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L'analyse psychologique de films de D. Lynch se base sur l'approche du dispositif cinématographique inhérent à l'analyse. Le point de vue du spectateur est abordé en fonction des différentes identifications possibles étudiées à travers son régime métapsychologique. L'auteur et ses oeuvres seraient considérés comme si le premier était l'auteur d'un récit comparable au récit d'un test projectif et plus particulièrement celui d'un T.A.T. par lequel on étudie son regard sur le monde et sur lui-même, regard qui intègre inévitablement le spectateur dans son expression
ANALYSE DE CONTENU --- CINEMA --- IDENTIFICATION --- PERSONNALITE -- TRAIT --- TEST PROJECTIF
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Les décès d'enfants sont fréquents dans les services de soins intensifs et d'urgences pédiatriques ou de néonatologie. Les équipes soignantes sont souvent déstabilisées par ces événements intenses, chaque professionnel pouvant voir ses capacités de faire face mises au défi. L'accompagnement des soignants est nécessaire pour éviter que ces situations entraînent de la souffrance au travail et que le travail lui-même soit en souffrance. Le dispositif original présenté dans ce livre, l'analyse post-événementielle, se révèle déterminant dans le contexte actuel des organisations de soins et face aux enjeux éthiques des situations qui questionnent toujours plus les professionnels. L'auteure décrit les principales caractéristiques de cet outil ainsi que ses modalités méthodologiques. Elle se fonde sur sa longue mise en pratique de cette expérience devenue pérenne, le dispositif s'étant étendu de service en service sur une vingtaine d'années. L'outil, reposant sur l'analyse de pratiques et la mise en récit collectif par les professionnels impliqués dans chaque situation, est systématiquement déployé après la mort d'un enfant. De nombreux exemples de situations qui ont fait l'objet d'une analyse post-événementielle permettent de comprendre au plus près les nombreux bénéfices de cette démarche. En effet, au-delà d'améliorer la capacité individuelle de surmonter les répercussions émotionnelles importantes que génère le décès d'un enfant, il est possible d'agir sur les pratiques de soins et l'organisation du travail. Ce sont ainsi des référentiels de bonnes pratiques qui se constituent de séance en séance. Cet ouvrage vise à aider l'ensemble des acteurs de la pédiatrie. La présentation pédagogique du dispositif permettra aux équipes en demande de soutien d'expérimenter sa mise en oeuvre et aux organisations soucieuses de bientraiter les professionnels d'en comprendre les apports. L'objectif de l'analyse post-événementielle est d'oeuvrer au renforcement de pratiques humanisantes, l'accompagnement éthique des soignants favorisant celui des familles confrontées à la fin de vie d'un enfant.
Accompagnement de la fin de vie --- Pédiatrie --- Accompagnement de la fin de la vie --- Palliative Care --- Hospice Care --- Child --- Infant, Newborn. --- Soins palliatifs pédiatriques --- Éthique médicale. --- ethics --- Ethique --- Enfants malades en phase terminale --- Ethics, Medical --- Infant, Newborn, Diseases - therapy --- Euthanasia - ethics --- Infant, Newborn --- Child. --- ethics.
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Hôpital --- Service de secours --- Analyse organisationnelle --- Hospitalisation --- Communication intra-entreprise --- Relation soignant-soigné --- Organisation du travail
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L’hospitalisation représente une rupture dans la vie de l’enfant. Une rupture de ses habitudes, de son milieu d’origine ; par conséquent, être hospitalisé peut générer de l’angoisse ainsi que différentes peurs relatives à la douleur, à l’inconnu, ou encore à la mort. Ces angoisses sont normales puisque l’enfant ne dispose d’aucun repère et se voit obligé de passer parfois plusieurs jours dans un univers qu’il ne connait pas et dont les règles de vie et l’approche du corps sont très différentes de ce qu’il connait. Pour pallier à ces angoisses et permettre à l’enfant d’acquérir un sentiment de contrôle de son environnement, il est possible de lui apporter des informations quant à son séjour. Ces informations sont importantes et permettent de donner un sentiment de familiarité à l’enfant, ce qui est sécurisant et diminue les angoisses. Informer l’enfant, c’est tenir compte de ses besoins en information ainsi que de son niveau de développement. C’est aussi respecter certains critères qui permettent à l’information d’être efficace. Pour se faire, l’humanisation des soins dispose de plusieurs outils d’information. Certains sont bien connus et utilisés dans beaucoup d’hôpitaux mais d’autres ont été créés par des services en particuliers et sont plus artisanaux. Toutefois, informer un enfant doit se faire selon certaines règles et cela ne dépend malheureusement pas de la volonté des personnes d’accompagner les enfants et de leur permettre de vivre l’hospitalisation de la manière la plus positive possible. Dans ce travail, nous tentons de répondre à la question de l’utilité et de l’efficacité de différents outils et les comparant et en analysant leurs forces et leurs faiblesses. En effet, tous les outils ne répondent pas aux mêmes besoins et aux mêmes exigences d’organisation des services. Nous essayons également de dégager les raisons qui font qu’un outil est réapproprié par les soignants, ainsi que les résistances et les enjeux existant dans toute démarche qui demande une modification des pratiques et une nouvelle organisation.
Hospitalisation -- Aspect psychologique --- Enfants -- Soins hospitaliers --- Hôpitaux -- Services de pédiatrie --- Education des patients --- Relation personnel médical-patient --- Soins infirmiers en pédiatrie --- Soins hospitaliers -- Aspect psychologique --- Sciences de la santé humaine > Pédiatrie --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique
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Au cours des dernières années, il semble que les consultations psychologiques pour des problématiques comportementales ne cessent d'augmenter. La littérature concernant cette thématique est ample et variée. Cependant, rares sont les études qui se penchent sur l'émergence de l'agressivité chez les enfants âgés de moins de cinq ans. L'objet de ce mémoire propose d'étudier l'émergence de l'agressivité en lien avec la question des pratiques parentales. La population cible de ce travail sont des enfants âgés de moins de cinq ans consultant pour une problématique comportementale. Nous nous poserons la question suivante : existe-t-il un lien entre les pratiques parentales et l'émergence de comportements agressifs ? La littérature recensée nous a permis d'énoncer l'hypothèse selon laquelle des attitudes parentales correspondant à des pratiques soit trop intransigeantes soit trop laxistes favoriseraient le développement de comportements agressifs chez le jeune enfant. Pour répondre à cette hypothèse nous avons rencontré trois familles consultantes. Les outils utilisés étaient les suivants : un entretien semi-structuré, l'utilisation de questionnaires standardisés, l'observation d'une interaction ludique entre l'enfant et son parent et de l'enfant seul. Cette recherche qualitative nous a permis de mettre en évidence la présence de pratiques éducatives inconsistantes pouvant entraîner l'émergence d'agressivité chez ces enfants. En effet, nous avons observé l'utilisation de méthodes soit intransigeantes, soit laxistes de la part de ces familles. Ces méthodes très fluctuantes ne semblent pas fournir à l'enfant un cadre de normes structurant.
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Le psychodrame est une thérapie par le jeu de rôle.Les techniques diverses et variées, les mécanismes tels que les défenses,la projection,l’identification et l’inconscient semblent enfermer le psychodrame dans un théâtre thérapeutique.Le fait que le psychodrame comporte une thérapie des rôles et une implication corporelle importante permet au sujet d’accéder à une conscience réflexive.En effet, l’individu peut se mettre à la place de l’autre pour se regarder.Cette place qui se joue habituellement entre le sujet et le thérapeute se rejoue ici dans le miroir social du groupe.Ces échanges verbaux et agis permettent donc aux individus de comprendre comment et pourquoi ils se comportent de telles manières dans une situation donnée, réelle ou imaginaire, qui est présente, passée ou encore future.Le corps a un rôle de médiateur entre l’espace de perception et l’espace imaginaire.Les adolescents ont un besoin fondamental de ce miroir social du groupe.Cela se remarque de plus en plus avec les réseaux sociaux où le besoin de reconnaissance est important, besoin narcissique d’être reconnu par l’autre.Les jeunes peuvent aussi expérimenter leur choix et tester leur limite avec autrui.C’est un espace où ils peuvent être acteur de leur vie.Ainsi, le psychodrame peut répondre à la demande des adolescents concernant les expériences et les limites qu’ils ont besoin de tester.Cette recherche se concentre sur une population de cinq jeunes âgés de 12 à 16 ans.Le groupe est composé de trois filles et de deux garçons.Deux de ces jeunes ont vécu des traumatismes, tels que de la violence, du harcèlement à l’école ou encore des abus sexuels. La méthodologie employée est l’observation, qui s’est déroulée lors d’un stage d’improvisation de cinq jours dans une Maison des Jeunes.Nous avons fait le choix de filmer les séances de psychodrame pour pouvoir observer le non verbal et écouter le verbal.Nous avons également choisi de procéder à des entretiens semi-structurés pour avoir le ressenti des jeunes dans l’après-coup de leur semaine.Nous aurons principalement deux démarches, la première concerne les comportements adoptés par les jeunes durant le psychodrame.Quels sont les mécanismes psychiques qui entrent en jeu?Existe-t-il des différences entre les jeunes qui ont vécu un traumatisme manifeste et les autres?La seconde concerne les effets des séances sur les jeunes.Quels sont ces effets?
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Introduction. La maltraitance impacte le développement ainsi que l'adaptation de nombreux enfants. Ce mémoire cherche à évaluer son impact sur le développement socio-affectif de jeunes enfants placés en institution. Hypothèses. L'hypothèse principale est que les enfants ayant connu des faits de maltraitance obtiennent des scores indiquant des niveaux d'anxiété, d'irritabilité, d'isolement, de comportements agressifs et de dépendance à l'adulte supérieurs à ceux des enfants issus de la population générale, ainsi qu'à ce qu'ils soient moins enclins à se montrer sensibles et à l'écoute des besoins et préférences de leurs pairs. Ces difficultés devraient par ailleurs se traduire par l'adoption de comportements spécifiques lors d'activités ludiques (prévalence de jeux solitaires ou en parallèle). Méthodes. Pour tester les hypothèses, le Profil Socio-Affectif ainsi que la Play Observation Scale ont été utilisés auprès de 7 enfants placés en institution pour maltraitance. Un groupe de 47 enfants issus d'une population "tout venant" à également été soumis au PSA. Résultats. Les enfants maltraités se présentent comme étant plus irritables, isolés, moins adaptés et même plus déprimés que les enfants issus du groupe contrôle. Cependant, ils ne semblent pas présenter des niveaux d'anxiété, d'agressivité ainsi que de dépendance à l'adulte supérieurs à ceux de leurs semblables non maltraités, et ils ne diffèrent pas non plus de ces derniers en ce qui concerne leurs habiletés à prendre en considération la perspective et les préférences d'autrui. Les observations ne confirment que partiellement les hypothèses liées aux tendances sociales présentées lors de moments ludiques et se doivent d'être considérées avec beaucoup de prudence. Conclusion. Cette étude conforte l'idée selon laquelle la maltraitance impacte négativement le développement socio-affectif des enfants, et ce dès l'âge préscolaire. Elle souligne l'importance d'évaluer les habiletés sociales et affectives spécifiquement touchées ainsi que de chercher à évaluer l'impact des difficultés pouvant être présentées à l'âge préscolaire sur le devenir de ces enfants à l'adolescence ou encore à l'âge adulte.
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Objectifs : L’objectif de cette étude était de déterminer l’importance de la préparation à l’IRM à travers diverses variables comme l’anxiété, le fonctionnement familial et les pratiques éducatives parentales. Méthodologie : Notre échantillon était composé de 21 enfants, âgés entre 5 et 16 ans, et de 21 parents. Le recrutement de la population s’est réalisé dans la salle d’attente du service d’humanisation des soins de la Clinique de l’Espérance. Un design longitudinal a été mis en place pour cette étude qui comprend 4 temps. Lors du T1, le parent répondait à trois questionnaires : l’Inventaire d’Anxiété Etat-Trait (STAI-Y, Spielberger et al., 1993), le Family Assessment Device (FAD, Epstein, Baldwin et Bishop, 1983) et l’Evaluation des Pratiques Educatives Parentales (EPEP, Meunier et Roskam, 2007). Pendant ce temps, l’enfant répondait à l’Inventaire d’Anxiété Etat-Trait (STAI-C, Turgeon et Chartrand, 2003). Lors des temps 2 et 3, le parent et l’enfant répondaient de nouveau aux questionnaires d’anxiété. Lors du temps 4, l’enfant répondait à deux questions post-examen. De plus, l’étude comprenait une partie qualitative qui permettait d’observer la préparation à l’IRM ainsi que l’examen de l’enfant. Résultats : Concernant la partie quantitative, nous avons pu observer une diminution significative de l’anxiété, autant chez l’enfant que chez le parent, après la préparation. Par contre, avant l’examen, nous nous sommes étonnés d’une augmentation significative de l’anxiété chez l’enfant et le parent. Par ailleurs, nous avons pu mettre en évidence des liens positivement significatifs entre le fonctionnement familial et l’anxiété du parent au T3 ainsi qu’entre le fonctionnement familial et l’anxiété générale du parent. De même, un lien entre le fonctionnement familial et l’anxiété du parent au T1 tend à être significatif. En revanche, aucun lien significatif n’a été mis en évidence entre l’anxiété des enfants et les pratiques éducatives parentales. Enfin, un lien entre l’anxiété général de l’enfant et celle du parent s’approchait de la significativité sans pour autant l’atteindre. Concernant la partie qualitative, nous observons une forme d’apprentissage de l’enfant et du parent, une intégration de l’information au rythme de l’enfant et une évolution plutôt positive lorsqu’on observe la simulation puis l’examen. Conclusion : L’évolution de l’anxiété au cours du temps nous a apporté des résultats intéressants. Cependant, il est nécessaire de refaire cette étude sur un échantillon plus grand pour obtenir plus de résultats significatifs.
préparation IRM --- IRM --- Imagerie --- enfants --- anxiété --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique
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Objectifs : Ce mémoire a pour objectif d’évaluer l’existence de liens entre la détresse péritraumatique de l’enfant et celle de son parent en hospitalisation ainsi que le lien entre l’ESPT de l’enfant et celui de son parent. De plus, ce travail vise à explorer l’effet aidant, maintenant ou aggravant du fonctionnement familial et des pratiques éducatives sur les symptômes d’ESPT. Méthodologie : notre population est composée de 30 enfants, âgés de 8 à 16 ans, et leurs parents. Notre échantillon a été recruté dans deux services de pédiatrie générale liégeois à la suite de divers motifs médicaux. En raison d’un design longitudinal, les dyades parent-enfant ont été évaluées à deux reprises (en pédiatrie et 5 à 8 semaines post-hospitalisation. Lors de la première évaluation, les enfants et les parents étaient invités à remplir l’inventaire de détresse péritraumatique (Brunet et al., 2001). Lors de la deuxième évaluation, il était demandé aux enfants de remplir le CPTS-RI (Frederick et al., 1992) qui évalue les symptômes post-traumatiques ainsi que le PEPPE (Hazzard, 1983) qui mesure les pratiques éducatives parentales. Les parents étaient également invités à remplir des questionnaires, le PCL-S (Weathers et al., 1993) qui évalue les symptômes post-traumatiques, le FAD (Epstein et al., 1983) qui mesure le fonctionnement familial général ainsi que le FFQ (McFarlane, 1987a) qui permet d’évaluer le fonctionnement familial post-événement traumatique. Résultats : Nous avons pu observer une association positive qui tend vers la significativité entre les réactions immédiates de l’enfant et celles du parent. D’autre part, nous avons pu mettre en évidence que la détresse péritraumatique semble être un véritable prédicteur des symptômes post-traumatiques chez l’enfant et chez son parent. En ce qui concerne les variables familiales, nous avons souligné l’association significative entre les pratiques éducatives paternelles négatives et la présence d’une symptomatologie post-traumatique chez l’enfant. De plus, nous avons également constaté un lien significatif entre des changements dans le fonctionnement familial (plus d’irritabilité et de surprotection) consécutif à l’hospitalisation et la sévérité des symptômes d’ESPT du parent. Conclusion : La détresse péritraumatique semble être un prédicteur des symptômes post-traumatiques 5 à 8 semaines après l’hospitalisation. Les pratiques parentales perçues par l’enfant semblent être une variable pertinente dans l’analyse du développement de symptômes post-traumatique chez l’enfant. Cependant, d’autres études incluant des échantillons plus grands sont nécessaires pour examiner plus précisément les liens entre certaines variables et comprendre le fonctionnement des mécanismes sous-jacents.
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Objectif : L’objectif de cette recherche est de mettre en lien le phénomène de résilience chez un enfant ayant vécu un quelconque traumatisme et la personnalité de l’enfant. Nous nous interrogeons en quoi le type de personnalité va avoir un impact sur le phénomène de résilience. Nous allons comparer ce lien entre les enfants qui ont vécu de la maltraitance (violence physique, psychologique, institutionnelle ou négligences) et les enfants tout-venants. Méthodologie : Notre population concernée sont des enfants entre 8 et 12 ans, avec 21 enfants qui font l’objet d’un placement par le SAJ/SPJ dans un foyer ou SAAE et 42 enfants tout-venants d’écoles primaires. Les enfants devront remplir trois questionnaires. Il y a l’échelle PCL-S qui permet d'évaluer l'impact de l'événement (ou des événements) traumatique(s) sur l'enfant, validée par Yao et al. (2003) avec 17 items. Ensuite, nous avons le CYRM-28 permettant d’évaluer la résilience avec différents sous-scores, validé par Liebenberg, Ungar et Van de Vijver (2012) avec 28 items. Et enfin, les enfants rempliront le questionnaire des cinq facteurs pour enfants (BFQ-C) de 65 items de Barbaranelli et al. (2003). Auquel l’enfant obtiendra cinq notes aux cinq dimensions fondamentales qui sont l’Extraversion/Energie, l’Agréabilité, la Conscienciosité, l’Instabilité Emotionnelle et l’Ouverture/Intellectualité. Résultats : Nous avons pu observer une corrélation modérée entre les quatre dimensions de la personnalité (Extraversion, Agréabilité, Conscienciosité et Ouverture) et un niveau élevé de résilience. De plus, le total individuel de la résilience possède des corrélations légèrement plus fortes que les autres totaux, excepté pour la dimension Ouverture/ Intellectualité qui a un lien plus fort avec le total contextuel de la résilience. Nous avons pu aussi observer qu’au sein de deux fratries, le niveau de résilience est différent. Deux hypothèses n’ont été que partiellement confirmée, celle concernant le score du caregiving entre les deux groupes et celle de la différence entre les filles et les garçons au niveau de la résilience. En effet, la première ne semble pas significative dans notre échantillon, mais frôle pourtant cette probabilité. Quant à l’autre hypothèse, cela s’est vérifié qu’avec les filles du groupe des enfants placés. Conclusion : Cette étude a permis de montrer le lien entre les facteurs de la personnalité qui peuvent jouer un rôle dans le processus de résilience. Cependant, il est possible que le biais de désirabilité sociale soit présent dans cette recherche. Il serait donc intéressant de pouvoir contourner ce biais, mais aussi de refaire passer ces trois questionnaires (ou de changer l’échelle du PCL-S qui n’est peut-être pas adapté aux enfants) sur un plus grand nombre de personnes pour voir si nous obtenons des résultats encore plus significatifs.
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