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Dans les années 1950 et jusqu'à la fin des années 1960, la science-fiction a joué, pour nombre d'artistes et de théoriciens anglais et américains, tant au plan iconographique qu'au plan méthodologique, un rôle stratégique : celui d'un véritable objet régulateur utilisé pour déplacer l'activité artistique loin de ses coordonnées conventionnelles. Dans cette entreprise, Eduardo Paolozzi côtoie Reyner Banham, Robert Smithson ou James Graham Ballard, Peter Hutchinson voisine avec Lawrence Alloway pour explorer ce que ce dernier a appelé « le front élargi de la culture » qui devient ici un ensemble d'images et d'idées rétrocédant en deçà du pop art, là où la subculture se fait relais d'invention. Passer l'art novateur au filtre de la SF, c'est par conséquent, pour les créateurs et les penseurs de l'époque mettant en œuvre cette opération théorique et plastique, ébranler radicalement les cadres d'une esthétique dominante – le formalisme – dont ils auront été les critiques en acte. Il en résulte notamment une révision des notions de passé, de présent et de futur dont Ballard, cet « anticipateur qui ne croit pas en l'avenir » comme il est dit dans l'ouvrage, est le fer de lance. Ce livre propose les pièces de ce dossier crucial pour la compréhension de l'art actuel.
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"Fantasmapolis, la ville contemporaine et ses imaginaires" est le fruit d'une réflexion sur la ville à l'ère de la globalisation. L'exposition réalisée dans ce cadre réunit des artistes qui abordent la ville contemporaine dans des perspectives utopiques, critiques ou poétiques. L'association de leurs oeuvres crée un paysage urbain fantasmagorique plutôt qu'elle ne témoigne d'un regard documentaire. La circulation accrue des personnes et la communication accélérée des informations transforment les espaces urbains en lieux de transit où l'individu tend à disparaître. Reste alors un décor architectural immobile, suspendu dans le temps et dans l'espace. Les artistes proposent des visions de villes décontextualisées : cités existantes ou imaginaires, elles forment un univers urbain fantasmé. Conçu à la fois comme un complément de l'exposition et un ouvrage théorique, ce catalogue rassemble des textes qui reflètent une recherche pluridisciplinaire autour de la ville contemporaine.
Cities and towns in art --- Architecture in art --- City planning in art --- Villes dans l'art --- Architecture dans l'art --- Urbanisme dans l'art --- Exhibitions. --- Exhibitions --- Expositions --- Utopie --- Urbanisation --- Ville --- Ville "idéale" --- Ville imaginaire --- Communication --- Villes --- Urbanisme --- Dans l'art
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Les écrits d'artistes ne constituent pas une catégorie en soi. Leur typologie reste à décrire. Ils supposent toujours une double lecture. Même quand ils ressortissent au genre lui-même flou de la critique d'art, il est impossible de les dissocier de l'activité artistique de leur scripteur. Ils participent autant à la conception de son œuvre qu'à la construction du champ dans lequel ils interviennent. Ils sont amphibies. Les écrits d'artistes sont critiques par nature : ils traitent solidairement des conditions de possibilité de l'œuvre et du discours sur l'art. De même sont-ils artistiques par principe : ils déplacent simultanément les lignes de l'activité et de la littérature artistiques. Ainsi ce premier volume des écrits de Mel Bochner constitue-t-il un double événement. Il révèle dans toute son ampleur une dimension décisive d'un artiste-clé de la scène new-yorkaise des années soixante et soixante dix en même temps qu'il rassemble un dossier critique - théorique et plastique - d'une alacrité et d'une lucidité exemplaires, désormais indispensable à toute étude de cette période si déterminante de l'histoire de l'art
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Poetry --- texts [document genres] --- poetry --- Conceptual --- Minimal --- Andre, Carl --- Andre, Carl, --- texts [documents] --- kunst en poëzie
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Comment interpréter la présence de quelques formes géométriques dans le cinéma de fiction, non pas tant pour leur fonction narrative ou ornementale, qu'à proportion des connexions qu'elles engagent avec l'histoire et la théorie de l'art ? On sait ce que la perspective linéaire doit aux grilles, damiers et autres cubes — tous éléments princeps de l'élaboration de son illusion de profondeur. Mais on ne s'est pas suffisamment étonné du fait que ces outils au service de l'illusion apparaissent aussi bien en tant que motifs, logés au cœur des tableaux comme autant de figures rappelant la fabrique de l'image. Si le cinéma n'a guère besoin du treillis de Dürer ou du damier de Filippo Lippi pour élaborer son espace avec (ou sans) son illusion de profondeur, il offre cependant au regard quantité de damiers (ainsi, dans La Notte, 1961), de grilles (depuis The Incredible Shrinking Man, 1957, jusqu'à Tron, 1982), de cubes (Cube, 1997). Nous gageons que ces modules géométriques sont les indices de problèmes de représentation peu ou prou anciens dont les films se ressaisissent trouvant, dans la fiction, le moyen de remettre en jeu ou en scène leur histoire
Géométrie --- Au cinéma --- Esthétique --- Art et cinéma. --- Perception spatiale. --- Cinéma --- Au cinéma. --- Esthétique. --- Geometry in motion pictures --- Art and motion pictures --- Space perception --- Motion pictures --- Art et cinéma --- Perception spatiale --- In motion pictures. --- Aesthetics --- Au cinéma. --- Esthétique.
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In Tehran, children walking home from school would scrape their pencils against the walls, tracing their paths through the city and chanting “follow this line.” Siah Armajani (born 1939) recounts that this simple gesture speaks to the desire to mark one’s presence in space. Siah Armajani: Follow This Line asks visitors to follow the artist across a shifting terrain, first within the context of pre-revolution Iran, and later, postwar and present-day America. Though Armajani is best known today for his works of public art—bridges, gazebos, reading rooms—located across the United States and Europe, this groundbreaking exhibition argues for a thoughtful reexamination of his studio as the site of a rich and generative practice. His works engage a range of references: from Persian calligraphy to the manifesto, letter and talisman; from poetry to mathematical equations and computer programming; from the abstract expressionist canvas to American vernacular architecture, Bauhaus design and Russian constructivism. Published to accompany Armajani’s first major US retrospective, this catalog is his most comprehensive publication to date. Developed in close collaboration with the artist, it offers new scholarship on his six-decade-long career and also includes previously unpublished texts. Contributions by Nazgol Ansarinia, Sam Durant, Barbad Golshiri and Slavs and Tatars speak to Armajani’s influence on a younger generation of artists based in the United States, Europe and the Middle East.
Armajani, Siha --- Art --- stairs --- calligraphy [process] --- public art --- vernacular architecture --- gazebos --- bridges [built works] --- digital --- mixed media works --- Constructivist --- Bauhaus --- Abstract Expressionist --- Armajani, Siah --- Iran --- digital art [visual works] --- exile [sociological concept] --- United States --- ART / General. --- Male artists --- Male artists. --- Public art --- Public art. --- Sculpture, American --- Sculpture, American. --- Sculpture, Modern --- Sculpture, Modern. --- Themes, motives. --- Armajani, Siah, --- Criticism and interpretation. --- 1900-2099. --- Minnesota. --- stairs [series of steps] --- United States of America
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