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Stilistics --- Sociolinguistics --- Language and languages --- Linguistics --- Linguistic science --- Science of language --- Foreign languages --- Languages --- Anthropology --- Communication --- Ethnology --- Information theory --- Meaning (Psychology) --- Philology --- Language and languages. --- Linguistics. --- Langage et langues --- Philosophie --- Philosophie du langage
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Mass media and crime. --- Mass media and criminal justice. --- Capital punishment --- Criminals. --- Criminals --- Médias et criminalité --- Médias et justice pénale --- Peine de mort --- Criminels --- Réhabilitation --- Rehabilitation.
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Si pour bien des intellectuels le monde contemporain va trop vite – la vitesse hystérique de ce dernier n'ayant de cesse de leur couper la parole – Catherine Mavrikakis, elle, choisit de se laisser porter par cette vitesse et d'habiter le temps mondialisé, quand bien même il menacerait le rayonnement de l'écrit. Son essai, Condamner à mort, s'applique à penser, à partir de ces vitrines du vivre-ensemble que sont Internet et la télévision, les solutions qu'offre la loi pour gérer l'assassin : suppression des personnes, camisole chimique, enfermement. Car dans ces solutions et dans leurs réceptions diverses à l'écran, se donnent à lire les implicites à partir desquels le social est tissé. De Timothy McVeigh, le terroriste américain qui a fait exploser un édifice fédéral, à Aileen Wuornos, la prostituée meurtrière de l'Interstate 75 qui, comme lui, a succombé à la peine capitale, en passant par Andrea Yates, cette mère cinq fois infanticide, aujourd'hui emprisonnée et contrôlée médicalement, et Armin Meiwes, désormais sous les verroux, qui a mangé un homme rencontré par le biais d'Internet, Catherine Mavrikakis analyse des cas spectaculaires et dramatiques qui ont nourri la chronique durant les dernières années. Elle s'attache à fourbir des armes contre la peine de mort et plonge ici « dans ce temps de la simultanéité où, comme toute bonne nageuse synchronisée, elle s'efforce de garder le sourire et surtout de ne pas respirer ».
Criminals --- Capital punishment in mass media. --- Rehabilitation. --- Prisoners --- Reform of criminals --- Rehabilitation of criminals --- Rehabilitation --- Corrections --- Alternatives to imprisonment --- Criminalité dans les médias. --- Criminals. --- Médias et justice pénale. --- Peine de mort dans les médias. --- Criminels. --- Réhabilitation. --- Crime in mass media. --- Mass media and criminal justice. --- Criminal justice and mass media --- Criminal justice, Administration of --- Crime and criminals in mass media --- Mass media --- Crime and criminals --- Delinquents --- Offenders --- Persons --- Crime --- Criminology --- médiologie --- criminel --- cinéma --- prison --- télévision
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Si pour bien des intellectuels le monde contemporain va trop vite - la vitesse hystérique de ce dernier n'ayant de cesse de leur couper la parole - Catherine Mavrikakis, elle, choisit de se laisser porter par cette vitesse et d'habiter le temps mondialisé, quand bien même il menacerait le rayonnement de l'écrit. Son essai, Condamner à mort, s'applique à penser, à partir de ces vitrines du vivre-ensemble que sont Internet et la télévision, les solutions qu'offre la loi pour gérer l'assassin : suppression des personnes, camisole chimique, enfermement. Car dans ces solutions et dans leurs réceptions diverses à l'écran, se donnent à lire les implicites à partir desquels le social est tissé. De Timothy McVeigh, le terroriste américain qui a fait exploser un édifice fédéral, à Aileen Wuornos, la prostituée meurtrière de l'Interstate 75 qui, comme lui, a succombé à la peine capitale, en passant par Andrea Yates, cette mère cinq fois infanticide, aujourd'hui emprisonnée et contrôlée médicalement, et Armin Meiwes, désormais sous les verroux, qui a mangé un homme rencontré par le biais d'Internet, Catherine Mavrikakis analyse des cas spectaculaires et dramatiques qui ont nourri la chronique durant les dernières années. Elle s'attache à fourbir des armes contre la peine de mort et plonge ici " dans ce temps de la simultanéité où, comme toute bonne nageuse synchronisée, elle s'efforce de garder le sourire et surtout de ne pas respirer".
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Si pour bien des intellectuels le monde contemporain va trop vite - la vitesse hystérique de ce dernier n'ayant de cesse de leur couper la parole - Catherine Mavrikakis, elle, choisit de se laisser porter par cette vitesse et d'habiter le temps mondialisé, quand bien même il menacerait le rayonnement de l'écrit. Son essai, Condamner à mort, s'applique à penser, à partir de ces vitrines du vivre-ensemble que sont Internet et la télévision, les solutions qu'offre la loi pour gérer l'assassin : suppression des personnes, camisole chimique, enfermement. Car dans ces solutions et dans leurs réceptions diverses à l'écran, se donnent à lire les implicites à partir desquels le social est tissé. De Timothy McVeigh, le terroriste américain qui a fait exploser un édifice fédéral, à Aileen Wuornos, la prostituée meurtrière de l'Interstate 75 qui, comme lui, a succombé à la peine capitale, en passant par Andrea Yates, cette mère cinq fois infanticide, aujourd'hui emprisonnée et contrôlée médicalement, et Armin Meiwes, désormais sous les verroux, qui a mangé un homme rencontré par le biais d'Internet, Catherine Mavrikakis analyse des cas spectaculaires et dramatiques qui ont nourri la chronique durant les dernières années. Elle s'attache à fourbir des armes contre la peine de mort et plonge ici " dans ce temps de la simultanéité où, comme toute bonne nageuse synchronisée, elle s'efforce de garder le sourire et surtout de ne pas respirer".
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Si pour bien des intellectuels le monde contemporain va trop vite - la vitesse hystérique de ce dernier n'ayant de cesse de leur couper la parole - Catherine Mavrikakis, elle, choisit de se laisser porter par cette vitesse et d'habiter le temps mondialisé, quand bien même il menacerait le rayonnement de l'écrit. Son essai, Condamner à mort, s'applique à penser, à partir de ces vitrines du vivre-ensemble que sont Internet et la télévision, les solutions qu'offre la loi pour gérer l'assassin : suppression des personnes, camisole chimique, enfermement. Car dans ces solutions et dans leurs réceptions diverses à l'écran, se donnent à lire les implicites à partir desquels le social est tissé. De Timothy McVeigh, le terroriste américain qui a fait exploser un édifice fédéral, à Aileen Wuornos, la prostituée meurtrière de l'Interstate 75 qui, comme lui, a succombé à la peine capitale, en passant par Andrea Yates, cette mère cinq fois infanticide, aujourd'hui emprisonnée et contrôlée médicalement, et Armin Meiwes, désormais sous les verroux, qui a mangé un homme rencontré par le biais d'Internet, Catherine Mavrikakis analyse des cas spectaculaires et dramatiques qui ont nourri la chronique durant les dernières années. Elle s'attache à fourbir des armes contre la peine de mort et plonge ici " dans ce temps de la simultanéité où, comme toute bonne nageuse synchronisée, elle s'efforce de garder le sourire et surtout de ne pas respirer".
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