l’entièreté du sein reçoive la dose prescrite. Ce travail a pour but de déterminer comment les techniques inverses peuvent tenir compte de ce gonflement grâce à la planification robuste et si cette planification a des conséquences sur la dosimétrie.
Matériels et méthodes : Pour 23 patientes ayant des prescriptions identiques, une quantification du gonflement du sein a été faite grâce aux CBCT. Puis, pour chacune de ces patientes, 5 plans ont été réalisés dans Raystation. Il s’agit des plans 3D-CRT, IMRT, IMRT robuste, VMAT et VMAT robuste. Les plans robustes sont obtenus grâce à un CT déformé où un gonflement a été simulé pour chaque patiente. L’évaluation des différentes techniques a été faite sur le CT de simulation, le CT déformé et le CBCT ayant la déformation la plus importante.
Résultats : Les plans robustes couvrent aussi bien le PTV que les plans 3D-CRT ou que leur homologue non robuste. Cependant, il y a une légère perte de couverture entre les plans VMAT robustes et non robustes. L’homogénéité et la conformité pour les plans robustes sont moins bonnes que pour les techniques non robustes. En ce qui concerne les doses délivrées aux organes à risque, il n’y a pas de différence entre les techniques robustes et non robustes. Les résultats sur le CT déformé et sur le CBCT montrent que les plans robustes maintiennent la couverture lors d’un gonflement du sein contrairement aux techniques sans plan robuste.
Conclusions : En conclusion, lors de la planification avec une technique inverse, l’utilisation d’un plan robuste est à envisager pour maintenir la couverture lors du gonflement du sein. Ce type de planification est utilisée lorsque l’anatomie de la patiente rend la planification compliquée et l’utilisation d’un plan robuste permet de rendre ces plans d’autant plus résistants face à cette incertitude anatomique.


Dissertation
Mémoire
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2024 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

Le présent travail concerne le traitement des Cancers Pulmonaires Non à Petites Cellules
(CPNPC) par Radiothérapie Corporelle Stéréotaxique (RCS), appelée communément par sa version anglophone Stereotactic Body Radiation Therapy (SBRT). Il s’agit d’une technique de traitement destinée à des lésions extracraniennes au cours de laquelle de fortes doses de rayonnements ionisants (entre 6 et 30 Gy) sont administrées en un nombre réduit de fractions
(maximum 5). Elle s’oppose aux traitements conventionnels dont le principe est d’administrer la dose totale par petites doses de 2 Gy en un nombre élevé de séances. Au CHU de Liège, les SBRT pulmonaires sont actuellement réalisées sur le CyberKnife, une machine dédiée à la stéréotaxie qui permet d’effectuer du tracking respiratoire (technique qui consiste à suivre la tumeur durant l’irradiation malgré les mouvements induits par la respiration). Pour certains patients, ce tracking n’est cependant pas réalisable. L’idée serait alors de les traiter sur un
accélérateur linéaire (ou LINear ACcelerator (LINAC)) de la firme Elekta utilisé pour les traitements traditionnels. Pour traiter des lésions pulmonaires en radiothérapie conventionnelle, des plans de traitement en VMAT (pour Volumetric Modulated Arc Therapy) sont réalisés en utilisant le concept de PTV (pour Planning Target Volume) et optimisés avec
une méthode standard. Le projet ici est de planifier les traitements stéréotaxiques des lésions pulmonaires en utilisant la méthode VMAT basée sur le concept de GTV (pour Gross Target Volume) et de les optimiser avec une méthode robuste. L’objectif est d’analyser les intérêts potentiels qu’offre cette méthode d’optimisation robuste couplée au concept de GTV par rapport à la méthode de planification conventionnelle utilisée en routine pour les traitements des lésions pulmonaires non stéréotaxiques.

Le travail essentiel de ce mémoire consiste à créer deux plans de traitement pour chacun des 24 patients sélectionnés : un plan réalisé en VMAT en utilisant le concept de PTV et optimisé de manière classique et un plan réalisé en VMAT en utilisant le concept de GTV et optimisé de manière robuste. Les deux types de plans sont comparés à trois niveaux : leur complexité (via la métrique MCSv), leur robustesse et le résultat de différentes grandeurs dosimétriques (le nombre total d’UM délivré par fraction, le volume irradié, la dose reçue par le poumon qui contient la lésion). Ces comparaisons sont évaluées statistiquement grâce au test de Wilcoxon.

Sur base des résultats obtenus, même si son élaboration demande plus de temps, il est possible d’affirmer que la planification robuste sur le GTV apporte des avantages par rapport à la planification classique sur le PTV : pour une robustesse équivalente et une toxicité similaire, elle permet d’obtenir des plans significativement moins complexes, moins modulés, nécessitant moins d’UM et permettant un temps de traitement plus rapide.

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