Listing 1 - 10 of 26 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Rousseau décida un jour de s’habiller en Arménien. Il déclara : « Et je ne portai plus d’autre habit ». Il était nécessaire d’examiner ce choix vestimentaire décisif à la lumière de l’œuvre, incluant l’expérience vécue et les lectures du philosophe, pour montrer que loin de ressortir au caprice ou à l’utilitaire, loin d’être anecdotique, l’habit arménien s’accorde avec l’univers de pensée de Rousseau. C’est l’habit qu’il habite. Les différentes dimensions symboliques de l’habit arménien examinées ici confèrent à ce choix vestimentaire une valeur de signe, éclairant les questions philosophiques et politiques cruciales aux yeux de Rousseau : l’immortalité de l’âme, le commerce entre les hommes. L’habit arménien recouvre le moi physique, imaginaire, musical et spirituel du citoyen de Genève, il lui procure l’aura du mage, l’animalise et le divinise tout à la fois. Seul l’habit arménien aura montré Rousseau dans toute la vérité de sa nature et l’aura désigné comme ce qu’il est : « autre ».
Rousseau, Jean-Jacques --- Philosophy, French --- Philosophie française --- Armenian influences --- Influence arménienne --- Rousseau, Jean-Jacques, --- Armenians --- Clothing --- Themes, motives --- Philosophie francaise --- Influence armenienne --- Philosophie française --- Influence arménienne --- Armenians - Clothing --- Rousseau, Jean-Jacques, - 1712-1778 --- Rousseau, Jean-Jacques, - 1712-1778 - Clothing --- Rousseau, Jean-Jacques, - 1712-1778 - Themes, motives
Choose an application
L'ouvrage établit les liens unissant la représentation de l'espace public à celle du corps, à travers un imaginaire médical ancré chez Platon. L'analyse des passagesde l'Encyclopédie d'Alemberg et Diderot montre comment cet imaginaire joue un rôle essentiel dans la définition moderne du "public", du citoyen et de l'espace public. Parallèlement, les questions radicales posées par Jean-Jacques Rousseau sont examinées dans le Disours sur les sciences et les arts, sorte de thérapie d'une folie collective dont les arts sont le symptôme. Le rôle imparti à l'artiste face au public ressortit,chez Zola, à celui d'une victime sacrifiée sur le mode rituel dyonisiaque opérant une étrange association entre le texte et le leçon d'anatomie. L'émergence du nouvel espace public, mis en place par les autoroutes de la communication et le multimédia est également examinée ici, en ce qu'elle relance sous l'angle inconnu d'un regard sans corps, la problématique de la création et de la perception de l'art. Le livre s'achève sur une analyse du transport public, à travers deux cas (Lisbonne, Bruxelles) mettant en relief le fantasme du corps pathétique, la jonction entre communication et contagion et le rôle de l'art comme déclencheur de citoyenneté.
Literature --- Art --- Environnement --- Kunst --- Milieu --- Public art --- Public spaces --- Art and society --- Art public --- Espaces publics --- Art et société --- Citoyenneté --- --Espace public --- --Transport urbain --- Perception de l'art --- Communication --- Multimédia --- Ecrit théorique --- Analyse de l'art --- Théorie de l'art --- Corps humain --- Espace public --- Social aspects --- Lisbonne --- Bruxelles --- Public art. --- Public spaces. --- Social aspects. --- Art et société --- Transport urbain --- Art - Social aspects
Choose an application
Quel est le rôle de l'oeuvre de l'art dans l'écriture de Michelet et particulièrement dans le livre "Le Peuple"?. L'analyse menée ici tente de révéler le lien entre le pouvoir de l'image et l'image du pouvoir et, par conséquent , l'enjeu que représente l'art dans la question de la tyrannie opposée à la liberté, comme la haine à l'amitié. Matière vivante, le texte de Michelet pose la question du modèle et du cadre (Montaigne, le Musée des Monuments français), celle du génie et de sa forme ou de la capture de l'instant (Rubens) et celle encore de l'art social (Géricault) à l'opposé de la terreur en peinture (David) qu'il détruit par l'écriture. Michelet réalise une leçon d'anatomie où la médusification, qui trouve son écho dans la Révolution française, est non seulement maintenue en suspens mais aussi transformée, par le recours au sacrifie lié à la fête, en une Véronique, vraie image du peuple et autoportrait de Michelet, imprimé sur le linge de coton, indice éoconomique et signe esthéitque, trame et fondement du tableau, nous conviant à regarder et à lire autrement le présent.
Art --- Filosofie --- Kunst --- Philosophie --- Art and literature --- Art in literature --- Art et littérature --- Art dans la littérature --- History --- Histoire --- Michelet, Jules, --- Views on art --- France --- Social conditions --- Conditions sociales --- Ecrit théorique --- Théorie de l'art --- Ecrivain --- Dialogicité --- Corps humain, thème --- Analyse de l'art --- Michelet, Jules --- 19e siècle --- Art et littérature --- Art dans la littérature --- History and Aesthetics --- 19th Century --- Essay --- Views on art. --- Art and literature - France - History - 19th century --- Michelet, Jules, - 1798-1874 - Le Peuple --- France - Social conditions --- Michelet (jules), historien francais, 1798-1874 --- Critique et interpretation
Choose an application
Body [Human ] in art --- Corps humain dans l'art --- Human body in art --- Lichaam [Menselijk ] in de kunst --- Menselijk lichaam in kunst --- Anatomy, Artistic --- Human figure in art --- Medicine and art --- Art, European --- Anatomie artistique --- Médecine et art --- Art européen --- Exhibitions. --- Expositions --- Médecine et art --- Art européen --- Human body --- History --- Anatomy in art --- departement Beeldende Kunst 08 --- anatomietekenen --- tentoonstellingscatalogus --- Academie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles --- ANATOMIE ARTISTIQUE --- CORPS HUMAIN --- ICONOGRAPHIE --- MEDECINE --- DANS L'ART
Choose an application
Choose an application
Kierkegaard adopte différents pseudonymes, enquête à la façon du détective et recourt à des mises en abîme narratives. Sa philosophie indicielle au style si singulier est marquée par les trois stades bien connus de l'esthétique, de l'éthique et du religieux. Se démarquant de l'interprétation habituelle accordant aux trois stades kierkegaardiens une valeur croissante, le présent essai propose une lecture faisant apparaître la dimension métaphysique du stade esthétique. Si le stade religieux du chevalier de la foi culmine en effet dans un ailleurs absolu et ne s'atteint que par un saut, il ne s'ensuit pas que le stade éthique en représente une voie d'accès ni qu'il lui soit donné de supplanter le stade esthétique. L'auteur défend ici, - à travers l'analyse des textes, de la correspondance et des dessins toujours oubliés, dont un autoportrait du philosophe danois - l'idée que le stade esthétique reflète en miroir le stade religieux. Il en incarne l'envers diabolique et s'en rapproche comme son ombre. L'homme de l'éthique se croit bon, l'homme de l'esthétique sait qu'il s'acharne dans le rapport spéculaire à l'autre pour mieux esquiver ce qu'il sait devoir voir. L'éthicien rassure et se rassure dans la bonne conscience, alors que l'esthète interprète les indices et scrute la force d'une présence invisible. D'où le repérage des différents procédés optiques, des dispositifs visuels, des milieux transparents et de la résonance (l'influence d'un Chladni) effectué par l'auteur du présent essai, afin d'examiner leur rôle dans l'oeuvre du Danois. On ne lit pas Kierkegaard impunément, l'auteur du Journal du Séducteur peut séduire jusqu'à l'angoisse. Ses doubles l'ont sans doute voulu
Choose an application
Art --- art [discipline] --- Lhopital, Christian --- anno 1900-1999 --- France
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Listing 1 - 10 of 26 | << page >> |
Sort by
|