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La Restauration marque la paradoxale résurrection du rituel de l’entrée royale cérémonie spectaculaire qui met en scène le pouvoir représenté par le souverain, et témoigne de sa mainmise symbolique sur le territoire dont sa propre personne incarne l’unité politique. Jusqu’aux débuts de la Troisième République, cette traditionnelle cérémonie du pouvoir connaît maints réinvestissements symptomatiques. Parallèlement, en ce siècle des révolutions, l’historiographie, la littérature, l’iconographie manifestent un intérêt tout particulier pour l’entrée royale ; en effet, ce dispositif complexe offre un modèle particulièrement efficace lorsqu’on s’interroge sur les modes de production de la légitimité politique. L’entrée royale, à la fois événement et récit, acte et paroles, construit une fiction du pouvoir : elle constitue un excellent point d’optique pour analyser le fonctionnement symbolique des fêtes de souveraineté, les logiques rhétoriques et stratégiques qui la fondent, enfin ses conditions d’efficacité et ses possibilités d’adaptation - toutes questions essentielles en un siècle qui travaille à une refondation symbolique prenant acte des effets de la Révolution.
Literature (General) --- littérature --- pouvoir --- entrée royale --- politique --- symbolisme --- history --- politics --- nineteenth century --- symbolism --- ceremony
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Royal visitors --- Rites and ceremonies --- Entrées solennelles --- Rites et cérémonies --- Byzantine Empire --- Orient --- Empire byzantin --- Civilization --- Civilisation --- Entrées solennelles --- Rites et cérémonies --- Ceremonial entries --- Entrees (Ceremonies) --- Entries (Ceremonies) --- Royal entries --- State entries --- Visits of state --- History --- Entrées (cérémonies) --- Antiquité
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Archaeology --- Learning and scholarship --- Archéologie --- Savoir et érudition --- History --- Histoire
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La pluralité des langues est une réalité qui existe dans de nombreuses sociétés, et qui s’exprime de façon particulièrement forte lorsque des cultures différentes entrent en contact. Les mondes antiques recèlent toutes sortes de situations de bilinguisme ou de multilinguisme, provoquées en particulier par les mouvements grecs dans toute la Méditerranée – en Égypte, en Italie, en France, en Espagne – puis par la diffusion du latin dans l’ensemble des provinces de l’Empire romain.Ce volume réunit des articles préparés à la suite d’un programme de recherche de la MSH de Montpellier et d’un colloque qui s’est déroulé en novembre 2015. De la Méditerranée orientale à l’Occident, sont abordées les langues et les écritures égyptiennes, phéniciennes, grecques, gauloises, ibériques et latines. Les situations politiques et économiques des différentes régions étudiées – Égypte, Grèce, Afrique, Italie, Gaule, Espagne – sont très distinctes, et les multiples exemples présentés permettent de montrer comment à travers les prismes du multilinguisme et de l’onomastique, on peut percevoir et définir les influences mutuelles des communautés en contact. The plurality of languages is a reality that has left its mark on many societies, and which is expressed particularly strongly when different cultures come into contact. Situations of bilingualism or multilingualism are very common in the ancient worlds, provoked in particular by the Greek movements throughout the Mediterranean – in Egypt, Italy, France, Spain – and later by the spread of Latin throughout the provinces of the Roman Empire.This volume brings together articles prepared following a research program of the MSH of Montpellier and a congress held in November 2015. From the Eastern Mediterranean to the West, those papers discuss Egyptian, Phoenician, Greek, Gaulish, Iberian and Latin languages and scripts. The political and economic situations of the different regions studied here – Egypt, Greece, Africa, Italy, Gaul, Spain – are very distinct, and the numerous examples presented show how, through the prisms of multilingualism and onomastics, we can perceive and define the mutual influences of communities in contact.
Multilingualism --- Greek language --- Latin language --- Classical languages --- History. --- Mediterranean Region --- Languages.
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La peur est indissociable de notre manière d’expérimenter le monde, et elle détermine notre manière de voir. Processus à la fois cognitif et opérateur de choix décisionnels soumis aux normes sociales en vigueur, la peur n’est pourtant ni sémantiquement définie ni linguistiquement formée. Elle a besoin d’un complément qui l’ancre dans l’expérience : peur des dieux ou de Dieu, du pouvoir, de l’autre, de la guerre, de la mort, etc. L’ouvrage étudie les manières de nommer la peur, de la verbaliser, de la comprendre, de l’interpréter ; les manières de la somatiser, de la rêver, de la mettre en gestes, de la visualiser dans l’art et de la matérialiser dans des objets. À travers l’étude de la peur, de ses mécanismes mais aussi de ses usages sociaux et politiques, c’est toute une histoire des émotions qui est ici esquissée au sein des mondes de langue grecque, de l’Antiquité au xixe siècle. C’est aussi une histoire des sociétés concernées car, à travers la peur, se joue leur rapport au divin, aux autorités, aux ennemis, aux proches, aux étrangers et aux compatriotes, à soi-même enfin.
Peur -- Grèce --- Actes de congrès --- History --- histoire de la peur --- histoire des religions --- émotions --- archéologie --- anthropologie
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