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A travers des vues de différents lieux, dont le parc des Buttes Chaumont filmé en toutes saisons, et de vieux films de famille, Joseph Morder, qui commente lui-même les images en dialoguant avec une amie, part sur les traces de sa famille, d'origine juive polonaise. Un film nostalgique et intimiste tourné en amateur avec une caméra super 8.
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Mark, cinéaste, envoie depuis Berlin une lettre filmée à Sandra, peintre qui vit à Paris. Dans ce film, il évoque sa rencontre avec Sandra derrière l'objectif d'une caméra et montre son voyage à Berlin. Il raconte leur voyage à Rome, tous deux à la recherche de leurs origines juives. Sandra est de plus en plus gênée par le filmage obsédant de Mark : elle aimerait vivre leur histoire d'amour, leur exil, sans le regard de la caméra...
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Le 30 octobre 1967, Joseph Morder commence une expérience unique: un journal intime filmé en Super-8. Les Nuages américains (journal filmé neuf) est l'un des épisodes du journal filmé que Joseph s'autorise à montrer au public. L'histoire de ce film est celle d'un voyage que le cinéaste effectue aux USA en 1982. Mais comme tous les journaux filmés de Joseph Morder, il s'agit avant tout d'un voyage intérieur poétique, un voyage dans le flux de conscience de l'auteur...
Super 8 --- Portrait --- Voyage --- Création artistique --- États-Unis
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"A la grande surprise de William, son cousin Clovis, qu'il n'a pas revu depuis une trentaine d'années, arrive de New York pour lui rendre visite. Les retrouvailles entre les deux hommes font naître mille souvenirs : toujours aussi complices, ils deviennent vite inséparables, revivant, l'espace d'un instant, leurs jeunes années... Seule Elizabeth, épouse de William, qui vient de perdre son père, ne partage pas leur gaieté. Pourtant, peu à peu, le charme de Clovis, descendant d'une lignée de célèbres ""cantors"", gagne tout le monde, y compris Elizabeth. Et s'il n'était pas rentré en France uniquement pour revoir son cousin ? Et si la flamme des vieux chants yiddish, ceux de son père et de son grand-père, s'était soudain ravivée ? Entre humour et nostalgie, Clovis tente de renouer avec son passé et ses racines, redevenant, pour quelques jours, ""El Cantor""..."
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"L'Arbre mort - 1988 Peu après la fin de la seconde guerre mondiale, dans un bateau reliant la France à l'Amérique du Sud, Laura rencontre Jaime. Arrivés à destination, les deux personnages se séparent par accident. Laura cherche son amant, Ricardo et Jaime se prépare à épouser Sofia, sa fiancée. Par un soir d'orage et de coup d'Etat, le destin entre dans la vie de Laura et de Jaime, grâce à un arbre mort... Au départ Joseph Morder voulait tourner en studio en 16mm avec une esthétique proche de celle des photos de plateau des studios hollywoodiens. La 2eme chaîne allemande donne de l'argent pour tourner en super8 en exterieur. Le film est tourné à Nice. Chaque plan se veut un hommage à un cinéaste, un peintre ou un musicien. Ainsi, lorsque Laura lit une lettre dans sa chambre d'hôtel, c'est un hommage à Matisse qui vivait à Nice. Le thé sur le balcon avec la tante Pilar est un hommage au Gigi de Minnelli. Dans Mémoires d'un juif tropical il est aussi fait allusion à cet arbre mort à côté de la route atteint par les algues et un peu vert. C'est également une référence à l'affiche américaine de Ecrit sur le vent de Douglas Sirk, le film entier étant un hommage au mélodrame hollywoodien. La chanson est tournée en 16 mm sonore ce qui donne un effet de coupure avec le super8 muet avec voix off. C'est un effet d'entracte. Mémoires d'un juif tropical - 1986""Je reste à Paris pendant l'été. Je décide de filmer mon quotidien. Une relation amoureuse se noue avec Liza. Peu à peu, je m'aperçois que les couleurs, les façades que je filme me rappellent celles de mon enfance tropicale à Guayaquil, Equateur."" "
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"Le cinéaste français Joseph Morder, d'origine polonaise, est né en 1949, dans les Antilles, à Port of Spain (Trinité-et-Tobago, alors colonie anglaise). Jusqu'à l'âge de 12 ans, il vit en Équateur. C'est en 1962 qu'il s'installe avec sa mère et son frère Robi Morder à Paris. Le 5 octobre 1967, le jour de ses 18 ans, sa mère lui offre une caméra Super 8 avec laquelle il commence son journal filmé qu'il poursuit encore aujourd'hui. “Je connais Joseph Morder diariste, Joseph Morder auto-ethnologue qui ne cesse de fixer les évènements - avant tout heureux - de sa vie (voyages, rencontres amicales et amoureuses, soirées, visites, promenades...) sur pellicule et depuis quelques années également en vidéo. Je suis fascinée par Joseph Morder autobiographe qui raconte sa vie en conjuguant, à son gré et selon son projet, des attitudes documentarisantes et fictionnalisantes. Il a ainsi constitué une oeuvre autobiographique unique et monumentale déployant à elle seule toutes les écritures filmiques du moi possibles et imaginables : journal, mémoires, autobiographie au sens restreint comme au sens large, autofiction, fiction d'inspiration autobiographique, fiction adoptant la forme d'un journal ou d'une lettre filmée...” Dominique Bluher ""A la demande du Festival Pocket Films, j'entreprends le tournage d'un journal filmé avec téléphone portable caméra. La période du tournage entre février et mai 2007 voit se dérouler plusieurs évènements: des dates anniversaires importantes, le récent emménagement dans un nouvel appartement, des voyages, la vente de l'appartement familial, la campagne des élections présidentielles, la rencontre avec Sacha. Et pourtant la grande question que pose ce projet est la découverte de ce qui peut devenir un nouveau langage cinématographique."" Joseph Morder "
Mobile art --- Homosexualité --- Téléphone --- Autoportrait --- Journal intime --- Expérimental-essai
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Les deux films présentés ici sont nés d'un projet de scénario particulier, basé sur un personnage fictif qui porte le nom de Rita Jones (née Margarethe Grünewald), star du music-hall d'origine juive allemande.Avant de commencer à tourner "Rita Jones", Joseph Morder a tourné cinq films à caractère "documentaire" sur cinq villes - Genève, Paris, Londres, Madrid et Berlin -, dans lesquelles aurait vécu ce personnage. À travers ces "portraits" (chacun des épisodes racontant le séjour de Margarethe Grünewald/Rita Jones), le cinéaste se raconte lui-même dans des lieux qu'il affectionne particulièrement, et réalise des films d'un genre qu'il n'a jamais complètement déserté, y compris dans ses "fictions", le récit autobiographique.Ce DVD reprend les deux premiers films du projet "Rita Jones", réalisés à Madrid et à Berlin. -La Gran Via de Rita Jones :Aïda erre dans les rues de Madrid sur les traces de sa grand-mère, une certaine Rita Jones, star du music-hall d'origine juive allemande, déportée pendant la Seconde Guerre mondiale... Le film se présente comme un documentaire sur la Gran Via: Morder filme longuement les façades des immeubles qui composent la rue tandis qu'une voix off égrène les souvenirs de cette grand-mère hors du commun. Ici, Joseph Morder recherche les traces de son histoire au hasard des images dérobées à cette grande artère de la capitale espagnole.-"Ich bin ein Berliner" : Chronique de la relation du réalisateur avec Berlin à travers des images du passé et celles des changements en 1998."Ce film est une chronique de ma relation, paradoxale et amoureuse, avec Berlin. C'est aussi un état des lieux subjectif. À travers des images du passé (en Super 8) et du présent (en vidéo), je me promène dans une ville en pleine mutation tout en me posant la question: "Est-ce que moi, Juif d'origine polonaise dont une grande partie de la famille a été décimée dans la Shoah, je peux être berlinois aussi?"" Joseph Morder
Années 1990 --- Guerre mondiale, 2e, 1939-1945 --- Histoire --- Guerre mondiale, 1re, 1914-1918 --- Espace urbain --- 20e siècle --- Racisme --- Archives --- Super 8 --- Nazisme --- Cheminement --- Allemagne --- Berlin --- Madrid --- Espagne
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Mouna, Aguigui, --- France --- Biography.
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-Ceci n'est pas un film : Un message de mon oeil vers ton oeil.-La perle :Une jeune fille se prépare. Demeurant toujours dans la même pose, elle se regarde. A mesure qu'elle enfile vêtements et foulards, nous comprenons que nous la connaissons...-De passage :Portrait d'une jeune femme seule. Des messages sans réponses adressés par l'amoureux absent se posent sur son visage.-Porte de Choisy : Au cours d'une conversation triviale, en plein jeu de séduction, un portrait de la muse aimée par son peintre aimant.-L'insupportable : Un homme sans portable ??-L'homme qui aimait les fleurs :Un voyage dans l'univers psychotique d'un homme ordinaire qui vient de commettre un meurtre.-L'appel : Un homme et une femme se rencontrent dans un square et dialoguent des théories. L'appel téléphonique considéré comme concept philosophique... selon Martin Heidegger et Avital Ronell.-Sorrow : Un jeune homme quitte son pays natal pour Istanbul. Visage de l'initiation et mélancolie du passage.-Passages : La caméra se fait les yeux du filmeur aveugle et devient l'unique témoin visuel de cette promenade dans le noir.-Jeunesse : Un jeune homme se promène, craie à la main, et trace des lignes sur le sol...-Buenos Aires fantasma : Visite commentée dans les rues de Buenos Aires.-Slowburn : Un agent de la circulation, au bord d'une voie express à Shanghai, tente vainement de se protéger de la pluie battante au moyen d'un parasol défaillant.-Télévision, oeil de demain :Dans un premier temps, un exposé sur les techniques de la production télévisuelle en 1947 (caméras, plateaux, régie...). Le tournage a lieu en studio et les cameramen filment un spectacle de flamenco. Le film imagine ensuite les utilisations et applications de la télévision dans le futur dans différents domaine. Les images annoncent, tour à tour, le visiophone, le portable, l'internet, la télésurveillance et les images virtuelles.
Années 2000 --- Téléphone --- France
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