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Film
Max mon amour
Author:
Year: 2018 Publisher: France : Studiocanal,

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Abstract

Paris, 1985. Un diplomate britannique (Anthony Higgins) découvre que sa femme Margaret, interprétée par Charlotte Rampling, le trompe. Il engage un détective privé qui confirme l’existence d’un amant dont il ignore pourtant l’identité. Peter décide de surprendre le couple infidèle et tombe sur Margaret dans les bras d’un chimpanzé, prénommé Max. Nagisa Oshima, le réalisateur de Furyo et de L’Empire des sens, tourne en France une fable insolite et sulfureuse sur les mystères du désir féminin. Ecrit par Jean-Claude Carrière, Max mon amour croise avec audace le vaudeville et l’absurde, l’étrangeté bunuelienne et la farce, et met à rude épreuve le voyeurisme du spectateur. Que se passe-t-il réellement entre Charlotte Rampling et son amant de singe ? Jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour sauver les apparences ? Une rareté.

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Book
Écrits, 1956-1978 : dissolution et jaillissement
Author:
Year: 1980 Publisher: [Paris] Gallimard

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Abstract


Film
The century of cinema: 100 years of japanese cinema DVD
Authors: ---
Year: 1995 Publisher: Japon, Grande-Bretagne, British Film Institute (BFI),

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Abstract

Oshima évoque les différents âges d'or du cinéma japonais. La période muette avec Le journal de voyage de Chuji (Chuji tabi nikki: Goyo hen, Daisuke Ito, 1927) et Gosses de Tokyo (Yazujiro Ozu, 1932), les films sociaux avec la création de L'association des cinéastes en 1937 juste après le coup d'état avorté des militaires qui vont néanmoins augmenter leur influence jusqu'à la guerre contre la Chine. Ce sera L'élegie de Naniwa (Mizoguchi, 1936), Le progres éternel (Tomu Uchida, 1937) sur une idée de Ozu, Pauvres humains et ballons de papier (Sadao Yamanaka) Puis c'est la guerre. Ozu rend visite à Yamanaka qui meurt peu après et, en 1939, est instaurée la loi sur le cinéma calquée sur celle du cinéma nazi. Va subsister un comique de tradition burlesque avec Kinta le pickpocket (Kajiro Yamamoto, 1937) et les films de propagande qui comme La guerre navale de Hawai à la Malaisie (1942) travaillent les effets speciaux et préparent les Godzilla de l'après-guerre. Oshima signale quelques mélodrammes de l'après guerre: Matsu le bandit (Hiroshi Inagaki, 1943) où un conducteur de pousse-pousse se devoue pour une veuve d'officier et son fils et Le jardin des femmes (Keisuke Kinoshita, 1954). Un nouvel âge d'or du cinéma japonait surgit avec la nouvelle vague incarnée par Immamura et sa Femme insecte (1963), les jeunes cinéastes de la Shochiku, Yoshida, Shinoda et lui-même. C'est également l'époque des grands documentaires contestataires Un été à Narita (Shinsuke Ogawa, 1968) contre l'aéroport de Tokyo ou La préhistoire des partisans (Noriaki Tsuchimito, 1969) sur le meneur de la rebellion étudiante à l'universite de Kyoto. Ensuite le cinéma japonais est devenu un grand maître du genre policier avec Combat sans code d'honneur (Kinji Fukasaku, 1973) et les films de Kitano.

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Film
Contes cruels de la jeunesse
Authors: --- ---
Year: 2021 Publisher: [France] : Carlotta Films,

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Abstract

Makoto use de son charme pour se faire raccompagner chez elle par des quadragénaires lors de ses sorties nocturnes. Lorsqu’un soir, l’un d’entre eux tente de la ramener de force à son hôtel, l’arrivée de Kiyoshi, un étudiant délinquant, lui permet d’échapper au pire. Désormais attachés l’un à l’autre, Makoto et Kiyoshi entament une relation amoureuse ambiguë et troublée par les excès de violence de ce dernier… A la fin des années 50, la firme japonaise Shōchiku décide de rajeunir son audience en proposant des œuvres qui s’adressent avant tout à un public d’adolescents. Pour cela, ils ont engagé des cinéastes bien plus jeunes que leur équipe habituelle, dont un certain Nagisa Oshima. Celui-ci n’a que 27 ans lorsqu’il réalise son premier long-métrage intitulé Une ville d’amour et d’espoir (1959) avec l’acteur Fumio Watanabe. Malgré la déception du studio quant aux résultats commerciaux du film, ils ont décidé de produire son second effort nommé Contes cruels de la jeunesse (1960). Cette fois, celui que l’on a parfois nommé le père de la Nouvelle Vague japonaise s’est largement inspiré des mouvements contestataires qui minent le Japon en ce début des années 60, tout en convoquant des influences étrangères au cœur de son cinéma. Ainsi, sa description d’une jeunesse en rébellion est fortement marquée par le cinéma américain et notamment de La fureur de vivre (Ray, 1955) avec James Dean, tandis que stylistiquement, le métrage reprend les innovations stylistiques observables la même année dans A bout de souffle (Godard, 1960). On ne compte plus le nombre de plans où le son est désynchronisé avec l’image, tandis que le jeune cinéaste multiplie les mouvements de caméras à l’épaule, parfois volontairement tremblés ou heurtés. Même si la photographie couleur de Takashi Kawamata apparaît comme très travaillée, le but des auteurs était bien de filmer dans la rue, avec le moins d’artifices possibles, contrairement au cinéma japonais traditionnel, très respectueux du cadre. D’ailleurs, Oshima ne cesse de décadrer ses acteurs afin de montrer que ses personnages ne parviennent pas à entrer dans le moule imposé par une société nippone trop rigide. Ainsi, la forme vient au secours du fond et souligne le propos d’un cinéaste qui, comme ses protagonistes principaux, est en colère. Effectivement, on peut rapprocher aussi ce cinéma de la révolte des écrivains britanniques qui se faisaient appeler les Angry Young Men (les jeunes gens en colère). Il s’agit ici de décrire une jeunesse révoltée contre une société normative qui ne propose qu’un avenir tout tracé à des hommes et des femmes qui aspirent à autre chose. Dans Contes cruels de la jeunesse, Nagisa Oshima nous présente ainsi un jeune couple atypique pour l’époque qui vit de rapines et hors des liens du mariage. Ainsi, la jeune fille interprétée avec conviction par Miyuki Kuwano se fait sans cesse rappeler à l’ordre par sa sœur ainée ((jouée par Yoshiko Kuga), tandis que le jeune chien fou incarné avec force par Yûsuke Kawazu est un marginal qui n’arrive pas à entrer dans le cadre très strict de la société japonaise d’alors. La grande force de Contes cruels de la jeunesse vient de sa présentation pas forcément aimable de ses personnages principaux. On pense notamment au jeune homme qui s’avère très violent envers sa petite amie. Mais malgré ce caractère peu aimable, le personnage n’en devient pas moins touchant car le spectateur sent instinctivement que sa destinée est toute tracée: Oshima met notamment en place toute une esthétique de la défaite. Même lorsqu’il évoque les mouvements de jeunesse qui contestent à l’époque les liens entre le Japon et les Etats-Unis, Nagisa Oshima semble avoir compris à l’avance l’échec programmé de ces révoltes. Là où le studio Shōchiku attendait donc une œuvre censée présenter à la jeunesse un portrait inoffensif et divertissant, Oshima livre un film au style puissamment novateur. En lieu et place d’une issue positive, l’auteur développe une ambiance désenchantée qui se traduit par une fin tragique et une théorie proche du No Future qui sera développé bien plus tard par les mouvements punks. Très choquant pour l’époque, Contes cruels de la jeunesse a tout de même connu un gros succès au Japon. Toutefois, son caractère extrême l’a éconduit de nombreux marchés comme celui du Royaume-Uni où il a été interdit, tandis que la France est tout simplement passée à côté. En France, il a fallu attendre 1986 et la popularité du cinéaste lié aux succès de L’empire des sens (1976), Furyo (1983) et Max mon amour (1986) pour que Les Films sans Frontières sorte en salles ces Contes cruels de la jeunesse le 5 mars 1986, soit plus de vingt-six ans après sa sortie japonaise.

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Film
Gohatto DVD
Authors: --- --- ---
Year: 1999 Publisher: Japon, Shôchiku Eiga, Kadokawa Shoten Publishing Co., Imagica Corp., BS Asahi, Eisei Gekijo,

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Abstract

Kyoto, printemps 1865. Au temple Nishi-Honganji, la milice du Shinsengumi sélectionne de nouvelles recrues en présence du commandant Isami Kondo et du capitaine Toshizo Hijikata. Les candidats doivent affronter le meilleur guerrier de la milice, Soji Okita. Ce jour-là, deux hommes se détachent du lot et intègrent la milice: Hyozo Tashiro, samourai de rang inférieur originaire du clan Kurume, et Sozaburo Kano, jeune homme dont la beauté envoûtante attire tous les regards.

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Film
Merry Christmas Mr. Lawrence
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2020 Publisher: S.l. Arrow films

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