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Dissertation
Développement morphosyntaxique complexe : comprendre et évaluer les acquisitions syntaxiques tardives chez l'enfant tout-venant et chez l'enfant présentant des troubles sévères d'acquisition du langage

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Abstract


Book
Mise en place d'une épreuve d'évaluation de la mémoire procédurale en modalité verbale et visuelle chez des sujets dysphasiques et chez des sujets contrôles
Authors: --- --- ---
Year: 2008 Publisher: Louvain-la-Neuve: UCL,

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Abstract

Keywords


Dissertation
Une analyse basée sur l’usage des erreurs grammaticales produites par les enfants dysphasiques : étude de corpus langagiers spontanés
Authors: --- --- ---
Year: 2013 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

Ce mémoire s’intéresse aux difficultés morphosyntaxiques des enfants dysphasiques. La particularité de ce travail est de tenter d’expliquer ces difficultés par la théorie basée sur l’usage (Bybee, 1995), qui jusque là a été très peu appliquée à la pathologie langagière (Skipp, Windfuhr, & Conti-Ramsden, 2002 ; Riches, Faragher, & Conti-Ramsden, 2006). La littérature scientifique révèle chez les enfants dysphasiques une plus grande dépendance à l’input (Riches et al., 2006) et un manque de variabilité des formes grammaticales (Jones & Conti-Ramsden, 1997 ; Skipp et al., 2002). Nous avons postulé trois hypothèses : premièrement, en raison d’un manque de généralisation, les enfants dysphasiques emploieraient davantage des formes figées et des schémas de construction fréquents dans l’input. Deuxièmement, les enfants dysphasiques omettraient plus fréquemment des éléments syntaxiques amenant de la variabilité. Troisièmement, les enfants dysphasiques feraient moins d’erreurs de surgénéralisation que les enfants plus jeunes de même âge linguistique. Afin de tester nos hypothèses, nous avons étudié le langage spontané de six enfants dysphasiques de 5 à 9 ans et de six enfants contrôles de 4 à 6 ans. Les interactions ont été analysées à l’aide du programme CLAN. Les résultats indiquent que les enfants dysphasiques n’emploient pas significativement plus de formes fréquentes que leurs pairs tout-venant. L’étude des erreurs d’omission ne dévoile pas de différence significative entre nos deux groupes. Enfin, notre analyse des erreurs de surgénéralisation n’a pas montré de différence significative entre les enfants dysphasiques et tout-venant. Nos résultats ne confortent donc pas la théorie basée sur l’usage, mais nous ne la remettons pas en cause, puisqu’elle a déjà été confortée par d’autres études auprès d’enfants plus jeunes. Les erreurs que nous avons relevées peuvent s’expliquer par les théories constructivistes. Cependant, les erreurs des enfants dysphasiques et tout-venant diffèrent peu, ce qui semble indiquer une trajectoire développementale semblable.


Dissertation
Etude de la production de marqueurs de complexité morphologique (formes verbales) chez des enfants dysphasiques
Authors: --- --- ---
Year: 2013 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

La morphosyntaxe se trouve particulièrement perturbée chez les enfants dysphasiques. D'après l'approche cognitivo-fonctionnelle, courant théorique auquel se rattache notre étude, les enfants construisent leur langage progressivement et graduellement à l'aide d'un processus d'abstraction. Chez les enfants dysphasiques, ce processus d'abstraction serait limité. Aussi, ils produiraient des formes linguistiques plus lexicalisées, plus fréquentes et présenteraient plus de difficultés au niveau de la morphologie verbale complexe que les enfants tout-venant. Afin de vérifier ces hypothèses et ainsi d'examiner la production de marqueurs de morphologie verbale chez des enfants dysphasiques, nous avons comparé les performances en morphologie verbale complexe de 15 enfants dysphasiques et de 15 enfants tout-venant à travers différentes situations de génération de langage. Chaque enfant a été filmé lors des quatre situations de génération de langage. Notre hypothèse principale est que les enfants dysphasiques présentent moins de complexité dans leurs formes verbales que les enfants avec un développement typique du langage. Après avoir transcrit les différents enregistrements vidéos, nous avons réalisé des commandes dans le programme CLAN afin d'analyser plusieurs formes verbales. Les analyses statistiques ont ensuite permis de mettre en évidence un ensemble d'effets, significatifs ou non. Les résultats obtenus au niveau de la morphologie verbale complexe se révèlent mitigés. Certains se rapprochent d'études précédentes tandis que d'autres divergent totalement. Dans nos situations de génération de langage, les difficultés principales des enfants se situeraient au niveau de la production de la flexion du passé. Toutefois, nous ne sommes pas parvenus à confirmer les dires de la TUC selon lesquels les enfants dysphasiques présenteraient une variabilité de leur production limitée. A travers notre étude, nous avons également démontré que le type de tâche utilisée pourrait influencer la production des marqueurs de morphologie verbale.


Dissertation
Etude de l’apprentissage de mots nouveaux chez des enfants dysphasiques
Authors: --- --- ---
Year: 2013 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

La dysphasie est un trouble primaire du langage, dans les sphères expressive ou expressive et réceptive. De nombreux auteurs ont établi des difficultés à l’apprentissage de nouveaux mots chez les enfants dysphasiques. Notre volonté ici est d’évaluer l’hypothèse d’une limitation dans l’apprentissage d’éléments rares en manipulant la fréquence d’expositions des items à retenir. Pour cela, une tâche expérimentale a été conçue, dans laquelle nous faisons varier la fréquence lexicale de six non-mots (haute fréquence lexicale vs basse fréquence lexicale). Nous testons cet apprentissage à long terme, soit une semaine après la passation initiale de la tâche, afin d’évaluer la rétention de l’apprentissage. Les performances des enfants ont été mesurées en réception, par une tâche de désignation et en production, par une tâche de dénomination. Ainsi, dans les deux versants, nous nous attendions à des performances significativement inférieures de la part des enfants dysphasiques pour les items fréquents et encore plus pour les items rares en comparaison avec celles des enfants contrôles. Les résultats obtenus nous permettent d’attester de la limitation dans l’apprentissage d’éléments rares chez les enfants dysphasiques en production uniquement, validant en partie notre hypothèse. En effet, ce même constat n’a pas lieu pour le versant réceptif. Quant à la rétention, les résultats indiquent que nous ne pouvons corroborer l’hypothèse concernée et ainsi conclure à une moins bonne rétention de l’apprentissage à long terme.


Dissertation
Etude de l'apprentissage de structures syntaxiques complexes chez l'enfant dysphasique
Authors: --- --- ---
Year: 2014 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

De nombreuses recherches démontrent une altération de la morphosyntaxe dans la dysphasie,mais très peu se s'intéressent à la morphosyntaxe complexe,pourtant elle aussi touchée dans ce trouble.Ces études révèlent que les enfants dysphasiques ont des difficultés à produire des propositions relatives.Ensuite,des études ont montré l'impact positif d'une méthode de priming syntaxique sur la génération de structures syntaxiques chez des enfants et des adultes avec ou sans troubles du langage.Et si le priming pouvait faciliter la production syntaxique des enfants dysphasiques?Certains auteurs vont dans ce sens, et c'est ce que nous avons voulu évaluer dans notre étude avec des structures relatives enchâssées lors d'une tâche de production morphosyntaxique.Nous avons contrôlé plusieurs facteurs connus pour leur influence sur l'apprentissage du langage:la fréquence lexicale des mots,la fréquence des présentations,la variabilité entre les énoncés ainsi que l'espacement des présentations et enfin le niveau socio-économique,à travers le niveau d'éducation des mères des participants.Notre hypothèse suppose que les enfants dysphasiques auraient des difficultés à générer des structures complexes,mais que le priming syntaxique en faciliterait la production et ce de façon plus importante que chez leurs pairs tout-venant.Or,bien que les résultats dévoilent un effet positif du priming sur la production d'énoncés,ceux-ci ne permettent pas de corroborer entièrement notre hypothèse.En effet,les enfants dysphasiques ne semblent pas manifester plus de difficultés à produire des propositions relatives en «que» que des propositions relatives en «qui».De plus,même s'ils ont de moins bonnes performances que les enfants tout-venant concernant la structure relative en «que»,les enfants dysphasiques ont des résultats comparables à ces derniers lors de la production de la structure relative en «qui».Cependant,un pattern d'erreurs spécifique aux enfants dysphasiques est mis en évidence,indiquant que la génération de ce type de structure représenterait pour eux un défi particulièrement important.Enfin,les deux groupes d'enfants bénéficient du priming de façon équivalente.Lorsque nous nous attachons à comprendre ces résultats,plusieurs explications peuvent être trouvées telles que des différences méthodologiques,l'âge des enfants dysphasiques et leur prise en charge logopédique.


Dissertation
Apprentissage implicite et consolidation d'une information séquentielle chez des enfants dysphasiques
Authors: --- --- ---
Year: 2014 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

L'origine des déficits observés chez les enfants dysphasiques est un sujet suscitant de nombreuses recherches. A ce jour aucun consensus n'a abouti. Notre étude propose d'évaluer l'hypothèse selon laquelle un déficit de l'apprentissage procédural (Ullman et Pierpont, 2005) serait à l'origine des troubles linguistiques et non linguistiques chez les enfants dysphasiques. Plus spécifiquement, notre étude vise à observer les capacités d'apprentissage, de consolidation et de maintien à long terme d'une information séquentielle, ainsi que le lien avec le développement d'habiletés langagières. Afin d'éprouver l'hypothèse d'un déficit procédural et de tester les capacités de détection de régularités, puis de consolidation de l'information apprise chez les enfants dysphasiques, nous avons utilisé une tâche de temps de réaction sériel, qui est le paradigme le plus souvent utilisé dans le domaine de l'apprentissage implicite. Nous avons adapté le design expérimental original de la tâche de réaction sériel de Nissen et Bullemer (1987) afin de le rendre plus ludique pour la population visée par notre étude. Ainsi, nous avons évalué 21 enfants dysphasiques âgés de 7 à 13 ans et 21 enfants tout-venant, appariés en âge, sexe et niveau d'intelligence verbale. Chaque enfant était confronté à la tâche de TRS au cours de trois sessions étalées sur une semaine. Nous avons également investigué le niveau de langage des enfants en leur administrant des épreuves évaluant la phonologie, le lexique, et la morphosyntaxe dans les versants réceptif et productif. Nos résultats suggèrent que les sujets dysphasiques sont capables d'apprendre une information séquentielle. Cependant, ils apprennent plus tardivement que les enfants qui ne présentent pas de trouble langagier. De plus, les enfants dysphasiques ne parviennent pas à consolider la connaissance acquise avec le temps contrairement aux enfants contrôles. Ainsi, leur apprentissage d'une information séquentielle se stabilise mais ne dépasse pas ce stade malgré le nombre d'expositions à la tâche. Nous observons également un lien entre les performances grammaticales et phonologiques des sujets et leur capacité d'apprentissage de régularités. Notre étude rejoint ainsi l'hypothèse d'un déficit procédural dans le trouble dysphasique.


Dissertation
Evaluation de la connaissance relationnelle chez les enfants dysphasiques.
Authors: --- --- ---
Year: 2015 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

La dysphasie est un trouble spécifique du développement du langage oral qui fait l’objet de nombreuses recherches mais dont certains aspects sont encore mal connus. Les théories explicatives de ce trouble prolifèrent, notamment suite au développement de l’approche cognitivo-fonctionnelle du langage qui permet de concevoir celui-ci comme étant en interaction avec des processus généraux et non-linguistiques. En particulier, la théorie des grammaires de construction soutient que le langage s’acquiert par une abstraction progressive des formes entendues qui deviennent alors des schémas de construction. Ce mécanisme serait lié au raisonnement analogique. Or, les enfants présentant une dysphasie semblent détenir de faibles capacités de raisonnement analogique par rapport à leurs pairs de même âge. Nous nous demandons donc à quoi pourrait être dû ce déficit, en nous intéressant à un élément déterminant du raisonnement analogique : la connaissance relationnelle. Une tâche de scènes analogiques a été proposée à un groupe d’enfants présentant une dysphasie et à deux groupes contrôles, l’un apparié en âge linguistique et l’autre en mémoire de travail. Les participants devaient sélectionner l’élément détenant le même rôle relationnel qu’un élément pointé dans un dessin présenté au préalable. Les relations étaient similaires pour chaque item mais la nature des indices perceptuels variaient selon la condition : dans une condition, les indices perceptuels et relationnels concordaient, alors que dans une autre ils discordaient. Dans une troisième condition, aucune similarité perceptuelle n’était présente. Tous les enfants semblent bénéficier de la congruence entre informations perceptuelles et relationnelles. De plus, les enfants présentant une dysphasie détiennent des compétences de raisonnement analogique semblables à leurs pairs de même âge linguistique et de mêmes capacités de mémoire de travail. Ils semblent également posséder des connaissances relationnelles relativement préservées par rapport à leurs pairs de même âge mais des difficultés apparaissent quand la tâche se complexifie, notamment quand des distracteurs perceptuels doivent être inhibés. Ceci semble pouvoir être expliqué par les troubles langagiers et les déficits en mémoire de travail liés à la dysphasie.

Keywords


Dissertation
Apprentissage séquentiel et rétention à long terme chez les enfants dysphasiques : apprentissage distribué VS massé
Authors: --- --- ---
Year: 2015 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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La dysphasie est généralement définie comme un trouble spécifique, sévère et persistant du développement du langage oral (Schelstaete, 2012). Plusieurs théories ont tenté d’expliquer l’origine de la dysphasie à l’instar de l’hypothèse d’un déficit procédural (Ullman & Pierpont, 2005). Plusieurs études ont utilisé la tâche de Temps de Réaction Sériel (Nissen & Bullermer, 1987) pour évaluer l’apprentissage implicite chez les personnes dysphasiques, et ont abouti à des résultats contradictoires. La plupart de ces études se sont déroulées sur une seule séance, alors que l’apprentissage d’une nouvelle habileté motrice serait constitué de plusieurs phases (Doyon & Benali, 2005). Par la suite, l’étude de Djellali (2014) a porté sur 3 séances et les résultats ont montré que les enfants dysphasiques avaient des difficultés d’apprentissage, de consolidation et de rétention à long terme. Nous nous sommes demandé si distribuer l’apprentissage sur plusieurs jours pouvait permettre aux enfants dysphasiques d’améliorer leurs performances aux différentes phases d’apprentissage, étant donné le bénéfice largement reconnu du « spacing effect » dans la littérature. Afin de tester notre hypothèse, 30 enfants dysphasiques et 30 enfants contrôles ont réalisé une tâche de TRS en étant répartis dans deux conditions d’apprentissage différentes. Les enfants de la condition d’apprentissage massé devaient réaliser 12 blocs d’apprentissage sur une séance. Les enfants de la condition d’apprentissage distribué devaient réaliser 12 blocs d’apprentissage sur 3 séances (3x4 blocs). Deux semaines plus tard, la rétention à long terme de l’apprentissage a été évaluée dans chacun des groupes par 4 derniers blocs. Les résultats montrent que la condition d’apprentissage distribué est bénéfique pour les enfants dysphasiques, puisqu’elle leur permet d’obtenir de meilleures performances d’apprentissage et de rétention à long terme que la condition d’apprentissage massé à la tâche de TRS. En revanche, les enfants contrôles ont abouti aux mêmes performances quelle que soit la condition d’apprentissage. En conclusion, distribuer l’apprentissage pourrait constituer une stratégie potentielle pour augmenter les performances d’apprentissage implicite des enfants dysphasiques.

Keywords


Dissertation
Etude de l'apprentissage de structures morphosyntaxiques complexes chez l'enfant dysphasique
Authors: --- --- ---
Year: 2015 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

La dysphasie est un trouble sévère et persistant du développement du langage pour lequel de nombreuses questions restent soulevées. Une fragilité morphosyntaxique est souvent rencontrée. La morphosyntaxe complexe est un domaine particulièrement à risque dans ce trouble, néanmoins peu d’études portent sur son acquisition. L’efficacité du paradigme de priming syntaxique a été démontrée. Nous nous demandons quelles possibilités offre –t-il à des enfants dysphasiques sur leur production de structures syntaxiques complexes. Pour cela, nous avons utilisé une tâche de priming syntaxique dans laquelle des images sont présentées. La première image est accompagnée d’un prime auditif : l’enfant entend la phrase contenant la structure cible. Ensuite, une seconde image apparaît sans prime auditif, l’enfant est invité à la décrire. Nous continuons deux études, l’une portant sur des propositions subordonnées conjonctives, l’autre sur des propositions relatives enchâssées. Nous pensons que le priming syntaxique permet une plus grande production de la structure travaillée. Nous évaluons si l’apprentissage permis par cette méthode persiste après une semaine et si le fait de présenter une seconde session de priming renforce son effet. Enfin, nous pensons qu’une structure fréquente devrait présenter un effet de priming plus important qu’une structure rare. Nous observons que le priming permet effectivement la production des structures complexes par les enfants dysphasiques, et que les connaissances qu’ils ont acquises se transfèrent. Ils bénéficient autant de cet effet que leurs pairs sans trouble langagier. Nous remarquons un déclin des performances après une semaine dans les deux groupes d’enfants. Cependant, lorsque l’on renforce le priming les performances s’améliorent. Si nous observons un plus grand effet de priming pour la haute fréquence ainsi qu’un meilleur transfert, nous remarquons des différences entre nos deux études. Nous les expliquons par la méthodologie appliquée. Ce travail met en évidence l’effet du priming sur la production de structures complexes pour des enfants dysphasiques et démontre qu’il leur permet d’extraire les formes abstraites des structures. Une seconde session de priming est importante pour les enfants dysphasiques, cela leur permet d’améliorer fortement leurs performances pour la production de structures peu fréquentes notamment.

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