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Philosophical anthropology --- Metaphysics --- Descartes, René --- Subject (Philosophy) --- Descartes, René, --- 1 DESCARTES, RENE --- Philosophy --- Filosofie. Psychologie--DESCARTES, RENE --- Descartes, Rene --- 1 DESCARTES, RENE Filosofie. Psychologie--DESCARTES, RENE --- Descartes, René, --- Descartes, Renatus --- Cartesius, Renatus --- History --- 17th century --- Subject (Philosophy) - Congresses. --- Descartes, René, 1596-1650
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Le présent ouvrage cherche les sources de l'intentionnalité dans le Moyen-Âge tardif. Brentano avait relevé que les Médiévaux furent les premiers à soutenir que la pensée se caractérise par la présence intentionnelle, par la relation à une objectivité immanente. Les commentateurs modernes n'ont pas été sans remarquer la provenance scotiste de la notion de réalité objective chez Descartes, niais ils ont reproché à ce dernier de comprendre l'esse objectivum comme un contenu de représentation, et ainsi de manquer la notion d'intentionnalité. On se propose ici, par une analyse des sources médiévales et scolastiques de l'objectivité, de montrer que la philosophie cartésienne des idées repose sur un mouvement complexe de réévaluation du lexique scolastique de la species, de l'intentio, et de l'esse ou du conceptus objectivus. Toute idée étant l'idée de quelque chose, la corrélation du sujet et de l'objet qui définit l'intentionnalité doit alors être envisagée comme rapport de l'ego à des choses ontologiquement situées: les choses corporelles, les choses immatérielles et celles qui se rapportent à l'union de l'âme et du corps. Ce qui permet de se garder et de l'idée d'un sujet transcendantal et de l'idée d'un sujet-substance séparé.
Intentionality (Philosophy) --- Philosophy, Medieval --- Object (Philosophy) --- Subject (Philosophy) --- Representation (Philosophy) --- Intentionnalité (Philosophie) --- Philosophie médiévale --- Objet (Philosophie) --- Sujet (Philosophie) --- Représentation (Philosophie) --- Descartes, René, --- Intentionnalité (philosophie) --- Objet (philosophie) --- Sujet (philosophie) --- Influence --- Critique et interprétation --- Intentionnalité (Philosophie) --- Philosophie médiévale --- Représentation (Philosophie) --- Descartes, René, --- Influence. --- Descartes, René --- Critique et interprétation. --- Intentionnalité (philosophie) --- Critique et interprétation
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Descartes, René, --- Descartes, René, --- Descartes, Renatus --- Cartesius, Renatus --- Descartes, René --- Descartes, René, - 1596-1650 --- Critique et interprétation --- Création --- Descartes, René, 1596-1650
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L'inventeur de la philosophie du sujet pensant emploie, en réalité rarement, le mot « sujet ». Le but de ce travail est donc d'aborder la question à partir de l'inventaire du vocabulaire cartésien de la « subjectivité ». Devons-nous dire que l'ego du cogito est sujet ? Y a-t-il un sujet des passions ? Y a-t-il un sujet corporel chez Descartes ou alors l'union est-elle le sujet ? Multiples formes de la question de savoir s'il y a bien une philosophie du sujet chez Descartes.
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Scholasticism --- Philosophical theology --- Theology, Doctrinal --- Philosophy and religion --- Scolastique --- Théologie philosophique --- Théologie dogmatique --- Philosophie et religion --- History of doctrines --- History --- Early works to 1800 --- Histoire des doctrines --- 600-1500 (Moyen Age) --- Histoire --- Ouvrages avant 1800 --- Theology, Practical --- Christianity --- -Theology, Practical --- Practical theology --- Communication --- Theology --- Religions --- Church history --- Philosophy --- Religious aspects --- Théologie philosophique --- Théologie dogmatique --- Theology, Practical - Early works to 1800. --- Christianity - Philosophy - Early works to 1800
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Guillaume d'Ockham (1285-1347) est l'un des principaux promoteurs du nominalisme, i. e. la doctrine qui soutient que seuls existent les individus et qui applique le « rasoir d'Ockham » afin de supprimer toutes les entités ontologiques superflues, comme les abstractions et les universaux. La présentation des termes clés de la logique, de la philosophie de la connaissance et de la nature, de Guillaume d'Ockham manifeste à quel point il a effectivement mis en œuvre un programme nominaliste de réduction ontologique, appliqué à la théologie et à la philosophie naturelle. Philosophe et théologien marqué par sa formation en logique, Ockham fut aussi engagé dans les querelles politiques de son temps. Dans ses écrits polémiques, on retrouve la virtuosité argumentative qui le caractérise, mais au-delà on découvre une philosophie politique (ou écclésio-politique), dont on trouvera ici les principaux termes clés. Le présent ouvrage permet de saisir, dans la diversité des champs philosophiques que Guillaume d'Ockham aborde, l'unité du programme de réduction ontologique. Son objectif est de faciliter la lecture des textes et non de s'y substituer. Outre les nombreuses citations, les références précises invitent le lecteur à se reporter aux textes pour préciser le sens d'un terme technique. Les renvois à la fin de chacun des articles offrent un parcours dans une œuvre qui reste l'un des sommets du nominalisme et de la philosophie
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On fait communément à la philosophie moderne le reproche d'avoir accentué le danger de scepticisme, de perte du monde, en ayant voulu prouver l'existence du monde matériel et d'avoir introduit, pour ce faire, les idées comme une sorte d'entités intermédiaires formant un écran, un voile, dans le rapport de l'esprit aux choses. Le nom d'idée, dans son sens philosophique, aurait été donné aux objets immédiats de nos pensées. La chose extérieure à l'esprit ne serait que l'objet médiat, ou éloigné. Y a-t-il un lien entre la définition des idées comme représentation au XVIIe siècle et l'idéalisme ? Et quel idéalisme est ainsi concerné ? La seconde partie du volume comporte une table-ronde sur le problème de la sécularisation ; la troisième partie recense longuement les derniers ouvrages de Ch. Bouton et B. Mabille sur Hegel.
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Parmi les cartésiens du second XVIIe siècle, Cordemoy (1626-1684) a une place à part. Dans les Six Discours sur la distinction du corps et de l’âme (1666), Cordemoy réélabore l’anthropologie cartésienne à partir de l’atomisme et de l’occasionnalisme. D’un côté, il reconstruit la conception cartésienne du corps et de l’étendue à partir d’un atomisme méthodologiquement différent de celui de Gassendi et, de l’autre, à propos de la distinction de l’âme et du corps, il est l’un des premiers à envisager la causalité sous la figure de l’occasionnalisme. Cordemoy s’ancre sur la distinction réelle de l’âme et du corps pour développer une description physique de l’homme et introduire les développements métaphysiques, théologiques et éthiques, qui constituent pour lui l’horizon véritable de la connaissance de l’homme. Le Discours Physique de la Parole (1668), parfois considéré comme le Septième Discours, fournit une conception de la nature du composé humain, de la communication entre l’âme et le corps et entre les êtres humains, et aussi entre les purs esprits. La réflexion sur le langage permet de discerner le domaine propre de l’homme et de rendre compte de l’intimité de l’union de l’âme et du corps.
Mind and body --- Metaphysics --- Language and languages --- Esprit et corps --- Métaphysique --- Langage et langues --- Early works to 1800. --- Philosophy --- Ouvrages avant 1800 --- Philosophie --- -Language and languages --- Early works to 1800 --- Métaphysique --- Mind and body - Early works to 1800 --- Metaphysics - - Early works to 1800 --- Language and languages - Philosophy - Early works to 1800
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Philosophy --- Theology --- Christian theology --- Theology, Christian --- Christianity --- Religion --- Mental philosophy --- Humanities --- Truth --- Knowledge, Theory of --- Vérité --- Théorie de la connaissance --- Théologie --- Early works to 1800 --- History --- Ouvrages avant 1800 --- Histoire --- Early works to 1800.
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Cet ouvrage entend mettre en évidence les ressources effectives que recèle la pensée spinoziste pour les sciences sociales. Plus qu'à mettre en exergue l'intérêt que présente la pensée de Spinoza et d'expliciter les convergences possibles entre certains de ses aspects et des analyses menées en sciences sociales, il vise à souligner ce que cette philosophie peut réellement apporter à ces dernières. Les différentes contributions de ce collectif montrent donc comment la pensée spinoziste offre des éléments d'analyse qui permettent de résoudre des problèmes propres aux sciences sociales. D'autre part, elles envisagent la manière dont la confrontation avec la philosophie spinoziste aide à révéler des impensés ou des insuffisances de travaux en sciences sociales, afin de proposer des voies de problématisation et d'analyse plus satisfaisantes que celles qui s'offraient à elles jusque-là.Réciproquement, cette mise en dialogue et en confrontation effective contribue à mettre au jour des aspects pas ou peu explorés de la pensée spinoziste. En ce sens, Les Passions du social contribue pleinement à une mise au travail de cette dernière, montrant qu'une pensée philosophique n'est en rien une pensée figée, si du moins on met à l'épreuve sa propre réception.Cet ouvrage poursuit une entreprise engagée notamment dans l'ouvrage Spinoza et les sciences sociales, dirigé par Yves Citton et Frédéric Lordon en 2008. Il articule cependant plus précisément ses différentes contributions autour des ressources analytiques et critiques que recèle la théorie spinoziste des passions pour les sciences sociales.
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