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Dissertation
VAN ECONOMISCHE NAAR RECHTVAARDIGE PARTNERSCHAPSAKKOORDEN DE ECONOMISCHE PARTNERSCHAPSAKKOORDEN VANUIT HET GLOBAL JUSTICE PERSPECTIEF
Authors: ---
Year: 2021

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Abstract

Keywords


Book
A retrospective study of luteal phase support exclusively by a continuous Low-Dose GnRH Agonist in ART treatment
Authors: --- --- ---
Year: 2017 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

BACKGROUN D ln IVF cycles, an iatrogenic luteal phase deficiency is observed. To counter its harmful effects, a proper luteal phase support (LPS) has to be provided. Classically, progesterone would be used for this purpose. However, in antagonist protocols, another option should be considered: the use of only a GnRH agonist to support the luteal phase. The aim of this dissertation is to evaluate the efficacy of an exclusive use of Buserelin for LPS and to seek out possible negative effects on the infants born with this protocol. METHODS This is a retrospective study. A database was established, consisting of information on every transfer executed in Cliniques Universitaires Saint-Luc (CUSL) from 2010 up to 2013 in which patients only received intranasal buserelin for luteal phase support ( here after called BP or Buserelin Population). This information has been analyzed and compared with that of the Global Population (GP) and/or Non Buserelin Population (NBP) of patients in the Saint-Luc database undergoing an IVF/ICSl-treatment with a fresh embryo transfer in the corresponding years. RESULTS ln the BP, 481 transfers was executed of which 158 resulted in pregnancy and 113 infants were born, including 9 pairs of twins. A comparison of patient demographics of both groups, shows that women of the BP are significantly eider (35.2 ± 0.5 vs. 34.4 ± 0.15) and have a higher range (2.96 ± 0.16 vs. 1.45 ± 0.022) than those of the GP. A tendency towards higher early pregnancy rates was observed (31.0% in BP vs. 26.2% in NBP), but this was net statistically significant. Eleven ectopie pregnancies occurred in the BP, which is significantly (P < 0.01) more than in the NBP (7.0% in BP vs. 2.6% in NBP). Women presenting early pregnancy failure were generally more advanced in age; no other common patient characteristics were detected. Miner malformations were observed in 2 infants, which represents a total of l.77% of the children and is net higher than in the global population. Considering the low number of subjects included in this study, conclusions should be drawn with caution. By use of the Poisson distribution, a confidence interval was established (with a confidence level o f 95%) situating the true number of malformations between 0.32% and 5.7% when only Buserelin is used for LPS.CONCLUSION When only intranasal Buserelin was used to support the luteal phase, a tendency towards more early pregnancy failure and a significantly higher number of ectopic pregnancies were observed. No increased occurrence of malformations was found. OBJECTIF Dans les cycles de FIV, une insuffisance iatrogène de la phase lutéale est observée. Pour contrer ses effets délétères, un bon support de la phase lutéale doit être fourni. Classiquement, ceci est réalisé par de la progestérone. Par contre, dans les protocoles antagonistes, une autre option doit être considérée: l'utilisation d'un GnRH agoniste seul pour renforcer la phase lutéale. Le but de ce mémoire est d'évaluer l'efficacité de l'utilisation de Busereline dans cette optique et de rechercher d'éventuels effets négatifs sur les enfants nés dans le cadre de ce protocole. METHODES Il s'agit d'une étude rétrospective. Une base de données a été constituée, reprenant des informations sur chaque transfert effectué aux Cliniques Universitaires Saint-Luc (CUSL) de 2010 à 2013 inclus, où les patientes n'ont reçu que le Busereline intranasal seul pour renforcer la phase lutéale (BP : Buserelin Population). Ces données ont été analysées et comparées avec celles de la population générale (GP) et/ou de la population non busereline (NBP) des CUSL subissant un traitement par FIV/ICSI avec un transfert d'embryons frais dans les années correspondantes. RESULTATS Dans la BP, 481 transferts sont documentés, dont 158 ont mené à une grossesse et 113 enfants sont nés, parmi lesquels 9 paires de jumeaux. Une comparaison des caractéristiques démographiques des patientes des deux groupes démontre que les femmes de la BP sont considérablement plus âgées (35,2 ± 0,5 vs. 34,4 ± 0,15) et présentent un rang plus élevé(2,96 ± 0,16 vs. 1,45 ± 0,022) que celles de la GP. Une tendance vers plus d'échecs de grossesse précoces a été observée (31,0% pour la BP vs. 26,2% pour la NBP), mais ceci n'était pas statistiquement significatif. Onze grossesses extra -utérines ont été rapportées, ce qui est significativement plus (P < 0,01) que dans la NBP (7,0% dans la BP vs. 2,6% dans la NBP). Les patientes présentant un échec de grossesse précoce étaient généralement plus âgées ; aucune autre caractéristique commune aux patientes n'a pu être mise en évidence. Des malformations mineures ont été observées chez 2 enfants, ce qui représente 1,77% des nouveau-nés et n'est pas plus élevé que dans la population globale. Vu le petit nombre de sujets inclus dans cette étude, ces conclusions doivent être tirées avec prudence. Un intervalle de confiance (avec un niveau de confiance de 95%) a été établi avec l'utilisation de la distribution de Poisson. Celui-ci situe l'incidence réelle de malformations entre 0,32% et 5,7% quand le Busereline seul est employé pour renforcer la phase lutéale.


Book
Étude rétrospective du jour de transfert des embryons en décongélation sur les taux de grossesse lors de fécondation in vitro aux Cliniques universitaires Saint-Luc
Authors: --- ---
Year: 2017 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

Study’s objective :This study realized in this CMT raises the following question : transfer a frozen and thaw embryo in D3 the thawing day or transfer a frozen and thaw embryo in D4, namely the day after the thawing, does it show a significant difference on pregnancy rate? Type of study: Retrospective study. Literature review: Regarding our subject, three articles have been published: Velva and al., 2013 & Guo and al., 2013 & Wong and al., 2014. None of them could highlight an independent effect of an overnight cultivation on live birth rate at the time of frozen-thawed embryo transfer. Equipment and methods: The database is composed of 477 patients who have undergone at least one frozen-thawed embryo transfer cycle during the 2013 year at University Clinics of Saint-Luc. All in all, the analysis will focus on 669 thawing cycles. The database was made possible due to the computer program Pluritech and the files-papers review. The statistical analyses were realized using SAS software. Main results: In a transfer in D3, the pregnancy rate per transfer is 25%. While during the transfer in D4, the pregnancy rate per transfer is 30,2%. However, the independence test has been realized and it demonstrates with an added value of 2: 0.05 that the pregnancy probability is not dependent on the day of transfer D3 or D4 variable. Moreover, the transfer day does not influence in a statistically significant manner the type of pregnancy obtained. Discussion :At this time, the selection of the embryos is based solely on their morphological characteristics. However, several non-invasive methods of embryo selection are currently in progress: time-lapse monitoring -proteomics -metabolomics. The freezing method (vitrification versus slow freezing) and the preparation of endometrium protocol are also two parameters to take into account to improve chances of success of a frozen-thawed embryo transfer. Objectif de l’étude : L'étude réalisée dans ce MRC soulève la question suivante : transférer un embryon congelé et décongelé en J3 le jour de décongélation ou transférer un embryon congelé et décongelé en J3 mais transférer en J4 c'est-à-dire le lendemain de la décongélation, présente-il une différence significative sur les taux de grossesse ? Type d’étude : Etude rétrospective. Concernant notre sujet, trois articles ont été publiés sur ce sujet : Veleva et al. 2013 & Guo et al. 2013 & Wong et al., 2014. Aucun d'entre eux n'a pu mettre en évidence d'effet indépendant d'une nuit de culture supplémentaire sur le taux de naissance vivante lors de transfert d'embryons décongelés. La base de données est composée de 477 patientes ayant subi au moins un cycle de transfert d'embryons décongelés durant l'année 2013 aux Cliniques universitaires Saint-Luc. Au total, l'analyse portera sur 669 cycles de décongélation. La base de données a pu être réalisée grâce au programme informatique Pluritech et la revue des dossiers-papiers. Les analyses statistiques ont été réalisées à l'aide du programme SAS. Résultats principaux : Lors d'un transfert en J3, le taux de grossesse par transfert est de 25%. Alors que lors d'un transfert en J4, le taux de grossesse par transfert est de 30.2 %. Cependant, le test d'indépendance a été réalisé et il démontre, avec une p-value :'.: 0.05 que la probabilité de grossesse n'est pas dépendante de la variable jour de transfert J3 ou J4. Le jour de transfert n'influence pas non plus le type de grossesse obtenue. Actuellement, la sélection des embryons est basée uniquementsur les caractéristiques morphologiques de ceux-ci. Pourtant, plusieurs méthodes non-invasives de sélection embryonnaire sont en plein développement : l'imagerie « time lapse » - l'analyse protéomique - l'analyse métabolomique. La méthode de congélation (vitrification versus congélation lente) ainsi que le protocole de préparation de l'endomètre sont également deux autres paramètres à prendre en compte pour optimiser les chances de réussite d'un transfert d’embryons décongelés.


Book
Cryopréservation d'embryons à long terme pour des patientes atteintes d'un cancer
Authors: --- --- ---
Year: 2014 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

The number of cancers diagnosed in premenopausal women is stitl on the increase. Anticancer therapies, mainly chemotherapy using alkylating agents (especialty cyclophosphamide), are unfortunately taxie for ovarian function, with a high risk of ovarian failure and premature menopause. To preserve fertili ty in cancer patients, different options are available: embryo cryopreservation, ovarian cortex cryopreservation, oocyte cryopreservation and ovarian transposition. Embryo cryopreservation results from ovarian stimulation and oocyte retrieval, fotlowed by in vitro fertilization.The aim of our study was to investigate all cancer patients who underwent embryo cryopreservation in our hospital. We analyzed the pregnancy rate of this population and evaluated the success of the technique in terms of fertility preservation.In a normal population, 9-10 oocytes and 6 embryos can be obtained per cycle, and a pregnancy rate of 30% after transfer of thawed embryos.From September 1999 to June 2013, 50 patients (mean age 28.8 years) underwent ovarian stimulation to cryopreserve embryos just before or during chemotherapy. In total, 65 IVF attempts fotlowed by cryopreservation were carried out in 46 patients. The mean number of collected oocytes was 9.85, the fertilization rate of oocytes was 0.52 and the mean number of cryopreserved embryos was 3.5. Eight patients retumed to undergo 9 cycles of thawing, yielding an embryo utilization rate of 17.39%.Four patients conceived, resulting in 3 live births and 1 miscarriage. Four women were unable to get pregnant and one suffering from a borderline ovarian tumor underwent 3 stimulation cycles to freeze as many embryos as possible before bilateral ovariectomy. During the third cycle, she conceived after fresh transfer of embryos. The percentage of live births per thawing cycle was 30%. In June 2013, 34 patients still had embryos left in our bank. Seven had their embryos destroyed because of advanced age or death. Among patients with cryopreserved embryos, 27 also had cryopreserved ovarian cortex.According to Garrido et al. (2011), a mean number of 8.2 embryos is required to obtain a live birth in a normal population. In our study, only 10 of the 50 women had 8 or more embryos for storage.Cancer patients often do not have enough time to amass 8 embryos because they can only undergo one stimulation cycle before starting chemotherapy, which should be initiated as soon as possible. With this in mind, it is clearly more prudent to combine two fertility preservation techniques. As Dolmans et al. reported in 2014, cryopreservation of ovarian cortex should be combined with embryo cryopreservation to maximize the fertility potential of cancer patients. Le nombre de diagnostics de cancer posés chez la femme préménopausée est en nette augmentation depuis ces dernières années. Les traitements anti-cancéreux, surtout la chimiothérapie par les agents alkylants (et en particulier le cyclophosphamide), sont hautement délétères pour la fonction ovarienne, avec un risque d'insuffisance ovarienne et de ménopause précoce. Afin de préserver la fertilité des patientes cancéreuses, plusieurs options sont possibles : la cryopréservation d'embryons, la cryopréservation de cortex ovarien, la cryopréservation d'ovocytes (matures et immatures) et la transposition ovarienne. La cryopréservation d'embryons résulte d'une stimulation ovarienne suivie d'une ponction d'ovocytes et d'une fécondation in vitro (FlV).Le but de cette étude est de recenser les patientes cancéreuses qui ont bénéficié d'une congélation d'embryons dans notre service afin d'analyser les taux de grossesses dans cette population-là , ainsi que d'évaluer le succès de la technique en terme de restauration de la fertilité. En fécondation in vitro dans une population générale, 9 à 10 ovocytes et 6 embryons sont obtenus en moyenne par cycle, et des taux de grossesse de 30 % sont obtenus après transfert d'embryons décongelés.De septembre 1999 à juin 2013, 50 patientes ont eu recours à des cycles de stimulation ovarienne et de FIV suivie de la congélation de leurs embryons, ju ste avant ou pendant leur traitement par chimiothérapie. L'âge des patientes au moment de la ponction des ovocytes variait entre 17 et 41 ans (moyenne : 28.8 ans). Au total, 65 tentatives de FIV suivies de congélation ont été réalisées chez 46 patientes. La moyenne du nombre d'ovocytes collectés par cycle est de 9.85, le taux d'ovocytes fertilisés est de 0.52 et la moyenne d'embryons congelés est de 3.5 par cycle. Huit patientes sont revenues pour 9 cycles de décongélation d'embryon, le pourcentage d'utilisation des embryons est de 17.39 %.Quatre patientes ont présenté une grossesse, 3 ont accouché, 1 a fait une fausse couche. Quatre patientes n'ont pas présenté de grossesse et 1 patiente atteinte d'une tumeur borderline de l'ovaire (BOT) a effectué 3 cycles de stimulation afin de congeler un maximum d'embryons avant l'ovariectomie prévue. Au 3e cycle, elle a bénéficié d'un transfert d'embryons frais et a été enceinte. Le pourcentage de naissances par cycle de décongélation est de 30%. En juin 2013, 34 patientes ont encore des embryons dans la banque. Sept patientes n'ont plus d'embryons congelés car détruits, à cause d'un décès ou d'un âge avancé. De plus, parmi les patientes qui ont congelé des embryons à long terme, 27 ont eu recours, de façon combinée, à une cryopréservation de tissu ovarien.Selon Garrido et al. (2011), afin d'obtenir un nouveau-né au sein d'une population saine, une moyenne de 8.2 embryons doivent être transférés. Au sein de notre population cancéreuse, seules 10 patientes sur 50 ont pu congeler plus de 8 embryons.Bien souvent, les patientes cancéreuses n'ont pas le temps d'accumuler ces 8 embryons, sachant qu'en moyenne elles ne savent réaliser qu'un cycle de stimulation ovarienne avant de commencer la chimiothérapie. Compte tenu de cela, ne serait-il pas judicieux de combi ner 2 techniques de préservation de la fertilité ? Comme l'ont étudié Dolmans et al. en 2014, la cryopréservation de tissu ovarien peut être combinée à la cryopréservation d'embryons.

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