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Ce livre constitue le second volume de Déconstruction du christianisme dont le premier s'intitulait La Déclosion. Si ce dernier mot voulait indiquer la nécessité d'ouvrir la raison à une dimension non pas "religieuse", mais transcendant la raison elle-même telle que nous avons trop pris l'habitude de la comprendre, l' "adoration" essaie maintenant de nommer le geste de cette raison déclose. Ce mot qui semble relever exclusivement de la religion ou de l'amour - sinon du jargon mondain ! - dit la parole adressée à ce qui dépasse la signification. Cette adresse, qui n'est pas plus philosophique qu'elle n'est religieuse, qui ne se range ni sous le concept ni sous le culte, peut se signaler, sans doute, par la poésie et par l'art, mais ne s'y limite pas non plus. Ce qu'on essaie de penser ici - tout au moins d'entrouvrir à la pensée -, c'est une façon, une allure de l'esprit pour notre temps où le "spirituel" semble devenu si absent, si sec, ou si frelaté.
Metaphysics --- Religious studies --- Deconstruction. --- Philosophy and religion --- Christianity --- Déconstruction --- Philosophie et religion --- Christianisme --- History --- Philosophy --- Histoire --- Philosophie --- Deconstruction --- French philosophy - Christianism - 21st century --- 21*01 --- Religions --- Church history --- Criticism --- Semiotics and literature --- Godsdienstfilosofie: christelijke religie: filosofisch en rationeel --- French philosophy - Christianism - 21st century. --- 21*01 Godsdienstfilosofie: christelijke religie: filosofisch en rationeel --- Déconstruction --- Philosophy and religion - History - 20th century --- Christianity - Philosophy - History - 20th century
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1984, les Cahiers de L’Herne m’invitèrent à organiser un numéro consacré à Maurice Blanchot. Parmi les raisons qui, avec Philippe Lacoue-Labarthe, nous poussèrent à vouloir réaliser ce projet, il y avait celle liée aux récentes publications concernant les positions politiques du Blanchot des années 1930 : nous voulions saisir l’occasion d’engager avec lui un échange sur cette question, afin de dépasser l’affrontement grossier des accusations et des défenses tel qu’il se jouait alors dans les magazines. À travers quelques échanges de lettres, Blanchot en vint à concevoir l’idée de rassembler des remarques éparses sous la forme d’un document – qu’il nomma « récit » dans une lettre à Roger Laporte, publiée ici – qui aurait en quelque sorte valeur de déclaration préliminaire à un entretien futur. Quel est l’enjeu de cette lettre ? Il est moins, à mon sens, dans ce qu’elle ouvre de vérité historique et psychologique (qui n’est certes pas négligeable) que dans le fait qu’elle oblige à nous demander comment, à partir d’où et selon quelles interrogations nous devons la lire. Cette obligation est liée à celle qui a poussé Maurice Blanchot à écrire ce document assez singulier au milieu tant de sa correspondance que de son œuvre. En 1984, et devant une proposition de discussion autour de son passé politique dont il savait qu’elle n’était ni agressive ni soupçonneuse – bien qu’elle ne fût en rien complaisante –, il pouvait sentir et comprendre que s’offrait une autre disposition que celle des procureurs empressés. Il pouvait avoir confiance dans la possibilité d’une explication – ce qui n’est en rien équivalent à une justification. Il ne s’agit pas du tout de justifier ni même d’excuser les pensées et les déclarations de Blanchot. Il ne s’agit d’ignorer aucun aspect de ses convictions politiques ni de ce qu’elles ont pu impliquer d’engagement, fût-il seulement celui de la plume. On s’exclame « il était d’extrême droite ! », voire « il était fasciste ! » et cela signifie : « il fallait être de gauche, il fallait être antifasciste ! ». On pense désigner ainsi une sorte d’évidence pérenne de la « gauche » qui se confond à peu près, en fait, avec la profession de foi des droits de l’homme et de la démocratie parlementaire – et cela d’autant mieux qu’il est devenu difficile de parler même de « socialisme ». Il est vrai qu’il n’en était pas ainsi il y a vingt-cinq ans. Mais il est non moins vrai qu’était sensible dès ces années la nécessité d’une interrogation de grande ampleur sur le sens de la (ou « du », comme nous disions justement pour mettre l’accent sur le problème d’un concept ou d’une essence) politique.
Blanchot, Maurice --- Blanchot, Maurice, --- Mascolo, Dionys, --- Mascolo, Dionys --- Political and social views. --- モーリス・ブランショ --- Бланшо, Морис, --- Blansho, Moris, --- Blanshoy, Moris, --- Blanchot, Maurice, - 1907-2003 - Correspondence --- Mascolo, Dionys, - 1916-1997 - Correspondence --- Blanchot, Maurice, - 1907-2003 --- Mascolo, Dionys, - 1916-1997
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General ethics --- Compatibilism --- Determinism and free will --- Determinism and indeterminism --- Determinisme en indeterminisme --- Déterminisme et indéterminisme --- Free agency --- Free will and determinism --- Freedom and determinism --- Freedom of the will --- Indeterminism --- Indeterminisme --- Liberty of the will --- Libre arbitre et déterminisme --- Vrije wil --- Vrije wil en determinisme --- Vrijheid van de wil --- Wilsvrijheid --- Liberty. --- 130.15 --- Liberty --- Civil liberty --- Emancipation --- Freedom --- Liberation --- Personal liberty --- Democracy --- Natural law --- Political science --- Equality --- Libertarianism --- Social control --- Vrijheid antropologisch --- 130.15 Vrijheid antropologisch
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Philosophy and psychology of culture --- Mary Magdalene --- Touch --- Christian art and symbolism --- Art, Renaissance --- Religious aspects --- Christianity --- Feeling --- Haptic sense --- Haptics --- Tactile perception --- Tactual perception --- Somesthesia --- Art, Christian --- Art, Ecclesiastical --- Arts in the church --- Christian symbolism --- Ecclesiastical art --- Symbolism and Christian art --- Religious art --- Symbolism --- Church decoration and ornament --- Renaissance art --- Religious aspects&delete& --- Jesus Christ --- Mary Magdalene, --- Maddalena, --- Madeleine, --- Magdaghinē, --- Magdalene, --- Maria Maddalena, --- Maria Magdalena, --- Mariam Magdaghenatsʻi, --- Marie Madeleine, --- Mary Magdalen, --- Maryam al-Majdalīyah, --- Christ --- Cristo --- Jezus Chrystus --- Jesus Cristo --- Jesus, --- Jezus --- Christ, Jesus --- Yeh-su --- Masīḥ --- Khristos --- Gesù --- Christo --- Yeshua --- Chrystus --- Gesú Cristo --- Ježíš --- Isa, --- Nabi Isa --- Isa Al-Masih --- Al-Masih, Isa --- Masih, Isa Al --- -Jesus, --- Jesucristo --- Yesu --- Yeh-su Chi-tu --- Iēsous --- Iēsous Christos --- Iēsous, --- Kʻristos --- Hisus Kʻristos --- Christos --- Jesuo --- Yeshuʻa ben Yosef --- Yeshua ben Yoseph --- Iisus --- Iisus Khristos --- Jeschua ben Joseph --- Ieso Kriʻste --- Yesus --- Kristus --- ישו --- ישו הנוצרי --- ישו הנצרי --- ישוע --- ישוע בן יוסף --- المسيح --- مسيح --- يسوع المسيح --- 耶稣 --- 耶稣基督 --- 예수그리스도 --- Jíizis --- Yéshoua --- Iėsu̇s --- Khrist Iėsu̇s --- عيسىٰ --- Resurrection --- عيسىٰ --- Symbolism in art --- Maria Magdalena --- Touch - Religious aspects - Christianity
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La catastrophe de Fukushima n’est pas considérée ici seulement comme le dernier désastre majeur qui oblige à repenser l’usage de l’énergie nucléaire. On envisage sa leçon de manière plus générale, en tant qu’elle manifeste l’interdépendance désormais inextricable des phénomènes dits « naturels » et des ensembles techniques, sociaux, politiques, économiques dont la connexion générale nous oppresse. Toutes les catastrophes ne sont certes pas équivalentes. Mais l’équivalence dont on veut parler ici est celle qui met en correspondance et qui fait circuler dans la communication et dans la consommation générales tous les éléments de notre existence – les vies, les biens, les forces, les énergies. Le signe et le porteur de cette circulation n’est autre que la valeur en tant qu’argent, ou valeur du « marché » : l’« équivalence générale » dont parlait Marx. C’est elle qui propage une catastrophe généralisée.Que veut dire « penser » dans cette condition qui est la nôtre ?
Political philosophy. Social philosophy --- History of philosophy --- Disasters --- Technology --- Catastrophes --- Technologie --- Philosophy --- Philosophy. --- Philosophie --- Fukushima Nuclear Disaster, Japan, 2011 --- Calamities --- Curiosities and wonders --- Accidents --- Hazardous geographic environments --- Technology and civilization --- Disasters - Philosophy --- Technology - Philosophy
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C'est à la politique en elle-même et au capitalisme en lui-même que s'adressait le mouvement profond de 68. C'est à la démocratie gestionnaire que s'en prenait sa véhémence et, plus avant encore, c'est une interrogation sur la vérité de la démocratie qui s'y ébauchait. La vérité de la démocratie est celle-ci : elle n'est pas une forme politique parmi d'autres, à la différence de ce qu'elle fut pour les Anciens. Elle n'est pas une forme politique du tout, ou bien et à tout le moins n'est-elle pas d'abord une forme politique. " Démocratie " est d'abord le nom d'un régime de sens dont la vérité ne peut être subsumée sous aucune instance ordonnatrice ou gouvernante mais qui engage entièrement 1'" homme" en tant que risque et chance de " lui-même ". Ce premier sens n'emprunte un nom politique que de manière accidentelle et provisoire. Ensuite, " démocratie " dit le devoir d'inventer la politique non pas comme ordre des fins mais des moyens d'ouvrir et de garder des espaces pour les inventer. Cette distinction des fins et des moyens n'est pas donnée, pas plus que la distribution des "espaces" possibles. Il s'agit de les trouver, voire d'inventer comment ne même pas prétendre les trouver. Cette politique doit être tenue distincte de l'ordre des fins - même si la justice sociale constitue d'évidence un moyen nécessaire à toutes fins possibles.
Political philosophy. Social philosophy --- #SBIB:17H3 --- #SBIB:324H20 --- #SBIB:321H30 --- Politieke wijsbegeerte --- Politologie: theorieën (democratie, comparatieve studieën….) --- Hedendaagse politieke en sociale theorieën (vanaf de 19de eeuw): algemeen (incl. utilitarisme, burgerschap) --- Démocratie --- Philosophie
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Ces fragments, arrachés par la stupéfaction : l'État dont je suis citoyen lance un débat national sur l'identité nationale. Serait-elle perdue ? serait-elle devenue décidément trop indécise ? serait-elle en danger ? Mais l'État n'est jamais que l'instrument de la nation : ce n'est pas à lui d'en définir, encore moins d'en constituer l'identité. Comme, de plus, cette initiative ne vise qu'à resserrer les rangs de tous ceux qui craignent pour l'identité de ladite identité - la couleur de sa peau, son accent, sa langue, sa religion - et qu'il s'agit à la fois de les conforter et de prévenir les candidats à la nationalité qu'ils seront homologués par cette identité, l'opération tourne en rond. L'identité nationale tournerait-elle mal ? Mais sait-on seulement de quoi on parle ? De là venait la stupeur première : que des termes aussi chargés que " identité " et " nation ", lestés par un demi-siècle - au moins - de questionnements philosophiques, psychanalytiques, ethnologiques, sociologiques et politiques, se trouvent allègrement propulsés en objets de " débat ". Se sont donc détachés ces quelques fragments, à la hâte. Ils peuvent se lire aussi comme quelques préalables indispensables à toute prise en compte des mouvements tectoniques et des métamorphoses que connaissent désormais les supposées " identités nationales ", ici comme ailleurs.
Philosophical anthropology --- Political philosophy. Social philosophy --- Psychology --- Identity (Philosophical concept) --- Self (Philosophy) --- Identity (Psychology) --- French philosophical essay --- Identity --- 21st century --- Philosophy --- Personal identity --- Personality --- Self --- Ego (Psychology) --- Individuality --- Comparison (Philosophy) --- Resemblance (Philosophy)
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Etude consacrée à l'ouvrage de M. Blanchot intitulé La communauté inavouable. A travers une réflexion sur le communautarisme et le communisme, J.-L. Nancy éclaire la préoccupation de l'époque moderne quant au caractère commun des existences humaines.
Political philosophy. Social philosophy --- Philosophy and psychology of culture --- Communities. --- Communitarianism. --- Communauté --- Communautarisme --- Blanchot, Maurice. --- Communities --- Communitarianism --- Blanchot, Maurice --- Communauté --- Blanchot, Maurice - Communauté inavouable --- Communauté. --- Blanchot, Maurice (1907-2003).
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Banal, oui, l’antisémitisme l’était dans les années 1930. Aussi ordinaire que la détestation de la vermine. Eidée d’un complot mondial des juifs n’avait pas besoin d’être argumentée : elle allait de soi. Cette banalité pour reprendre le mot de Hannah Arendt - soutenait une haine, une condamnation, bientôt une extermination. Heidegger a repris les formules les plus violentes de cette doxa en les intégrant à un système de pensée : les juifs accomplissaient l’effondrement de l’Occident. C’était évident. On savait qu’il était, comme tant d’autres, antisémite. On n’avait pas lu les notes de ces Cahiers noirs qui entraînent dans l’infamie tout un pan de sa pensée. Non pas la pensée «de l’être», mais celle d’une histoire-destin et du désir farouche d’un «nouveau commencement». Inaugurer, fonder, être dans l’initial, vieux prurit métaphysique... Il faut reprendre la lecture. Il faut affronter ce que recouvre cette banalité hideuse. Non seulement chez Heidegger mais partout.
Political philosophy. Social philosophy --- Heidegger, Martin --- Antisemitism. --- Antisémitisme --- Heidegger, Martin, --- Views on Jews. --- Philosophy, Modern --- Antisemitism --- Heidegger, Martin (1889-1976) --- Et les Juifs --- Et l'antisémitisme --- Antisémitisme --- Antisémitisme. --- Heidegger, Martin, - 1889-1976 --- Heidegger, Martin, 1889-1976
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Philosophy --- Mental philosophy --- Humanities --- Philosophy. --- Philosophie.
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