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The purpose of this paper is to compare the evolution of a patrimony in the event of the rental or purchase of a real estate property in Wallonia on the assumption that the difference in cash flows between the two scenarios will be invested in financial investments. The cash flows relating to the two situations will be explained in the first part. Among these flows, we can find, among others, rents, mortgage loan repayment, registration fees / VAT, tax deductions, ... The evolution of property prices will then be approached, first with a look back at the last few decades in order to understand the various factors that influence property prices. Then with a look to the future to try to predict the future evolution of the real estate market. Various financial products will be covered, such as real estate investment funds or Exchange Traded Funds, which aim to replicate stock market indices. The potential returns and risks associated with these funds will then be discussed. Finally, a practical case study will be carried out on the basis of the theoretical data previously collected. The purpose of this case study is to simulate the evolution of assets for a household that is wondering whether to buy or rent a home. Different situations will be evaluated : - rental versus cash purchase; - rental versus purchase with an 80% loan-to-value ratio; - rental versus purchase with a 100% loan-to-value ratio.
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Analyse de l'impact du télétravail au travers du spectre des risques psychosociaux: ANALYSE AU SEIN DU SECTEUR BANCAIRE
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Depuis des siècles, les institutions bancaires jouent un rôle crucial et central dans l’économie mondiale, des premières formes de commerce et des premiers échanges économiques, jusqu’aux banques que nous connaissons aujourd’hui. Celles-ci offrent à présent une gamme de services étendue, tels que la gestion des dépôts, l’octroi de crédits, des solutions d’investissement, et la gestion quotidienne des transactions. Aujourd’hui, il est indispensable de disposer d’un compte bancaire : pour percevoir un salaire, les allocations sociales, effectuer des paiements, payer ses factures... Le monde bancaire étant extrêmement concurrentiel, les différentes institutions doivent sans cesse se réinventer pour garder une réelle valeur ajoutée aux yeux de leurs clients, et éviter que ceux-ci ne se tournent vers leurs rivales. Cette crainte est d’autant accentuée par la facilité dont nous disposons aujourd’hui pour le transfert d’une banque vers une autre. Dans un environnement économique en perpétuelle mutation, les banques sont confrontées à toute une série de défis et de contraintes. L’apparition des nouvelles technologies a notamment mené à une transformation radicale du service bancaire, bouleversant la manière dont les institutions opèrent et interagissent avec les consommateurs. Les nouveaux acteurs, liés à cette évolution technologique, sont eux aussi une menace pour le secteur financier. Parmi ceux-ci, nous retrouvons les Fintechs, les cryptomonnaies ou encore les banques digitales. En conséquence, le consommateur a drastiquement changé ses habitudes et comportements, il cherche des services de plus en plus rapides, pratiques et qui peuvent être effectués à distance. Ce changement accentue la difficulté des banques classiques à parvenir à satisfaire tout le monde, et les pousse à repenser leurs offres et à améliorer leurs services. Ce travail a pour ambition de retracer les différents moyens stratégiques mis en place par les institutions financières au cours des dernières décennies, d’analyser les défis auxquels elles ont fait face et font encore face aujourd’hui, et d’en tirer des suppositions et recommandations pour l’avenir. Il s’articulera en trois grandes parties. Une première partie théorique réalisée à partir de l’analyse de revues scientifiques, une seconde partie pratique, et une dernière partie de conclusion qui nous permettra d’analyser et tirer des conclusions à partir de la seconde partie. Dans la première partie, nous définirons la notion de banque, en passant par son évolution et son modèle économique. Nous poserons ensuite le terme de « stratégie » et le lierons plus particulièrement au milieu bancaire. Enfin, nous déterminerons ce qu’est un milieu concurrentiel, en retraçant l’histoire de la concurrence bancaire, en posant le contexte actuel et en présentant les nouveaux acteurs entrant sur le marché. Dans la seconde partie, nous lierons tous les concepts étudiés lors de la première partie avec différents outils étudiés dans notre cursus universitaire. Nous poserons Belfius comme institution financière de référence, et retracerons son histoire. Nous commencerons par procéder à un diagnostic stratégique complet, passant par la détermination du cadre conceptuel, l’analyse de l’environnement externe, et enfin l’analyse interne de l’entreprise. Ensuite, nous analyserons les différentes stratégies de développement, plus particulièrement au niveau de la diversification des sources de revenus des banques, de la digitalisation et de la segmentation de la clientèle. Nous étudierons enfin les réponses récoltées aux différents entretiens réalisés avec des personnes disposant d’une place stratégique au sein de Belfius et récolterons quelques expériences de clients de différentes banques, et lierons ces réponses avec l’étude pratique réalisée précédemment. Dans la dernière partie, nous résumerons et clôturerons en tentant d’établir des recommandations pour l’avenir. Quelles sont les stratégies de développement mises en place par les différentes institutions bancaires et les perspectives d’évolution de celles-ci dans le milieu concurrentiel actuel ? Comment les agences bancaires identifient-elles et ciblent-elles des niches de marché spécifiques pour personnaliser leurs services et attirer des segments de clients particuliers ? En quoi la diversification des produits et services permet-elle aux agences bancaires de se différencier dans un environnement concurrentiel ? Comment intégrer les nouvelles technologies pour développer les opérations et fournir des services innovants en maintenant un avantage concurrentiel ? Le monde actuel étant en constante évolution, ce travail ne peut qu’apporter sa pierre à l’édifice dans le questionnement du développement stratégique des banques.
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La crise financière des subprimes a causé des dommages sans précédent à l’économie mondiale depuis La Grande Dépression dans les années 30. Débutée aux États-Unis, la crise s’est propagée en Europe et a obligé de multiples états à venir au secours des banques pour protéger l’économie Suite à la crise, nombreuses analystes économiques ont souligné les lacunes de la régulation financière. Les régulateurs financiers ont failli dans la surveillance du risque systémique et dans le maintien de la stabilité financière globale. L'approche globale du risque systémique est née et une nouvelle forme de politique économique a ainsi vu le jour : la politique macroprudentielle. Elle vise à surveiller les différents risques systémiques et préserver la stabilité financière. Elle utilise des instruments parfois permanents, parfois temporaires, qu’elle calibre en fonction de la menace. Les accords bancaires de Bâle III visent à permettre aux autorités bancaires d’anticiper le risque systémique en fixant des exigences de fonds propres supplémentaires aux institutions bancaires. A côté de ces accords, les autorités nationales et internationales ont également mis en place un nouveau cadre de prévention du risque systémique. En Europe, un nouveau système de surveillance et de régulation existe désormais et il est en plein développement. En Belgique, la Banque Nationale de Belgique, compétente en la matière belge, applique la politique macroprudentielle fixée par le gouvernement. Ce document explique ce qu'est la politique macroprudentielle. Quels sont ses objectifs, dans quel cadre s’inscrit-elle en Europe et aux États-Unis ? Quels instruments peut-elle utiliser ?
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At the beginning of the 21st century, the members of the United Nations Organisation established a range of objectives to achieve for sustainable development. Among those goals, the first one was dedicated to the poverty eradication. Around the same period, began the digital revolution and new technologies such as FinTech started to become very popular. It was so famous that some people asked themselves if innovation could perhaps be the key to reduce poverty around the world. Could we use FinTech as a new tool for sustainable development ? The topic being relatively large, we focused on determining if FinTech could go further than microfinance to help changing the world? Microfinance is a sub-department of the financial sector that aims to offer services to unbanked individuals. It includes savings, microcredit loans and insurances with the purpose of reducing poverty. For our analysis, we put the focus on microcredit. On that matter, literature shows several key points that contribute to bypassing financial exclusion: geographical and cultural proximity, progressive loans, culture of perception, suitable processes, warrants and appropriate products. But even if those tools help fighting against poverty, some issues remain unsolved: there is still a lot of unbanked people, informal loans remain a reality and transaction costs are still very high. Then, we analyzed some examples of FinTech applications offering loan services such as MoKash, Musoni and M-Shwari. Those companies have shown that technology can help reaching populations in underdeveloped countries. Thanks to a basic mobile phone, it is now possible for the farmer living in a remote rural area to borrow money to create new business opportunities. Mobile operators allow that technology to thrive by offering simple, convenient, easy to access services to people that lack means to reach traditional bank services. Can FinTech fit in microcredit’s shoes ? Are products like MoKash, Musoni and M-Shwari able to contribute in solving poverty ? There are indeed some benefits to the usage of FinTech technologies. They seem to reach more isolated individuals, at reduced transaction costs, and offer a large range of products that are easier to understand. They also suit to the client cash- flow and are a lot faster than microfinance institutions, capable of signing new loans in only a few seconds. But technology also shows some weaknesses about regulation, financial stability and protection of the users’ data. Those flaws must be solved by innovation in order to insure sustainable development.
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Private equity (PE) financing, an alternative to bank financing, contributes to a country's economic growth by financially and strategically supporting the development of companies that are too small or unsuitable to raise capital on the public capital markets. A leveraged buyout (LBO) is the acquisition of majority control of a company, usually by a PE company, using a small amount of equity and a significant amount of external debt financing. The literature review focuses on post-LBO changes in operational performance as well as agency and strategic entrepreneurship theories. The problem leads to research questions, the first being whether the companies targeted by PE-financed LBOs improve their operating performance, profitability, growth and financial leverage after the buyout. The second question examines how different types of transactions affect post-buyout performance. The third question examines how differences in PE firms' experience and intensity of involvement affect performance, and whether they affect it differently depending on the type of transaction. From a corporate finance perspective, the empirical part employs a regression model and addresses the research questions using a sample of manually collected data covering 58 LBOs of PE-financed firms in Belgium during the period 2011-2015, compared to 251 control firms. It analyses the impact of PE and transaction specificities on the post-buyout changes of the companies targeted by the LBOs. First, the findings highlight that the LBOs in the sample do not improve either the profitability or the operational performance of the companies. On the other hand, they generate significant economic growth in terms of headcount (+10.4%), capital employed (+43.0%) and financial leverage (+19.5%). Second, the results underline that secondary buyouts provide a remarkable economic boost to company growth in all the dimensions analysed. Third, the results show that experience improves operational performance, but that the contributions of PE companies differ significantly depending on the types of operations and associated strategies pursued. Le financement de private equity (PE), une alternative au financement bancaire, contribue à la croissance économique d’un pays en soutenant financièrement et stratégiquement le développement d’entreprises trop petites ou inadaptées pour lever des capitaux sur les marchés financiers publics. Un leveraged buyout (LBO) est l’acquisition du contrôle majoritaire d'une entreprise, généralement par une société de PE, en utilisant une faible part de capitaux propres et une part importante de financement par emprunt externe. La revue de littérature se concentre sur les changements post-LBO de performance opérationnelle ainsi que sur les théories de l’agence et de l'entrepreneuriat stratégique. La problématique aboutit à des questions de recherche, la première étant les entreprises visées par des LBOs financés par PE améliorent-elles leur performance opérationnelle, leur rentabilité, leur croissance et leur levier financier après le rachat ? La deuxième question examine comment les différents types de transactions affectent la performance après le rachat. La troisième question étudie comment les différences des sociétés de PE en expérience et en intensité d’implication affectent la performance, et si elles l’influencent différemment selon le type de transaction. Sous l’angle de la finance d’entreprise, la partie empirique emploie un modèle de régressions et aborde les questions de recherche à l'aide d'un échantillon de données collectées manuellement couvrant 58 LBOs d’entreprises financées par PE en Belgique durant la période 2011-2015, comparées à 251 entreprises de contrôle. Elle analyse l’incidence du PE et des spécificités des transactions sur les changements post-buyout des entreprises visées par les LBOs. Premièrement, les conclusions mettent en évidence que les LBOs de l’échantillon n’améliorent ni la rentabilité, ni la performance opérationnelle des entreprises. En revanche, ils génèrent une croissance économique significative en termes d’effectifs (+10,4%), de capital employé (+43,0%) et de levier financier (+19,5%). Deuxièmement, les résultats soulignent que les secondary buyouts donnent une impulsion économique remarquable à la croissance des entreprises dans toutes les dimensions analysées. Troisièmement, les résultats montrent que l'expérience améliore la performance opérationnelle, mais que les contributions des sociétés de PE diffèrent sensiblement en fonction des types d'opérations et des stratégies associées poursuivies.
private equity --- leveraged buyout --- operating performance --- profitability --- growth --- Belgium --- financial leverage --- LBO --- company --- private equity --- leveraged buyout --- performance opérationnelle --- rentabilité --- croissance --- levier financier --- Belgique --- LBO --- entreprise --- Sciences économiques & de gestion > Finance
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Les différentes sources de financement du secteur des maisons de repos en lien avec l'étude de cas du redressement financier d'un établissement flamand.
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Smart beta exchange-traded funds (ETFs) are increasingly popular investment products among institutional investors. These ETFs can be categorized into different styles depending on the systematic risk factors to which they provide exposure. Hence, the question arises whether certain topics within the news coverage of specific styles influence the investment decision and thereby fund flows towards respective smart beta ETFs. This thesis focuses on partially answering this question by identifying the major topics in investment style news and their importance measured by their frequency of occurrence. Based on a review of topic models, which are machine learning methods to discover topics in large collections of documents, latent Dirichlet allocation (LDA) is selected to identify the topics in investment style news. Moreover, the most extensive literature survey of LDA in finance (to the best of our knowledge) is compiled in order to optimally apply this method. Subsequently, the major topics in a unique corpus, which has never before been investigated by topic models (to the best of our knowledge), are identified by LDA. This corpus consists of 1720 articles related to small-cap investing from 9 magazines targeting institutional investors. The 5 major topics are "equity market (economy)", "analyst research, trading and banking", "retirement planing", "indexes, ETFs and performance" and "fund management and fund launches". These topics either persist, disappear or specialize when the number of topics to identify is increased. Dominant topics of individual magazines correspond to those proposed by the corpus specialist and the short descriptions of the magazines. The dominant topic over time is "fund management and fund launches", which follows a seasonal trend characterized by lower coverage at the end of the year and higher coverage in January, thus suggesting that changes of fund management and fund launches preferentially occur at the beginning of the year. Since the topic proportions of each article are identified, the correlation between the importance of topics over time and corresponding fund flows can be studied in future research.
style investing --- news coverage --- topic modeling --- latent Dirichlet allocation --- Sciences économiques & de gestion > Finance
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Le blanchiment de capitaux, plus communément appelé « le recyclage d’argent sale », existe depuis la nuit des temps. À en croire les chiffres publiés par la CTIF, ce phénomène est en constante évolution. C’est pourquoi des mesures de lutte contre cette infraction ont dû être pensées afin de protéger l’économie. C’est en 2017 que la législation anti-blanchiment a été renforcée soumettant de nombreuses entités, notamment les établissements bancaires, à des obligations légales. Le 2 février 2020, un phénomène inattendu a bouleversé l’économie : la crise de la Covid-19. Cette crise sanitaire a eu des répercussions considérables tant pour la santé et la liberté de la population que pour l’économie. Il en découle une économie fragilisée offrant aux criminels de nouvelles opportunités de fraudes. Une question essentielle a, par conséquent, été soulevée : « Quel est l’impact de la crise sanitaire sur les dispositifs de lutte contre le blanchiment de capitaux adoptés par les établissements bancaires établis en Belgique ? ».
Blanchiment de capitaux --- Covid-19 --- Sciences économiques & de gestion > Finance
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